Apple Comme Une Firme Multinationale

Pomme » I. Présentation du groupe Apple 2 1) Historique de la marque 2 2) La chronologie des produits  3 3) L’identité du groupe 3 4) Le nom de la marque 4 5) L’évolution des logos 4 6) Les slogans de la marque 4 7) La présence d’Apple sur le marché 5 II. Le marché de l’informatique 6 1) L’offre du marché de l’informatique 6 2) PDM de Apple sur le territoire français 8

Actuellement l’entreprise emploie plus de 95 000 personnes à travers le monde. Sa présence dans plus de cents pays et sa stratégie commerciale ont permis à l’entreprise d’avoir un chiffre d’affaire de plus de soixante milliards d’euros en 2009. La firme lancera son premier système d’exploitation, MS-DOS, en 1981. Ce dernier connaîtra une importante évolution en 1995 marquant ainsi le début de la lignée des Windows avec Windows 95. En 2001 l’entreprise décide de diversifier ses activités en s’immisçant

Américaine  spécialisée  dans  les  chaussures, les vêtements et le matériel de sport.  Créé  en  1972  dans  l’  Oregon  (siège  social  Beaverton),  n’étant  pas  choisit  au  hasard,  le nom  est inspiré de la déesse  grecque Athéna  Niké,  représenté comme une  divinité ailée capable de ce déplacer à grande vitesse  et symbole de la victoire.    Photo d’Athéna Niké : la victoire de Samothrace, exposé au Louvre.        Nike a assuré sa notoriété par un logo simple et facilement reconnaissable : Le 

Tpe sur macdo Les modes de production de la firme McDo en France. Standardisation Il s’agit d’une entreprise qui applique une politique de standardisation qui offre une version unique d'un produit sur l'ensemble de ses marchés étrangers , c'est-à-dire de vendre avec un même slogan et une même image un même produit dans un même emballage. L'entreprise qui applique une politique de standardisation de son produit offre une version unique d'un produit (le produit vendu sur le marché domestique)

Apple | | |[pic] | |Logo d'Apple Inc. | | |

maximiser ses profits”. Il serait donc logique de penser que les entreprises vont toutes profiter des ressources supplémentaires offertes par la mondialisation par rapport au cadre d’une économie nationale. En effet, la mondialisation peut se définir comme le processus s’interdépendance croissante des économies, du fait de leur ouverture ouverture progressive sur le marché mondial. Profiter des avantages de la mondialisation suppose donc en partie de pouvoir mener certaines activités (fonctions de production

l’Est . En clair , « chaque firme a sa propre facon de produire le « même » produit, à cause de son histoire et des savoir-faire qui composent son héritage humain et technique , et à cause des différences entre les pays dans lesquels ces entreprises se sont développées . » Dans la préface , apparaît la conclusion du livre : « Nous en avons conclu que la pression du marché mondial n’impose aucune solution privilégiée. Il y a de la place pour le modèle de Samsung comme pour celui de Dell ( et pour

L’entreprise dispose d’éléments corporels et incorporels pour mener à bien son activité, assurer la conquête de nouveaux marchés ou résister à la concurrence. Ces dernières années, la littérature en management a insisté sur les éléments incorporels comme vecteur de croissance en mettant en avant des thèmes tels que l’innovation, la gestion des connaissances ou de l’immatériel. Ces éléments constituent le patrimoine intellectuel de l’entreprise et recouvrent notamment la propriété industrielle (droit

concept d’impérialisme a connu des évolutions de sens : tout d’abord, il désigne une construction politico territoriale qui obéit à la logique propre des empires, l’expansion territoriale sans soucis d’assimilation des peuples : l’empire n’a seulement comme objectif que son expansion sans prendre en compte la pluralité des peuples vivant sur l’empire. En ce sens, une lecture géopolitique du XIXème siècle s’articulait autour des impérialismes ottomans, austro-hongrois et prussiens ; tandis que la volonté

ensemble d’entreprises formé par une société-mère et par ses filiales. Ces définitions étant posées, la recherche de la grande dimension peut relever de la concentration technique, de la concentration économique et de la concentration financière. Comme les facteurs influençant ces concentrations ne sont pas de même nature, on peut s’interroger sur les transformations techniques, économiques voire psychologiques à l’oeuvre qui affectent la taille des établissements, des entreprises ou des groupes