Argument Contre Le Relativisme

jouer. - La situation pourra peut-être changer. - En 1925, il a fait un voyage au Congo et au Tchad, il y a découvert les réalités du colonialisme, et les dénonce à son retour. - En 1909, il aurait fondé « Nouvelle Revue Française » afin de réagir contre le conformisme des écrivains à la mode. Il cherche à faire prendre conscience des réalités. - Un inquiéteur inquiète la conscience littéraire en bouleversant la conception littéraire. Erasme (L’éloge de la folie) - Dénonce et critique les pratiques

intéressant de réaliser qu'aujourd'hui dans plus de soixante pays à travers le monde, l'usage de la philosophie est proposé pour agir sur les mentalités, pour tenter d' instaurer l'habitude de réfléchir avant de céder à l'action spontanée, pour lutter contre la violence, voire tenter de compenser et permettre de relativiser celle subie par les enfants. La méthode Lipman est utilisée entre autres pays aux Etats-Unis, au Brésil, au Canada, en République Tchèque et en Chine, avec des différences dans

pense on se trompe. On doute de tout, même que l’on doute. Le bien est une farce (c’est une idée fausse.) Toutes les positions sont à moitié fausses, rien n’est sûr. Tout ce que l’homme sait de plus que les animaux est sujet au doute. C’est le relativisme moral. La vertu est la tolérance. Ces quatre éthiques sont très contemporaine (se faire plaisir, réussir, sans se soucier des conventions, en doutant du bonheur)   LES ROMAINS Les Romains ont le pouvoir sur les grecs mais ils leur laissent

l’empirisme et l’idéalisme. A)Le scepticisme Le scepticisme est la forme primitive du rationalisme. On le rencontre dans l’antiquité sous une forme achevée chez le philosophe Phyrron et il traversera les siècles[7] en reprenant grosso modo les mêmes arguments. L’affirmation fondamentale du scepticisme est que l’homme est incapable de discerner le vrai et le faux, et qu’il doit, par conséquent, suspendre son jugement et se garder de rien n’affirmer. Selon le scepticisme, il n’y a pas de vérité, ou du moins

l’on pense on se trompe. On doute de tout, même que l’on doute. Le bien est une farce (c’est une idée fausse.) Toutes les positions sont à moitié fausse, rien n’est sur. Tout ce que l’homme sait de plus que les animaux est sujet au doute. C’est le relativisme moral. La vertu est la tolérance. Ces quatre éthiques sont très contemporaine (se faire plaisir, réussir, sans se soucier des conventions, en doutant du bonheur) LES ROMAINS Les Romains ont le pouvoir sur les grecs mais ils leur laissent

forme de question. b) Ensuite l’étudiant montre comment l’auteur situe sa thèse par rapport à d’autres axes d’interprétation que l’auteur a rejetés (revue de littérature). c) L’étudiant identifie les principaux arguments utilisés par l’auteur pour démontrer sa thèse et situe les arguments forts ou faibles du texte, les critique, pose des questions pertinentes. Pour ce faire, il peut aller lire d’autres auteurs traitant du même sujet ou simplement se fier à ses connaissances et aux outils d’analyse

en faisant appel à leur raison, c’est à-dire au mode de pensée logique, au discourt argumentatif. Une personne rationnelle s’interdit la confusion et la contradiction, s’assure de la pertinence de ses résonnements comme de la crédibilité de ses arguments, et traite les problèmes de façon ordonnée, méthodique et exhaustive. * Critique : capacité de douter, de s’interroger. Une personne critique sait mettre en question les idées les plus courantes admises, qui peuvent souvent, en fait, ne constituer

perdre de vue les conditions d’application de ses arguments au traitement concret des inégalités comme dans son avant-dernier chapitre où il évalue la pertinence de ses propositions dans leur application aux différences de classe, de sexe, ou d’appartenance régionale. Preuve sans doute que le raisonnement normatif de la philosophie morale n’entretient pas forcément une relation conflictuelle avec le réalisme sociologique. La lutte efficace contre les inégalités sociales suppose dans l’ouvrage d’Amartya

(par exemple: un taille crayon). Seuls ceux possédant une valeur sentimentale sont différents. L’être humain n’est pas un moyen, il est une fin en soi et a une valeur absolue, il n’a pas de prix. J-P Sartre a toujours été pour cette liberté, a lutté contre les préjugés, les clichés, les stéréotypes.. Pour lui, l’homme est condamné à être libre et ce n’est pas facile puisque ça implique que nous sommes responsables de notre vie, et pour Sartre de manière plus générale, responsables de l’humanité toute

animaux sont même capables de l’effrayer (phobie des chats, des rats etc…) voire de l’impressionner au point d’en faire des divinités comme dans le paganisme. (« Se soumettre aux bêtes jusqu’à les adorer » f49) Comme les bêtes, il choisit la force contre la justice (loi de la jungle), il cède à la concupiscence des sens, délimite son territoire ou cherche à l’étendre en employant la violence et se divertit à la manière d’un chien qui recherche inlassablement le gibier. Mais ce tableau ne suffit pas