Argumenter En Amour

du présent → conception pour lui justifiée et vraie *Indices montrant son opinion sur le mariage → Question rhétorique / exclamations (se fiche de l'avis de sganarelle) *Sentiment réel du personnage expose sa thèse, rythme ternaire (insistance), argumente 2) Le plaisir amoureux *1ère personne du singulier → point de vue *beauté → physique / caractère *vocabulaire hyperbolique → oxymore *justice de l'amour, pour lui il est juste d'agir ainsi 3) Une leçon de séduction *vocabulaire guerrier → conquête

des magistrats, des villes; est-ce qu'elles ne livrent pas des guerres, est-ce qu'elles ne forment pas des alliances ? » Et le spirituel écrivain, acceptant sur ce point les assertions les plus fantastiques de certains voyageurs, ramasse tous les arguments qui lui semblent propres à exalter les animaux aux dépens de l'homme et à tourner en ridicule lés glorieuses destinées que nous promet la Parole de Dieu (1). Ce genre d'attaque n'est donc pas nouveau, mais il a trouvé dans les progrès de la science

je dois astreindre mon argumentation, ainsi que l'ordre de mes idées à quelques règles élémentaires auxquelles obéit tout raisonnement. Cependant n'est-il pas possible parfois de vouloir avoir raison non pas par souci du vrai, mais simplement par amour propre et pour ne pas perdre la face. En ce sens, il serait possible d'utiliser la raison non comme fin mais comme moyen, c'est-à-dire comme un instrument de pouvoir et de persuasion. Loin d'être seulement au service de la vérité, la raison peut ainsi

Electre", celle-ci répond: "Il est des regards de peuples morts qui pour toujours étincellent". Vaut-il mieux la mort que le crime impuni? Giraudoux se garde bien de répondre : au spectateur de se forger une opinion. Cependant, il fournit des arguments aux personnages, et la pièce n'est qu'une succession de tirades ou de dialogues plaidant pour l'un ou l'autre des points de vues. Ainsi dans les scènes 2 et 3 de l'acte 1, le Président puis Egisthe exposent un système prônant le bonheur fondé sur

Que pensez-vous de ces deux avis sur le mariage ? Vous exposerez vos réflexions dans un plan argumenté. I- Lisette et Silvia ou le problème du mariage A. Lisette ou une conception trop optimiste sur le mariage Lisette est en quelque sorte la porte parole de l’opinion commune, on le voit par l’utilisation du pronom « on ». Lisette exprime une conception trop optimiste, trop conformiste sur le mariage. On trouve ainsi dans le texte l’acceptation de tous les préjugés, de tous les « on-dit »

passion amoureuse quant à elle est vécue comme un coup de massue, cela tombe sur les deux personnes sans qu’elles s’y attendent vraiment. Cette relation fusionnelle et passionnelle peut alors être vécue comme un amour fort, que rien ne peut éteindre, ou, dans le cas contraire, comme un amour destructeur. Dans le corpus qui nous est présenté, nous pouvons constater, dans les quatre textes différents que

besoin de médicaments, c’est que tu es tombé malade, et moi quand je suis malade, je suis malheureuse, car je ne me sens pas bien ! Et sans parler de maladies, l’amour de ta famille ou de tes amis suffisent à te rendre heureux ! Clément : Leur simple amour ? Que veux-tu que j’en fasse si nous ne faisons rien ? Il faut faire des activités, et pour faire ces activités, il faut de l’argent ! De plus, si j’ai envie de leur faire un cadeau, cela leur fera plaisir, mais il me faut de l’argent pour leur offrir 

apparemment rigoureuse. A / La forme de l'argumentation est maitrisée. - thèse réfutée : « quoi qu'en dise aristote » avec un argument d'autorité. - thèse proposée : il n'est rien d'égal au tabac. - conclusion en maxime : « et qui vit sans tabac, n'est pas digne de vivre », soutenue par le rythme binaire de l'alexandrin blanc. - conclusion soutenue par des arguments : « non seulement », « mais encore »... et par des exemples, d'autant plus persuasif qu'ils sont énoncés à la deuxième personne

s'accumulent avec la restriction : « rien qu'une sorte de bonté » (l.588) ainsi que sa dernière réplique remplie de négations : « je ne me trompe pas » (l.606), « et non pas » (l.607) et « je n'en tire que » (l.608). Le Prince s'oppose en tout point aux arguments que Mlle de Chartres va alors proposer. Ensuite, celle-ci riposte et organise son plaidoyer pour se défendre plutôt vainement. Sa réponse contient une bizarrerie. En effet, les paroles de son fiancé étaient formulées avec l'imparfait itératif :

infidèle, car il ne l’a jamais aimé : « Il faut se croire aimé, pour se croire infidèle. » (p.8, vers 20) Pour Pyrrhus, sans amour il n’y a pas de fidélité. Ainsi, il ne ressent pas de remords pour avoir trahit Hermione, car aucune passion commune n’existe entre ces deux individus. Le parallélisme illustre la relation qui est présente entre l’amour et la fidélité, sans amour il n’y a pas de fidélité. o 2.3.9 Personnages de la mythologie