Argumentation Las Casas

la vraie victoire sur le temps.» Extrait d’ Entretiens sur la fin des temps. 2) Signification du titre , situation géographique de Valladolid La controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda en deux séances d'un mois chacune (l'une en 1550 et l'autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid. Il réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles

religieux espagnols aux doctrines bien différentes : Juan Gines de Sépulvéda, un grand philosophe, et Bartolomé de Las Casas, un dominicain. Ceux-ci débattent pour la liberté des Indiens, l'un soutien le fait qu'ils sont des Hommes de même nature que les Espagnols et qui ont une âme immortelle et par conséquent le massacre des Indiens par les conquistadors est totalement injustifié ( Las Casas). L'autre soutien le fait que les Indiens n'ont pas d' âme, qu'ils sont un peuple qui est né pour être dominé

récit. Le dialogue est retranscrit au discours direct, on a des marques typographique qui le montre (tiré), des propositions en incise. Le jeu des pronoms marque les différents locuteur. Le « nous » (l.19) qui désigne las Casas, les Européens. l.57 : « vous déviez ma pensée » : Las Casas l.55 : « vous » Sépulvéda. Il s'agit du discours directe rapporté donc une scène. Souvent dans une scène le temps de l'histoire et du récit se superpose, une scène détaille et installe souvent une intensité dramatique

argumentatif au rythme enlevé A. Vivacité croissante de l’échange = jeu de ping-pong : rapidité - répliques de plus en plus brèves : nbx tirets surtout à la fin ; différent du début où il y a une monopolisation de la parole par Sépulvéda. (Las Casas connait bien les arguments de son adversaire ; il doit le laisser parler : «Restez Silencieux » ; Légat = juge entre l’accusation et la défense) Comportement des 2 hommes : propos véhément plus intenses. - Phrases exclamatives : « et des

,Lézard ,en 1957 .Il s’intéresse aussi à d’autres genres , publiant des essais (Les mots et la Chose ,1986) et des récits (La controverse de Valladolid , 1992) III) Analyse de la couverture La couverture montre le dominicain Bartholomé de Las Casas montrant les Indiens qui sont le centre d’intérêt de ce débat .En auteur est représenté le légat ainsi qu’un homme dévisageant les indiens .La scène se passe à l’intérieur du couvent. IV) Résumé Après avoir évoqué les interrogations suscitées

favorisé grâce à l'ouverture de nouvelles routes et trajets transocéaniques entre l'Europe et le « Nouveau Monde ». Les européens affligent aux Indiens de nombreux mauvais traitements mais malgré cela, très peu de personnes comme Bartholomé de las Casas défendent la cause des Indiens. Ces quelques personnes pensent que se sont des créatures de Dieu, au même titre que les Européens et qu'il ne faut donc pas les traiter de telles sortes (sous-alimentation, asservissement, mauvais traitements...).

religieux espagnols aux doctrines bien différentes : Juan Gines de Sépulvéda, un grand philosophe, et Bartolomé de Las Casas, un dominicain. Ceux-ci débattent pour la liberté des Indiens, l'un soutien le fait qu'ils sont des Hommes de même nature que les Espagnols et qui ont une âme immortelle et par conséquent le massacre des Indiens par les conquistadors est totalement injustifié ( Las Casas). L'autre soutien le fait que les Indiens n'ont pas d'âme , qu'ils sont un peuple qui est né pour être dominé

Un débat qui oppose le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepulveda au collège San Gregorio de Valladolid et qui soulève une question principale : Est-ce que les habitants des terres nouvelles ont une âme ? Et par conséquent sont-ils des créatures de Dieu ? Voilà le contexte qui se présente lors du film de Jean-Daniel Verhaeghe : La controverse de Valladolid. Au XVIe siècle, 60 ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, l’actuel Roi d’Espagne Charles

Valladolid, une controverse où Sépulvéda pour confrontera ses arguments à ceux du dominicain Bartolomé de Las Casas . Ce dernier a passé la majorité de sa vie à lutter contre la tyrannie et l’injustice envers les indigènes. Les deux hommes savent que la dispute qui va se jouer dépasse la question de la publication du livre et qu’elle sera capitale pour l’avenir du peuple indien. Chapitre 3 Sépulvéda, Las Casas, ainsi qu’une quarantaine de participants, saluent, dans une salle d u couvent, l’entrée du cardinal

sanguinaire aux lecteurs, il n’hésite pas a employer les mots les plus forts pour montrer l’horreur que subissaient les indiens. Il dénonce les sauvages Espagnols et prend la défense des Indiens, le sadisme des Espagnols, leur cruauté. Las Casas se pose en témoin : « j’ai vu », « je l’ai vu » lignes 21, 22. Il parle à la première personne ce qui donne du poids a ses propos. Cette barbarie se fait paradoxalement au nom de la religion, ligne 10, « Au nom du