Argumentation Sur La Violence

action vertueuse », une seule image est projetée, celle d’une personne bien /mais pour Montaigne cela va plus loin puisqu’il existe une différence notable ce « je ne sais quoi de plus grand et de plus actif » qu’il nous explique plus loin dan son argumentation, une différence qui rend la vertu plus digne d’estime que la bonté. Une position qu’il justifie par une définition assez subjective des deux termes. La bonté serait d’après lui une disposition naturelle, «un heureux naturel » qui nous pousse à

il utilise des termes de plus en plus durs, allant de la « violence» (l3) à l’anaphore de « barbarie suprême » (l18-19). On remarque la présence d’une antithèse à la l12, il y a association du « progrès » et de « l’ensauvagement » qui fait écho à la thèse énoncée à la première ligne. Le texte est sanglant et violent. Il y a divers champs lexicaux comme celui de la torture et qui conduisent à ensanglanter le texte. Celui de la violence souligne la rupture avec la civilisation et est appuyé par un

vus de manière réaliste et matériel. L’étonnement des Indiens va jusqu’à ne pas comprendre comment de telles inégalités ne conduisent pas les pauvres à ce révoltes comme dans leurs sociétés, transformant l’inégalité en injustice et rendant ainsi la violence légitime contre cette injustice. Enfin, le langage prêter aux Indiens contribue à opposer leurs civilisations et valeur à celles des occidentaux : en appelant les hommes « moitié des uns, moitié des autres » ligne 5 comme l’explique Montaigne, ils

qui dirige, mais en plus qu’il est « le premier à la guerre », ce qui montre que les sauvages sont en faite courageux. Le deuxième point fait par les indigènes est que les hommes civilisés ne font pas de charité en donnant à leurs « moitiés ». La violence du vocabulaire utilisé lors de ce second point va servir à choquer le lecteur, avec des termes tels que « décharnés », « prendre les autres à la gorge » ou encore « mettre le feu à leurs maisons ». Enfin, dans la troisième partie du texte, nous

ans Usbek et Rica en France de 1711 à 1720, en pleine Régence. II. Problématique Histoire des Troglodytes : utopie présentant une soc iété harmonieuse. Utopie : un des genres de l’argumentation, très proc he du conte et se servant de lui. Argumentation indirecte. - Premier questionnement : sur l’architecture et les fonctions de l’utopie : • quels sont les éléments constitutifs du récit utopi que, ici ? • Quels sont les avantages de l’argumentation indirecte au v u de ce texte ? • Comment

qui veulent se monter en défaveur de la guerre sont tous deux des fictions. Ils ont chacun leurs techniques ; dans le texte A ce sont des images particulièrement choquantes qui sont utilisées, cela explique l’omniprésence d’un champ lexical de la violence : « mort », « égorger », « boucherie », « jambes coupées », « criblés de coups »… Le texte C lui aussi est violent mais joue plutôt sur l’expressivité du langage avec un poids important poids des mots et montre au lecteur l’expérience traumatique

       Une scène de séduction 1)Situation d’éducation 2)Eloquence persuasive 3)Une mise en confiance   Tentation pour aboutir à   II.     Une leçon de cynisme 1)un réquisitoire 2)un plaidoyer 3)le cynisme   Argumentation persuasive, faite pour donner une ligne conductrice Lien direct ac le romantisme, société fondée sur des valeurs concrètes : l’argent But =transformer le jeune étudiant   I.Une scène de séduction   1)Situation d’éducation   .maître

Lyon, né en 1923. On peut distinguer une fille face a une rangée de soldats armés avec une fleur à la main. En regardant la valeur des tonalités des couleurs, on peut voir que les plus claires son reliées á la paix, et les autres à la guerre. ARGUMENTATION, EXPLICATION Au premier plan, on voit une femme, seule avec une fleur à la main face à une rangé de soldats. On peut dire que celui-ci est la zone ou l’image se concentre car en premier c’est l’endroit ou se trouve la fille et deuxièmement c’est

bombardement de Guernica. L'œuvre est terminée en un temps record (un mois à peine), la puissance du tableau est d'ailleurs surement dut à sa spontanéité. L'œuvre n'eut, au départ que peut de succès, choquant par sa modernité. III – Description et argumentation Les couleurs du tableau sont froides, ce sont les couleurs du deuil: blanc, noir, différentes teintes de gris. Il y a dans le tableau un clair-obscur. Le contraste entre la lumière et les ombres met en valeur les personnages ainsi que les autres

 A Jérusalem-est et en Cisjordanie, une escalade de violence et d’attentats s’est déferlée sur cette partie palestinienne occupée par les colons israéliens. Des appels à la protestation ont été émis par des radicaux juifs, prônant le droit de prier à l’esplanade des mosquées. Cela , en partie , a provoqué la colère des palestiniens, en suscitant l’appréhension de la remise en question du Statu Quo. Par la suite plusieurs attentats ont eu lieu, et la crainte d’une 3ème Intifada est donc