Arguments sur l'existence de Dieu

Judaeis possit efficaciter probari Salvatorem nostrum fuisse Deum et hominem . Comme l’indique l’incipit, l’ouvrage traite d’abord le problème théorique de l’efficacité de la controverse, puis montre d’après les Ecritures juives que le Christ fut Dieu et homme. Ce traité, issu d’une question quolibétique orale remaniée, n’est pas destinée à être lu par les juifs et ne s’adresse pas à eux, pas même fictivement. Il vise à exposer la théorie et la pratique d’une discussion de type scientifique sur

et caractéristiques de sa propre personne. Ainsi il voit, à l'oeuvre dans la nature, des puissances qui lui sont semblables mais toutefois elles lui sont supérieures – par ailleurs il a également tendance à faire un rapprochement au divin. Dès lors Dieu ne serait que la représentation d'une fantaisie. Et seul l'expérience serait capable de nous donnés une explication rationnelle aux phénomènes qui nous entourent. Le monde ressemble à une machine. ( 1èrement : le monde fonctionne comme un grand

démonstration publique : - En quoi consiste l’intervention brillante de Villecourt face au roi ? - Relevez, dans la démonstration du personnage, deux arguments qui tendent à prouver l’existence de Dieu : - - - Quelles vont être les réactions successives de Louis XVI face à tant de brio ? Expliquez. « - J’ai démontré ce soir l’existence de Dieu... Mais je démontrerai aussi bien le contraire quand il plaira à Sa Majesté. » - Commentez ce qui arrive alors subitement à l’abbé de Villecourt

parties principales d’une introduction. Ne pas passer de lignes entre elles, allez juste à la ligne quand vous finissez l’une d’elles. PREMIERE PARTIE : Etre soi-même est la seule possibilité pour la conscience Sous-partie 1 Argument : Etre soi-même c’est avoir conscience de son identité - L’expression « soi-même » renvoie à une expérience subjective que fait une conscience → Soi-même c’est l’idée d’un Sujet Exemple :

personnelle de la religion. 2. soit du mot(re) ligare qui signifie attacher ou relier : au sens de «lien», de «relation» entretenue par l'homme, la religion peut s'entendre de deux manières : • en tant que lien vertical avec Dieu, donc d’ordre divin. • en tant que lien horizontal entre les hommes, donc au sein des membres de la communauté. I ) L’homme comme «animal religieux» («homo religiosus») La religiosité de l’homme serait née de

conscience individuelle (confession) « depuis le début de toute l'histoire, le fléau apparaît dans Dieu […] tombez à genoux »Le chrétien doit s'abandonner à Dieu et à la foi doit accepter totalement la création même la souffrance et l'existence du mal sur terre, il veut montrer que les oranais subissent les conséquences de leurs indifférence à Dieu donc ils reçoivent une punition collective envoyé de Dieu = la peste qui les obligent à réfléchir à leurs propres misères et à se repentir c'est un acte de

une croyance sans Dieu) mais la croyance de ce qui n’est pas rationnel, qui ne se définit pas. La raison et la foi semblent être au cœur d’une rivalité depuis fort longtemps. Au IIIe siècle avant Jésus Christ, l’Epicurisme, qui faisait entendre que « le monde n’est rien pour nous, il ne faut pas en avoir peur ni craindre les dieux » s’opposait déjà au Stoïcisme qui énonçait que « le monde est un être vivant dont Dieu est l’âme ». L’explication rationnelle par la force des arguments paraît dénier toute

sociables, « l’homme est par nature un animal politique » que s’il ne vit pas en société c’est un être inférieur ou bien supérieur à l’humanité, « Et celui qui est sans cité[…]est ou un être dégradé ou au dessus de l’humanité. » Ensuite il argumente sa thèse en citant l’exemple d’Homer, « Sans famille, sans loi, sans foyer », un homme sans société et qui est dépourvu de culture, et d’éducation est comme une pièce isolée inutile. Il exprime que l’homme n’est pas spécialement différent de tel

les Anciens y ont cru. Les théologiens et les philosophes modernes admettent jusqu’à présent l’existence de créatures de cette sorte, bien qu’ils ne s’entendent pas sur leur essence. Les uns les composent d’une matière très ténue et les autres prétendent que ce sont des êtres spirituels. Mais peut-être (comme j’ai commencé à le dire) sommes-nous en grand désaccord, car je ne sais si vous admettez l’existence de ces êtres. Vous n’ignorez pas cependant qu’on trouve dans toute l’antiquité tant d’exemples

Cependant les individus ne s'entendent pas sur tout, notamment sur les questions de la finalité de leur existence ou les valeurs qui doit structurer leur vie. • Pour Platon : un outil pour surmonter ces désaccords sur les valeurs et la finalité de l'existence : la méthode dialectique. Pour lui par l'examen dialectique, on peut discerner le bien du mal, le juste et l'injuste et réaliser des accords communs. Socrate essaie de faire prendre conscience aux homme qu'ils ne sont pas voués a l'affrontement