Argument circulaire

que les idées restent dans le brouillard et que la pensée des auteurs reste dans le papier au lieu de venir à lui ». Cette idée est retrouvée plus loin avec l’homme qui s’énerve contre « Ce faux ami [qui m'a toujours méprisé ». Alain utilise ici un argument d’autorité pour donner sa solution au bonheur « Il lui faudrait ici la sagesse des stoïciens élucidée encore par Descartes ou Spinoza » (l.25-28). La mise en place de la réflexion de l’étudiant, basé sur une réflexion linéaire, permet au lecteur

D’ARGUMENTS Type d’argument Définition Précisez la situation (1, 2, 3, 4) puis expliquez Argument d’analogie L’argument d’analogie consiste, dans une situation donnée, à rechercher l’accord de l’auditoire sur la base d’un consentement obtenu antérieurement dans une situation jugée similaire. L’argument d’analogie est recevable si la ressemblance est effective. La situation 1 est un argument d’analogie car l’entreprise se base sur l’exemple de Vuitton pour convaincre ses salariés car cette

donner de réponse, d’impliquer le lecteur et de l’attirer de son côté. L’hyperbole présente à la ligne 9 « si j’en avais dix mille, je les donnerais tous » est une exagération qui frappe aussi le lecteur. La comparaison « Et comme Alexandre » est un argument d’autorité qui n’est pas contestable. Dans l’extrait de Vendredi ou les Limbes du Pacifique, faisant l’éloge de la vénalité. L’auteur emploie des procédés persuasifs tels que l’antithèse pour la « vénalité est une vertu cardinale » il défend,

ennuyeux » (l.81-82), « Bien sur mon petit. Mais pas à elles » (l.84) -Ornifle se réfère à des auteurs et des œuvres connues « Jules Verne » (l.59) et « Bérénice » (l.39) qui est le nom d’une tragédie de Jean Racine. La référence à Jules Verne est un argument d’autorité prouvant qu’Ornifle utilise le registre didactique pour instruire une fois de plus Fabrice. II) Ornifle, un épicurien manipulateur 1) Un homme de plaisirs - Ornifle n’a jamais réellement connu l’amour « Je n’en parle que par ouï-dire

ontologique et les paralogies Nous nous proposons, apr s avoir consid r quelques exemples de paralogies, de compl ter nos observations par l'analyse, dans ses grandes lignes, de la preuve ontologique de l'existence de Dieu autrement appel e argument ontologique quand sa probance est mise en doute et du d roulement historique de sa discussion. Cette terminologie remonte Kant, 222 , et sa premi re position saint Anselme de Cantorb ry. Paradoxe 1 : preuve ontologique de l'existence de Dieu

les Européens qui asservissent et exploitent une partie du monde (au moins deux continents) pour accroître leur richesse (« or ») et jouir de produits superflus (« sucre »). Problématique : comment Montesquieu parvient-il à démontrer l’inanité des arguments pro-esclavagistes ? I) Montesquieu dénonce en premier lieu les conceptions xénophobes de ceux qui refusent aux noirs la qualités d’être humain. 1) Il montre d’abord le ridicule des préjugés occidentaux concernant les aspects physiques. En premier

valoriser l'indépendance obtenue grâce à l'étude >< à l'aliénation de l'ambition qui entraîne la dépendance. Les Arguments : - L'amour de l'étude permet : - l'indépendance l.14 "par cette raison d'indépendance" - la gloire l.18 "une passion dont une âme élevée n'est jamais entièrement exempte" - une consolation l.43 "ressource sûre contre les malheurs" --> Argument d'autorité : cite Cicéron l.44-47 En affirmant son pdv sur la nécessité de l'étude, l'auteure, qui en fait

fait une critique nuancée (8-9) Ainsi,les passions ne sont pas bonnes dès lors qu'elles nous assujettisse aux autres et nous empêche d'être autonome . Ceci amène l'argument de la passion de l'étude qui rend possible l'autonomie. Elle s’appuie sur 4 arguments pour défendre : - Indépendance de lettres (15) - elle rend possible l'accès à la gloire - Vertu consolatrice - Plaisir Cette éloge de l'étude permet de faire un constat sur la condition des femmes au XIIX eme S. II) Un plaidoyer en faveur des

idées à défendre. Convaincre Quand un auteur fait appel à la raison et aux capacités de réflexion de son lecteur, il cherche à le convaincre. Il utilise alors des arguments raisonnés qui s'enchaînent de façon logique. La force de conviction réside dans : des arguments qui justifient une thèse (la défendent). Ces arguments peuvent réfuter une thèse première dans le but de mieux montrer l'intérêt de la thèse défendue par l'auteur. des connecteurs logiques rendant visible les étapes du raisonnement

avec son statut hiérarchique • « Nous » se met au même niveau que son auditoire • Modalisateurs « je crois » « peut-être » qui font preuve d’une fausse modestie -> le lion est sur de lui b. Son naturel autoritaire • Impératif « voyons » • Argument d’autorité pour ne pas être contesté « l’histoire nous apprend …» • Maîtrise la foule « tint un conseil » c. De fausses vertus • Il se veut juste  Lexique de la justice  « voyons sans indulgence l’état de notre conscience » • Il se veut