Apostrophes

à dire l’expression de la souffrance de la Loreley. Peu à peu, une intensité dramatique se crée. Pour la première apostrophe « ô belle Loreley », l’évêque s’adresse à elle en temps que juge. Dans le quatrième et le cinquième distique, la Loreley a la parole ainsi que dans le septième distique, tandis que l’évêque s’adresse à elle dans le sixième distique avec la deuxième apostrophe en temps que victime car la séduction a eu lieu. Dans les vers 6 et 10, la sorcellerie est associée au feu. La

des personnages. Le corpus est composé de la scène 2, 3, et 4 de l'acte unique de la pièce. Comment Trivelin parvient-il a transmettre son cours d'humanité? en jouant au pere bienveillant sur esclave et maitre, voulant les guérir . 1/la première apostrophe : "mes enfants". Père des anciens esclaves qui se sont mis sous sa protection. 2/nécessaire que les maîtres deviennent sensibles - Trivelin s'assure qu'Euphrosine écoute bien le portrait que tire Cléanthis. "tout ce que je puis faire pour vous

Prologue de Gargantua : Effet comique  Apostrophe du début : identifie les lecteurs à des "buveurs" défigurés => élite sous le signe du vin, de la laideur => mpression de moquerie, public choisi tourné en ridicule  figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques.  Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. mélange des registres : décalage entre Socrate et la pelure.  Fatrasie (énumération) • Enumération

solidaire de son auditoire avec lequel il se confond dans le jeu des pronoms :· Répétition de l’indéfini « on », en particulier l. 21-22 « on irait là-bas, on finirait bien […] on le noierait sous le sang » : appartenance d'Etienne à la classe ouvrière· Apostrophe « camarades » l.1 et l.28 · Un discours mis en scène · Ton  : discours narrativisé qui met en avant la violence de son discours « il fut terrible, jamais il n’avait

- Thème de la disparition d'un être cher : v 19, après discours de Julie Charles qui s'adresse au temps. Avec alternance d'alexandrins et d'hexasyllabe. Les vers court symbolisent l'éphémère car les paroles de Julie sont rares et précieuses. -Apostrophes : « oh ! » v 5 et 21 et 49. Ponctuation qui souligne le caractère élégiaque du poème (qqch de triste), son indignation devant la mort et ses doutes. Impératif v 21 ordre au temps, exhortation à profiter au moment présent (comme le carpe diem de

corruption 1) « Apostrophes et » ironie - Exorde (= début d'un discours) : "Bon appétit" => métaphore = représente l'envie des ministres de voler l'état partage du gâteau métaphore du festin qu’on partage. -Il détourne l’emploie de bon appétit  subvertion mot convivial  utilisé ici pour critiquer faire un blâme -Métaphore filée (= créer une image et la poursuivre dans les vers suivant avec un champs lexical) alimentaire « serviteur » « emplir ses poches » v1067 - "Ô" apostrophe lyrique -> montre

Problématique : Comment Olympes de Gouges remet-elle en cause la tyrannie des hommes sur les femmes de son temps ? I )Mouvement : Colère et argument naturelLigne 1 : Question rhétorique avec un ton accusateur commencent par apostropher les hommes. Continue son ton agressif, et réaffirme son pouvoir de parole en temps que femme.Ligne 2 : Question rhétorique agressive qui dénonce la tyrannie masculine. Enchaînement de question rhétorique nominal qui ici sont ironique, elle insinue que ces valeurs sont

ton léger (chanson): or ici il y a une grande solennité (décasyllabes) + appel insistant qui lui donne un caractère de supplique. - une supplique = une prière pathétique qui vise à susciter la compassion auprès des hommes /auprès de Dieu. / apostrophe : « Frères humains » (v.1) recours aux liens de fraternité pour émouvoir le lecteur ainsi qu’à la notion d’humanité afin d’obtenir sa bienveillance et son pardon. / nombreux verbes de demande : impératifs « n’ayez » (v.2) « garde » (v.32) « ne

avilir l’esprit, on se venge en le maltraitant », de narration « je me jette à corps perdu dans le théatre », d’énonciation « on vient… c’est elle… ce n’est personne. » B/ Une multitude de destinataires donne l’impression d’un dialogue  Apostrophes à la femme « Ô femme ! femme ! femme ! », au Comte « Non, Monsieur le Comte […] ! »  Multicité des pronoms et des métonymies « le tien », « le perfide », « vous »…  Le principe de la répétition et l’adresse « parce que vous êtes un grand seigneur

celui de Lautréamont s'adresse en permanence aux lecteurs . Dans le poème '' le pou '' , au vers 1 ,le poète prend les lecteurs comme étant des ignorants '' vous ne savez '' et entre le poète et les lecteurs , il y a une distance , du mépris: apostrophes. Dans le vers 2 , on voit très bien que Malador a le pouvoir '' je vais vous le lire...'' avec une emploi de l'impératif derrière '' Attendez un instant '' . Le poète emploi énormément l'impératif '' Soyez certains que...'' '' observez '' ce