Arguments Contre L Homoparentalité

directement des mutations de la sphère et des structures familiales depuis une trentaine d’années. Ces nouvelles configurations de la famille auraient en quelque sorte imposé un renouvellement du lexique de la parenté. Pour prendre la mesure de cet argument, il peut être utile de rappeler ici succinctement quelques éléments de cette transformation. Mais nous verrons que l’important réside peutêtre moins dans le fait que la famille ait changé que dans la difficulté d’en interpréter les causes et surtout

jurisprudence. Aujourd'hui, la jurisprudence a bien gagné la partie. Il suffit de scander un mantra bien rythmé (« pacification », « objectivisation », « déjudiciarisation ») pour que ces quelques mots dictent leur conduite aux juges, y compris contre le texte même qu'ils sont censés appliquer... Pour ce qui est de la remontée des effets du divorce au début de la séparation, nous sommes frappés par le peu de réflexion pratique que cela suggère à la doctrine. Chacun paraît se satisfaire de la situation

aussi un aspect institutionnel. En 1804, on a pas supprimé totalement le divorce (ce sera fait en 1816) mais on l’a maintenu avec beaucoup de contraintes. C’est donc l’aspect institutionnel qui prévalait de nouveau. Cf : Mariage homosexuel, homoparentalité et adoption – Gilles Bernheim Le mariage est un principe fondamental d’ordre public est protégé par le Conseil constitutionnel qui en fait un principe de valeur constitutionnelle. Cette liberté est protégée, mais cela implique le droit de se

alors qu’une union civile, s’il y a consensus entre les conjoints et que le couple n’a pas eu d’enfants, peut être dissoute devant un notaire. De plus, depuis 2002, un enfant peut avoir un acte de naissance qui le lie à deux pères ou deux mères (homoparentalité). Maintenant que le mariage gai est « légal », l’union de fait n’est plus très populaire. En droit des personnes, en 1989, on ajoute ce qui touche aux curateurs (personnes qui vont s’occuper de nos biens si on devient en situation d’incapacité)

des facteurs multiples : origine et appartenance sociales, formation, accumulation patrimoniale, genre, génération, etc. Acquis de première : salaire, revenu, profit, revenus de transfert. On s’interrogera sur les fondements des politiques de lutte contre les inégalités en les reliant à la notion de justice sociale ; on rappellera à ce propos que toute conception de la justice doit répondre à la question : « L’égalité de quoi ? ». On distinguera égalité des droits, égalité des situations et égalité

transfert. Égalité, équité, discrimination, méritocratie, assurance/ assistance, services collectifs, fiscalité, prestations et cotisations sociales, redistribution, protection sociale. On s’interrogera sur les fondements des politiques de lutte contre les inégalités en les reliant à la notion de justice sociale ; on rappellera à ce propos que toute conception de la justice doit répondre à la question : « L’égalité de quoi ? ». On distinguera égalité des droits, égalité des situations et égalité

pratiques eugéniques : sélection des personnes, crainte due à Hitler. Mais loi de 2004 autorise le diagnostic prénatal sur l’embryon in utero ou in vitro. Le droit avec toutes ses faiblesses cherche à consacrer la dignité de la personne humaine contre toute atteinte : art 16 du Code civil « la loi assure la primauté de la personne ». Chapitre 1 : Définition de la personne I : Personne et chose La personne est un sujet de droit : certains auteurs pensent que les animaux ont des droits

à l’ancienneté, celui dont on célèbre par avance le bicentenaire, le Code civil de 1804 qui est, en effet, entre toutes les lois encore en vigueur, le corps de droit le plus ancien. Or ce livre où l’on cherche des exemples fourmille aujourd’hui de contre-exemples. Dans sa teneur actuelle, le Code est encombré de détails et de dispositions compliquées. Sans doute n’est-ce pas le fait de toutes les lois postérieures dont certaines l’ont enrichi et même rénové. C’est le méfait de textes mal préparés

; la France ne s’aime plus. La douce France vire à la France amère ; malheureux comme Dieu en France ? Les Français ne reconnaissent plus la France. La Liberté est devenue l’anomie, l’Égalité, l’égalitarisme, la Fraternité, la guerre de tous contre tous. « Tout a toujours mal marché », disait, fataliste, l’historien Jacques Bainville. « C’était mieux avant », lui rétorque, nostalgique, l’écho populaire. Pourtant, rien n’a changé. Le pays est en paix depuis soixante-dix ans ; la Ve République

Orientation : Où en est-on ? La classe : Les profs face à la difficulté scolaire La recherche : Comment lutter contre la désaffection des sciences ? Le système : Crise de l’Ecole ou de la société ? Où en est-on de la seconde carrière ? Dossiers : Les sciences et le documentaliste, Ombres et lumières en maternelle, EPS et santé, Jeun’s Today in Europe, Les jobs d’été, Erth Day 2007, Eduquer contre le racisme, Eau et développement durable, Géopolitique : le dossier des Amériques etc. Et toutes les rubriques