Argumentation Sur Le Rire

revivre la vie mondaine d'un salon parisien du XVIII° s. Vocabulaire de la coquetterie- formule de politesse. Tonalité comique : beaucoup de fantaisie, elle crée des personnages de façon ironique et des situations pleines de petites anecdotes. Le rire va naître de l'exagération des angoisses de la maîtresse (L135 : hyperboles) : énoncé de plus en plus bref. L'absence de didascalies : on imagine les gestes et les attitudes de Cléanthis par la variété de son intonation. Rapidité avec laquelle elle

langues. Deux arguments en faveur des langues. - facilité d’apprentissage « sans aucun effort » (l.4-6) renforcé par une opposition entre les petits et les adultes. - l’imitation est un gout caractéristique de l’enfance renforcé par une argumentation sur les animaux. =» Conception assez progressiste de l’enseignement. b. La lecture des fables soutenue par 3 arguments. (l.10-14) - L’argument du plaisir marqué par un champ lexical (séduisant, charmés, délicieux, attrait) et un apport

strophe il ajouter un élément important:pictural.Nuance de couleurs.La nuance n'est pas une couleur franche,c'est un termes de peinture.Idée d'indécision,une couleur alternée Il refuse la poésie satirique ou il y a une argumentation ou on se moque de quelqu'un,esprit cruelle et rire impur. La poésie ne sert pas a critiquer Anacoluthe consiste a faire des fautes de syntaxe et faute de grammaire "prend tord lui l'éloquence et tords le cou" on lui dit tord lui le cou Cela insiste a faire des fautes

lecteur 2) Meilleure compréhension du lecteur a) Décrire de manière vivante et réelle b) Ancrer le récit dans le réel (à travers des dates et des lieux existants) c) Donner une valeur de preuve à travers des exemples concrets B/ Utiliser une argumentation implicite 1) Permet un enseignement de manière détournée a) Eviter la censure b) Exprimer sa thèse progressivement c) Utiliser des personnages représentant une idée ou un comportement 2) Impliquer le lecteur a) Le lecteur s'identifie aux

Sa structure narrative est simple, ses personnages bien typés. -Pour plaire au lecteur, l'apologue utilise des moyens divers: péripéties surprenantes de l'histoire, recours aumerveilleux pour frapper l'imagination, éléments comiques ou ironiques qui suscitent le rire aux dépens d'un personnage ridicule, d'un comportement caricatural ou d'un système de pensée jugé absurde  Dans les fables de La Fontaine, bien que l'on soit dans le monde animal, le système décrit ressemble fort à celui des hommes et à

met en valeur la notion d’une évolution rapide qui est même induite par la simple structure du texte, à savoir cinq courts paragraphes soulignant la variété des cas, tout comme leur côté éphémère. Montesquieu souhaite distraire son lecteur, le faire rire, et pour y parvenir il a glissé dans son écrit une notable ironie lorsqu’il se moque des extravagances de la mode, notamment en parlant de la multitude de mouches présente sur la visage des femmes ou lors de la comparaison d’un changement de coiffure

faisant rire, Molière, par l’entremise du personnage de Dorante, vient là de déjà mettre à mal, à travers un personnage caricatural de petit fat sans cervelle, toute «critique » contre son Ecole des femmes. Après un échange sur lequel on reviendra, au Marquis va succéder un autre ridicule. Car, on l’a dit, le comique doit soutenir ici avec constance l’argumentation. Et, d’ailleurs, le portrait esquisse maintenant par Dorante, comme celui du marquis, constitue, en soi, une argumentation indirecte

littérature et aux mouvements artistiques. XVIIIème siècle : la comédie larmoyante est la base du romantisme (romans sentimentaux) -> siècle des lumières, de la raison, de la logique. Auteurs dramatiques : Marivaux, Beaumarchais -> changer les mœurs par le rire. Or ici, le public est ému -> comédie sentimentale ou larmoyante : mélange de genres (comédie + tragédie) : annonce du romantisme, Marivaux se donne le droit à l’émotion. Tirade de Cléanthis : Cette tirade est la plus longue de la scène (très

tel monde n'existe pas, et que le bonheur est le fruit du travail et non du rêve. Enfin, l'écrivain provoque l'amusement du lecteur en usant d'humour et d'ironie. Dans Candide de Voltaire, le patronyme ridicule du baron de Thunder-ten-tronckh fait rire le lecteur. En plus d'être agréable tout en dégageant une vérité sérieuse, la fiction permet une meilleure compréhension des idées de l'auteur. En effet, celles-ci sont présentées de manière imagée, ancrées dans le réel, et les notions abstraites prennent

cette fable arrêta une rébellion du petit peuple contre la noblesse romaine ! Critiquer et proposer, poser des questions et apporter des réponses : voilà les objectifs des apologues. Ils font appel à l’imagination, la sensibilité, l’émotion, le rire et surtout à la réflexion. Tous sont didactiques et couvrent tous les domaines : moral, politique, social, philosophique, religieux. Cependant ils ont des limites et certains autres genres littéraires peuvent être tout aussi efficaces, voire plus.