Argumenter Dans La Fable

donc intéressant d’étudier sa thèse et les différents arguments proposés par le philosophe des Lumières. Tout d’abord Rousseau critique au présent d’énonciation qui s’apparente : il fait un discours, il énonce sa thèse ; le choix du présent rend l’argumentation réelle, proche du lecteur de la critique. Rousseau raisonne de manière déductive : tout d’abord, il dresse tout d’abord un constat de la ligne 1 à 5 : les enfants, après avoir lu la fable, feront le contraire de la morale voulue par l’auteur

un Milan ; un rapaceaffamé et un Rossignol chanteur, qui demande la vie sauve. Pour cela, il plaide et argumente, mais le Milan restera innacessible à son a son argumentation. Il s’agira de nous interroger sur la portéemorale de cette fable. Tout d’abord, nous évoquerons le plaisir que la fable procure au lecteur pour ensuite pouvoir étudier son apologie. Nous allons d’abord voir que la fable procure aulecteur plaisir et divertissement par la constante opposition entre le Milan et le Rossignol

raison Arlequin égaré par la perspective de pouvoir peser sur lui. Ainsi, l’on peut passer en revue les arguments qui sont avancés par Iphicrate : -L’intelligence : « Mais je ne te comprends point, mon cher Arlequin. » -L’amour : « Eh ne sais-tu pas que je t’aime ? » -La nécessité : « Mais j’ai besoin d’eux, moi. » Une fois ces arguments avancés, il fait appel à d’autres arguments : -L’insolence (et donc l’impolitesse et le manque d’éducation de son esclave) : « Esclave insolent ! »

Sujet : Expliquer ce qui, dans un apologue – fable, conte, utopie,... – peut susciter plaisir et intérêt chez le lecteur. Introduction : L’apologue est une histoire courte à travers laquelle il nous est donné une ou plusieurs leçons. Il se présente sous diverses formes telles que la fable, le conte ou l’utopie, mais quel que soit sa forme il garde le même objectif, nous communiquer un message grâce à une morale, tout simplement, comme le dit La Fontaine, ses fables ont pour but de « plaire » et

Les membres et l'estomac, Jean de la fontaine I.Une fable à structure complexe La fable s'éloigne du schéma trad suivi par La fontaine car pas accompagné d'une morale . Le découpage comporte des tiroirs essentiellement dus aux différents discours développés dans le texte 1)L'anecdote Personnages allégoriques qui ont des comportements humains : ils parlent, réfléchissent sur leur choix de vie, ont des revendications ( V 6-7-8) Ex : Gaster Une relation perçu injuste ( V5) les membres

Les animaux malades de la peste de Jean De La Fontaine Intro :  • Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, une richesse du dialogue. La Fontaine donne autant d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale : la raison du plus fort.  • La fable amène une réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du

Objet d’étude : L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer (la Fable, le conte philosophique, l’essai) Lecture analytique n°1 Texte : Jean de La Fontaine « Le Vieux Chat et la Jeune Souris » Fables, XI, 5 (1668) Introduction : Cette fable se présente comme un apologue très classique. D’une part parce qu’elle respecte l’organisation traditionnel de la fable : un récit, suivi d’une moralité en rapport avec l’histoire racontée. D’autre part, parce

brouillon Relire ses interprétations et voir les idées qui reviennent - Sélectionner les 3 principales qui deviennent le I, II et III. Le I, II et III se subdivisent en 2 ou 3 parties : A, B et C A, B et C sont des paragraphes argumentés, ils comportent : - 1 argument - 1 exemple : 1 procédé - Citation(s) du texte avec les lignes - On revient sur l'exemple en montrant de quoi il l'a illustré. Introduction en 3 parties : - Situer l'auteur et l’œuvre à la lumière

Ce corpus est constitué de trois apologues, écrits à des siècles différents. Le premier est une fable écrite au XIIIème siècle par un anonyme, puis traduite en prose par G. Rouger. Elle se nomme «  Le prud’homme qui sauva son compère ». La seconde intitulée «  L’huitre et les plaideurs » fut écrite par Jean de la Fontaine en 1678. Enfin, le troisième est un conte philosophique, extrait du chapitre 6 du roman Zadig écrit par Voltaire en 1747. Les dénominateurs communs à ces 3 textes sont la

SÉQUENCE 3 : ARGUMENTATION : APPRIVOISER LA MORT JEAN DE LA FONTAINE, Fables livre VIII (1678) Étude de « La Mort et le Mourant », Fable I INTRODUCTION Jean de la Fontaine (1621-1695) : poète français du XVIIème siècle (Classicisme), il est aujourd’hui connu pour ses fables. Moraliste, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire. Pour cela, il a pour coutume de faire intervenir des animaux personnifiés, dont les travers de caractère