Argument ontologique

le contenu est rationnel et universellement applicable. Certes suite à la tradition des Lumières ils vont croire que les erreurs sont des fautes de jugement et des résultats des préjugés qui même étant très profonds peuvent être dissipés par des arguments de raison comme par d'autres moyens de conscientisation (comme par exemple des procédures de délibération démocratiques). Les idées ainsi détachées de leur porteurs enclins aux erreurs et aux illusions pourraient être décrits comme universelles.

question du statut de l’embryon ne cesse pas de se poser et elle a été encore posée dans les débats parlementaires. Il faut un minimum parler de ce qui est (statut ontologique) pour définir ce que l’on doit faire (statut éthique) et ce que la loi prescrit (statut juridique). UN MATÉRIAU NON BANAL L’accord minimal sur le statut ontologique semble avoir été trouvé par Madame la Députée Jacqueline Fraysse : « Bien entendu, nous nous accordons tous pour considérer que le sujet qui nous réunit aujourd’hui

savoir la distinguer de certaines terminologies voisines comme « confirmation » ou encore « vérification ». Du latin confirmare, « rendre ferme », la confirmation apparaît comme un aboutissement, une conclusion en-soi, alors que la preuve est un argument qui vise à établir cette conclusion, cette confirmation. Une expérience concluante serait une confirmation plutôt qu’une véritable preuve, étant donné que dans les sciences expérimentales, il est plus évident de prouver le faux que le vrai. La confirmation

ensemble de rapports entre divers espaces, il serait dès lors une représentation conceptuelle et ce parce que l’entendement est précisément la faculté de mettre en rapport des éléments pour saisir le point commun entre eux. Mais malgré ces deux arguments, Kant va démontrer que la représentation de l’espace est intuitive. Malgré le fait que le tout de l’espace puisse être vu comme le rassemblement de ses multiples parties, Kant va être amené à penser la notion de tout et va en déduire que le tout

Intro : Le texte proposé est l’introduction de la première section de la doctrine de l’être du philosophe Hegel, elle même premier tome de son oeuvre La s cience de la logique , publiée en 1812. Le thème du texte est la triade suivante: être, néant et devenir. Quel est le contexte du début du XIXème siècle? La philosophie vient de subir la révolution Kantienne qui a réduit, limité voire

les enjeux à la fois métaphysiques et dialectiques allaient faire émerger des grands courants présocratiques, soucieux d'apporter une réponse satisfaisante au problème du devenir. Parmi eux, deux allaient se distinguer par la pertinence de leurs arguments dialectiquement opposés : A Ephèse l'héraclitéisme qui doit son nom à Héraclite et à Elée l'éléatisme dont Parménide est le fondateur. Si pour Héraclite toutes choses sont dans un flux continu sans repos, Parménide pose l'Etre comme négation du non-Etre

Extraite de l'Advice to a Young Tradesman, written by an old one (21.07.1748), elle peut passer pour un bon résumé du « credo» capitaliste de l’économie de marché. Mais comment le temps peut-il « être » de l’argent? Sur quel fondement ontologique ou sur quelle structure intellectuelle et idéologique peut s’établir une telle identification ? Et quelle attitude alors à l'égard du temps, de l'argent et du travail, est préconisée par cette formule? [I. La valeur de l’argent dérive de celle

pratiques qui émergent, qui changent, qui s'agencent différemment. « La pensée critique est celle qui va essayer, par rapport à un pôle sémantique concret, de construire des concepts en cohérence logique à la fois avec ce pôle et avec le principe ontologique selon lequel tout n'est pas possible. Les énoncés produits par la pensée critique seront des énoncés polarisés, mais ils ne sont pas pour autant séparés de ceux du sens commun : au contraire, la pensée critique et le sens commun ne sont que deux

pages. Berque : meilleur interprète du Japon. Médiance : relation d’une société à son environnement (Augustin Berque, Ecoumène ; introduction à l'étude des milieux humains, 2000). Traduction enrichie du concept Fûdo (Watsuji), point de vue ontologique. C’est le sens qui apparaît grâce à la trajectivité de la dimension entre lieu et espace. On constate alors une variation de la médiance. La médiance fonde (p. 192) : L’illusion (subjective) qui fait paraître naturel ce qui en fait résulte de

SOMMAIRE 1. « Frontières du récit » : à la recherche du « récit à l’état pur » 1.1. Aristote contre Platon 1.2. Le récit comme restitution inexacte 1.3. L’héritage benvenistien : opposition récit/discours 2. Fiction et diction : le statut ontologique de l’événement 2.1. Séparation histoire/récit 2.2. Noyaux de cerises et événementialité 3. Les impasses du réalisme genettien 3.1. Le récit de fiction comme réduplication d’une réalité antécédente 3.2. Copie vs récit : vérité vs approximation