Apulée

les histoires mythologiques, fictives et invraisemblables, et les ouvrages historiques, dépeignant des événements réels et vraisemblables. À l'époque romaine sont rédigés des romans antiques en langue latine, comme les Métamorphoses attribuées à Apulée ou le Satyricon attribué à Pétrone. - Satiricon, Pétrone, 1er s : Le Satyricon (ou parfois : Satiricon) est un roman satirique écrit en latin attribué, avec polémique, à Pétrone. Le roman, considéré comme l'un des premiers de la littérature mondiale

initiatique désigne toujours : — En symbolique exotérique : le pâle soleil du début ou de la fin de l’année. — En symbolique ésotérique : le moment où le futur initié commence ou termine un cycle initiatique. La Descente aux Enfers décrite par Apulée en est l’illustration la plus citée. On peut y lire : « Quand une bonne partie de la route infernale sera faite, tu rencontreras un âne boiteux chargé de fagots et un ânier qui boite comme lui. » En Franc-maçonnerie, le Profane est déchaussé du

accordance avec l'ordre du calife Omar1. Après les guerres puniques, Rome était le pouvoir principal en Afrique du Nord. Afrique romaine produisit plusieurs œuvres littéraires en latin. Parmi les auteurs latinophones les plus célébrés on citera Terence, Apulée, Florus, Sulpice Apollinaire, Nonius Marcellus, Terentianus dit le Maure et Fronton. Le philosophe et théologien Augustin d'Hippone qui écrivit des Confessions était aussi auteur latino-berbère. Il se définit lui-même comme un écrivain punique2, mais

beauté envoûtante et sa position stratégique, l‟Algérie avait tenté et charmé plus d‟un prétendant colonisateur. Dans l‟antiquité, un de ses distingué fils, un grand nom de l‟ancienne Numidie, l‟écrivain et philosophe néo-platonicien du IIe siècle, Apulée de Madaure, cite cette prodigieuse terre, dans son « Apologie »(*1), où il se défend avec chaleur, avec esprit véhément, et un vif sentiment de sa valeur personnelle, devant le sénat de Rome : « (…) Non pas pourtant que j’aie eu jamais la pensée

plus grande tranquillité et sa plus grande prospérité, méritait à tous égards de donner son nom à une série de princes souvent excellents (Les Antonins). L'éclat littéraire n'a pas non plus manqué à cette époque qui a vu fleurir Fronton, Aulu-Gelle, Apulée, Appien, Pausanias, Lucien, Ptolémée, etc.; le jurisconsulte Gaius est aussi de ce temps. L'empereur Antonin avait toujours conservé une passion très vive pour la campagne et la vie des champs : un de ses grands bonheurs était de quitter le Palatin

Plutarque, Dion Chrysostome, etc… dont certains firent plus tard le récit élogieux de sa vie. Antonin, qui était un véritable humaniste, favorisa l’essor des lettres. C’est sous son règne que de nombreux écrivains se firent connaître, comme Appien, Apulée, Aulu-Gelle, Pausanias, etc. Mais malgré l'apogée connue par l'empire, les limites se font sentir. Des divergences de religions créent des tensions, l'immobilisme militaire de certains empereurs fit éclater de nombreuses guerres barbares

vestiges, dont les plus importants se trouvent à Tipaza, Timgad, Lambèse, N'Gaous, Zana, Calama, M'daourouch, Thagaste, Cherchell, Tamentfoust, Djemila, Tiddis, Tigzirt, Dellys, Hippone, theveste. De plus, Apulée ou Saint Augustin ont été des penseurs de renom49. Représentation du penseur et écrivain Apulée de Madaure La Numidie historique, à côté de Rome, Carthage et l'Égypte en 200 BCE L'influence de la religion en Algérie a bouleversé la région maghrebine pendant l'Antiquité et au Moyen Âge. Plusieurs

Adame - Adenauer - Aguétant - Ahikar - Aicard - Aimard - Alain-Fournier - Alas - Alcée - Alcott - Alembert - Alexis - Alfieri - Allais - Alphen - Anacréon - Andersen - Andreas-Salomé - Andreïev - Angellier - Anglemont - Apollinaire - Apoukhtine - Apulée - Arago - Arène - Argenson - Aristophane - Aristote - Arnac - Arnim - Arrien - Artsybachev - Arvers - Asselineau - Assollant - Aubert - Aubigné - Aubourg - Audoux - Saint Augustin - Aulnoy - Aulu-Gelle - Auneuil - Austen - Autran - Auvray - Babeuf

silencieuses de l'antique colonie romaine. J'en avais d'avance étudié les plus secrets passages. Quand nous arrivâmes au petit temple d'Isis, j'eus le bonheur de lui expliquer fidèlement les détails du culte et des cérémonies que j'avais lues dans Apulée. Elle voulut jouer elle-même le personnage de la Déesse, et je me vis chargé du rôle d'Osiris dont j'expliquai les divins mystères. En revenant, frappé de la grandeur des idées que nous venions de soulever, je n'osai lui parler d'amour... Elle me

silencieuses de l’antique colonie romaine. J’en avais d’avance étudié les plus secrets passages. Quand nous arrivâmes au petit temple d’Isis, j’eus le bonheur de lui expliquer fidèlement les détails du culte et des cérémonies que j’avais lus dans Apulée. Elle voulut jouer elle-même le personnage de la déesse et je me vit chargé du rôle d’Osiris dont j’expliquais les divins mystères. » . On retrouve aussi le mythe du « Dieu qui meut » qui a largement inspiré Nerval qui le développe dans les lignes