Approche Normative De La Monnaie

- L’Etat, les pouvoirs publics (développé par Keynes). Le marché ne peut pas fonctionner sans l’intervention des pouvoirs publics (période de crise, période ordinaire) (= KEYNESIANISME ET POLITIQUES ECONOMIQUES). - La société civile (= APPROCHES CRITIQUES). Tout ce qui ne relève pas des marchands, services publics (association, relation proximité avec les coopératives.). 1. Aux origines de la pensée économique 1. Oikonomia et polis dans l’Antiquité. - Pensée

Nécessité de comprendre le raisonnement économique (1) La Théorie standard -Partie 1 (2) Les Débats récents, avoir un regard critique -Partie 2 Le raisonnement économique ne répond pas seulement aux questions financières (investissement, monnaie…), il s’applique à toutes les questions sociales, aux débats sociétaux… Comment répartir des ressources ? Comment organiser des élections, les modalités de votes? Si la croissance est à la hausse (hausse du PIB) => on dépense mais on n’épargne

ü  ex : ‘interventionniste’ et ‘laisser faire’ Approches positives et normatives •  On distingue deux moments de l`analyse économique : •  Économie positive : l’objectif est de décrire, d’analyser, de comprendre le réel •  Économie normative : Il s’agit de s’interroger sur ce qui devrait être, c’est-à-dire sur la meilleure manière d’organiser la production, la consommation, les échanges, la distribution des richesses. ü  L’économie normative est à la base des recommandations de politique économique

comme organisation formelle, IO comme régime et IO : commander principe. Nous tenons à souligner les approches rationalistes - y compris la théorie de la coopération, associées les théories des régimes et la nouvelle économie institutionnelle - comme le celles plus étroitement liée au droit et l'économie. Après avoir discuté de cette large point de vue, nous considérons les nouvelles approches internationale institutionnelles conception. Dans l'ensemble, nous documentons une convergence entre

n’étaient pas faite pour. On fabrique donc marchandises fictives qui sont au nombre de 3 : travail, terre, monnaie (facteurs de productions tels qu’ils sont envisagés dans la théorie Libérale). Ces trois choses ne peuvent donc pas être de vraies marchandises car elles ne sont pas produites pour être vendues. Par exemple, l’être humain n’est pas conçu pour vendre sa force de travail. De plus, la monnaie ne se résume pas à l’échange marchand comme elle a été construite de manière artificielle. Cette construction

optimales de la société. Jusqu’au XIXe siècle, on ne cherche pas à dire ce qui se passe mais ce qui devrait se passer. 2 CARACTERES 1 ° Finaliste : elle cherche a mettre en évidence la sociologie qu’il faut se donner (le meilleur) 2° Normative : a partir de l’idéale qu’elle s’est fixé, il y a des normes pour conduire à cette sociologie idéale. Jusqu’au XIXe siècle la construction sociale est philosophique. Il existe deux courants : 1° le courant spéculatif 2° le courant

François Denis, Elsa Orgiazzi, Laurent Simula 1.3. Approches positives et normatives La microéconomie s’appuie sur deux approches différentes, mais complémentaires. L’approche positive consiste à décrire et expliquer ce qui est, par exemple l’incidence d’une hausse des taxes sur la consommation de tabac. Elle cherche aussi à prévoir quels seront les effets de cette hausse en se fondant sur l’étude d’expériences antérieures comparables. L’approche normative consiste à décrire ce qui doit être. J. A. Mirrlees

comme au Royaume-Uni. - La monarchie absolue est toujours en place, tout comme la noblesse terrienne. - Les physiocrates reprennent l'analyse circuitiste des néo-mercantilistes. François Quesnay (1694-1774) : - Il développe la première approche libérale en économie, et est à l'origine de la création de la première véritable école de pensée économique, qui a pour but d'analyser (c'est-à-dire quantifier et expliquer) la circulation des richesses dans une nation. - En s'inspirant de la

n’y’a qu’une solution face au chômage, la monnaie, etc.… Le but est de faire se rencontrer les approches économiques et les approches qui ont tendance à s’appuyer sur des théories économiques. Les approches corrélatives descriptives : mise en corrélation de variables économiques. Ex : la courbe de Phillips. Cette courbe ne fonctionne pas. Ex : la courbe de Lorenz. Ex : relation taux de chômage et PIB. Ex : la courbe de Laffer. Les approches logiques : partie théorique. Grands principes

(soif), riz (faim), chaleur (froid), fraîcheur (chaud) , air (besoin de respirer) , etc. - Bien économique : bien dont l’obtention nécessite un sacrifice, une peine, un effort, un coût, une dépense d’énergie physique, une dépense d’argent (de monnaie), etc. C’est aussi un bien rare, disponible en quantité limitée par rapport aux besoins. Il nécessite, un effort, un coût pour être produit ou utilisable pour satisfaire un besoin. Exemple : le riz, l’huile, le sucre, etc. - Bien libre : ou bien