Aramide

|0,5 |0 | |Toner noir |0 |0,5 |0,5 |0 | |Fibre de verre |0 |0 |1 |0 | |Fibres Aramide |0 |0 |1 |0 | |Fibres de Carbone |0 |0 |1 |0 | |Bureau |0

différents types de matrices Matrices organiques Thermodurcissables Minérales Élastomères Céramiques Métalliques Thermoplastiques Borures Carbures Nitrures Principaux matériaux de renfort Renfort Inorganiques Organiques Polyesters Aramides Céramiques Verre Carbone Minéraux Métallique Bore Végétaux Bois Coton Papier Jute Exemples de matériaux composites Composites à matrice organique Panneaux de particules Panneaux de fibres Toiles enduites Constituants Domaines d’applications

différentes fibres pouvant être employées (§ 2.1). Ces fibres sont actuellement les fibres de renfort des matériaux industriels modernes : — fibres minérales : fibres de verre, de carbone, de céramique, de bore, de silice ; — fibres organiques : fibres aramides, obtenues par filage d’un polyamide aromatique d’où le nom de polyaramide (par exemple, le Kevlar ). D’autres renforts sont encore employés : — fibres naturelles autres que l’amiante : le sisal, le coton ; — fibres synthétiques : polyamides ; — fibres

mécaniques diverses, coques, etc...). Le carbone s’imprègne très bien avec toute résine et se découpe facilement. Le tissu de carbone de 200 g coûte environ 200 F le m2. LE KEVLAR Cette fibre commence à être connue. Les américains l’appelle ARAMIDE, c’est une fibre (Brevet Dupont de Nemours) de couleur jaune orangé, on la trouve généralement en tissu de grammages variés ou associée avec du verre ou du carbone. Exemple : le sergé mixte, kevlar-carbone 2+1 de 180 g que nous utilisons le plus

universelle de Londres. Cette découverte est à la base de l'industrie plastique moderne. 1965 l’année de la découverte par les chercheurs Stephanie Kwolek et Herbert Blades de la firme Du Pont de Nemours d'un « super-nylon », le Kevlar, une fibre aramide légère et particulièrement résistante : * à la déchirure et aux chocs : gilets et vitres pare-balles, couches anti-perçage ; * au feu : casques et vestes des sapeurs-pompiers, gants de cuisine, etc. Son grand succès dans ce domaine est aussi

22. 5 LE « KITESURF » LES LIGNES D’abord en fibres naturelles, les lignes de retenue sont devenues plus résistantes et légères grâce aux progrès des macromolécules.9 Aujourd’hui, les lignes des kite sont confectionnées principalement en aramide, une matière très résistante qui se déforme peu, mais qui a le désavantage d’être très coupante. La longueur des lignes utilisées varie généralement entre 20 et 30 mètres selon les différentes marques. Les ailes peuvent être utilisées avec 2, 3, 4

(cas du FR3 appelé papier époxyde). Les FR2 et FR3 sont très employés dans l’industrie des biens de consommation en raison de leur faible coût et du fait qu’ils soient poinçonnables. − Cas du kevlar : l’armature est cette fois constituée de fibres aramide appartenant aux fibres organiques polyamides aromatiques conférant au kevlar les caractéristiques des fibres textiles (souplesse, haute résistance mécanique en traction mais faible résistance en compression). Le coefficient de dilatation linéaire

perforation. Concernant les matériaux, le secteur évolue dès l'apparition de fibres dites de nouvelles générations, généralement associées au chimiste qui les a mises au point : Polyamide imide Résines mélamine PBO (aramide) Polyéthylène à haute ténacité Polyacrilonitrile (PAN) Kevlar ou para-aramide, etc. Le Marché de l’EPI se développe par des produits de haute qualité (ex : Combinaisons de travail ignifugées), qui se vulgarisent rapidement. L’exemple des gants de protection pour le secteur industriel

remarque que les composites sont principalement présents dans le secteur de l’automobile ainsi que dans celui du bâtiment. En ce qui concerne les composites à hautes performances (constitués de résines thermodurcissables, fibres de verre, carbone, aramide, bore, SiC, et SiN), ils ne représentent qu’environ 1.5% du marché des matériaux avancés et 8% pour les composites de grandes distribution mais leur chiffre d’affaire supérieur à 1% car leur prix est 10 à 50 fois plus élevé que celui des composites

demandes très spécifiques (haut de gamme, voire très haut de gamme), et les firmes très innovantes qui investissent massivement en R&D (textile intelligent, géotextile utilisé pour la fabrication d’infrastructures routières, ou fibres méta-aramides pour protéger de la chaleur...), et qui délaissent la confection pour se tourner vers des secteurs d’activité plus porteurs comme le bâtiment, l’automobile, la santé ou l’environnement, à l’instar d’entreprises comme Landolt SAS, Kermel ou AMDES