Argumentation Sur Le Rire

l’argumentation nous conduira dans un second temps ) formuler les différentes leçons de l’apologue, dont la moralité est assez éloignée des premières fables de la Fontaine. Axe 1 une fable plaisante et originale qui mêle habilement récit et argumentation Les procédés qui permettent à la Fontaine de piquer la curiosité du lecteur et d’amorcer la vision critique sont en effet de nombreux dans le texte. I) Une entrée en matière vive et rapide La fontaine pose d’emblée le cadre de l’action

sera l’oeuvre de Charpentier), après le deuil de son ancienne compagne Madeleine Béjart, malade lui-même, la pièce devient met à nu les angoisses humaines face à la maladie et la mort. Tout cela – et c’est le génie de Molière – à travers le rire, qui n’est jamais très loin. Dans l’extrait choisi Beralde vient voir son frère Argan, le personnage principal, pour plaider la cause de sa nièce Angélique que ce dernier oblige à épouser Thomas Diafoirus, jeune diplômé de médecine, afin d’avoir un

but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations qui provoquent le rire et l’ordre habituel

mémorisation et application : la phrase complexe et les subordonnées Le vocabulaire des valeurs (références à la société médiévale) 1er réseau de mots : l’univers médiéval 2ème réseau de mots : le portrait physique et moral 3ème réseau de mots : le rire Pour introduire le chapitre : Deux exposés oraux : Exposé 4 : Le Roman de Renart (+ approfondissement p.162) Exposé 5 : François Rabelais Pour la séance suivante : Lire le texte p.150 et répondre aux questions 1 à 3, 7b et 8a p.151, au brouillon

ARGUMENTATION : LES POLÉMIQUES LITTÉRAIRES (I) François RABELAIS : Gargantua (1534) Avant de raconter les aventures du géant Gargantua, fils de Grandgousier roi des Dipsodes, RABELAIS (1483-1553) met en garde son lecteur : qu’il ne se laisse pas prendre au piège d’un texte apparemment destiné à son seul divertissement. 1 Buveurs très illustres, et vous vérolés très précieux, — car c’est à vous, non aux autres, que je dédie mes écrits —, Alcibiade, dans un dialogue de Platon intitulé Le Banquet, faisant

Dissertation : Le conflit au théâtre Dissertation C’est dans les rues Grecques qu’apparues les toutes premières représentations théâtrales pendant l’Antiquité, dont le simple but était de faire rire ou pleurer les passants. Une caractéristique commune à la très grande majorité des œuvres théâtrales en tout genre fut donc présente dés le jour de naissance de ce genre littéraire particulier: la présence d’un intrigue. En effet, dés lors des millions de dramaturges créent des histoires dont

et « cochons » (vers40). Victor Hugo rapproche à Vaugelas (vers 11) d’avoir condamné certains mots comme ceux après la lettre  F. Pour lui tout est important. Il est dit vers 14, que les mots familiers sont réservés à la comédie, donc pour faire rire. Le célèbre poète, ne s’interdit pas l’humour, dans ce poème, cela donne plus de capacité à ses idées. Il caractérise par exemple l’Académie de « vieille douanière » (vers 22) qui cache sous ses jupons des « tropes effarés » (vers 23).   Pour nous

Expression écrite : Argumentation - Février 2013 L’art doit-il être obligatoirement engagé ? L’artiste ne peint pas ou l’auteur n’écrit pas juste pour le plaisir, mais pour un but bien précis dans lequel ils voudront et seront engager. L’artiste s’engage alors à dénoncer des faits, ou solliciter des idées, il peut aussi se servir de l’art pour accomplir son devoir de mémoire. En effet, l’art est une façon de s’exprimer. L’art est un moyen de faire partager ses idées au public, d’informer

Pour elle, ce mot « divin, est vraiment hors d’usage », tandis que pour lui, l’adjectif était sensé la mettre sur la voie, pour qu’elle comprenne qu’il était un Dieu. Le mot « divin » devient donc le pivot de cette scène, et laisse place à des argumentations et à des contestations. Entre ces deux personnages, le dialogue prend alors un registre polémique. Ce registre s’appuie dans ce texte sur la figure d’insistance d’énumération comme, « le mot parfait, le mot charmant, le mot agréable », ainsi

aveuglé par ses maladies factices, il ne décèle pas le manque de professionnalisme des différents médecins, ni la ruse que sa femme joue devant ses yeux. Le but de cette pièce est véritablement de critiquer les médecins et de corriger les mœurs par le rire. Cette comédie est aussi accompagnée d’intermèdes musicaux et dansants qui agrémentent l’œuvre finale. Cela nous amène donc à nous demander si la représentation du Malade Imaginaire est nécessaire pour pouvoir apprécier la pièce. Nous verrons premièrement