Arguments sur l'existence de Dieu

plusieurs philosophes des temps anciens, grâce à leur travail, ont pu transmettre leur savoir et ainsi influencer les générations futures. Les théoriciens du siècle passé offrent maintenant des conceptions de l’origine de l’homme, qui à l’aide de leurs arguments tant recevables qu’irrecevable, tenteront d’imposer leur point de vue au monde entier. Deux d’entre eux se montreront particulièrement insistant, présentant une conception athée et théiste. Jean-Paul Sartre propose effectivement une vision athée

discrédité, même Dieu, même le Diable ». L’étymologie du mot « religion » est incertaine : le latin « relegere » signifie relire, revoir avec soin, recueillir, rassembler, tandis que le latin « religare » signifie lier, attacher. Quoiqu’il en soit, ces deux termes évoquent l’idée d’obligation de la pratique religieuse : elle tend à l’union des hommes entre eux et à l’union des hommes aux Dieux. La notion de religion implique un rapport direct et individuel de l’âme humaine à un Dieu ou, pour le dire

s’appuie pas véritablement sur l’expérience pour dégager une vérité, la suite de la phrase affirment que les enfants monstrueux sont le fruit de la colère de Dieu qui veut punir pères et mères pour des actes qu’ils ont commis tels copuler « comme bêtes brutes » (l13) ou s’accoupler « sans respecter le temps ou autres lois ordonnées de Dieu et de Nature » (l.13-14) comme le cas des «femmes souillées de sang menstruel [qui engendreront forcément] des monstres » (l.16-17). Il ne procède donc pas selon

d’atteindre la vérité ? La conscience doit-elle douter de manière permanente ? Le rejet de toute vérité, peut-il entraîner avec lui l’exigence de vérité qui l’a autorisé ? Ce n’est que par et pour mon esprit que tout est douteux. Pour douter de l’existence de l’esprit qui doute. Le doute ne doit-il pas être méthodique et provisoire ? Pourtant si le scepticisme n’est pas une vie, ne doit-il pas être un chemin, une inquiétude dans laquelle notre pensée doit apprendre à se poser ? Sans le doute, manifestation

d’être religieux et ce petit groupe d’individus revendique sa liberté, refuse toute contrainte et ne dépend de personne. Les libertins prônent le divertissement comme art de vivre. 1664, il connait une nuit d’extase mystique (révélation de l’existence de Dieu), il a d’ailleurs consigné l’émotion sur une feuille à bouleverse ses idées et sa façon d’appréhender le monde. Il va alors se mettre au service des jansénistes à religieux ou laïcs qui se retirent dans des abbayes et qui se caractérisent par

que l’existence renvoie à l’être, non en tant qu’essence, mais à l’être en tant qu’il s’oppose au néant. C’est là ce qui fait que l’existence est d’emblée non pas l’objet d’une définition, mais plutôt de toute une série d’interrogations : 1. Etre ou ne pas être ? 2. Pourquoi quelque chose est plutôt que pas ? 3. Pourquoi existons-nous ? La question « Pourquoi ce qui est, est-il plutôt comme ceci que comme cela ? » est plus de l’ordre de la question de l’essence. La question de l’existence émerge

introduit ses propos à l'aide d'un exemple fictif, en faisant appel à l'imagination de ses lecteurs, dans lequel « Un homme est jeté par la tempête dans une île inconnue » qui est confondu avec le roi de cette dernière, fiction qu'il concrétise avec des arguments de pensée. Puis, Pascal défini les grandeurs dites « naturelles » et « d'établissement » mettant en évidence leurs différences, et enfin, il nous éclaire sur la « condition véritable » des grands notamment la concupiscence des hommes. Ainsi, ces

BERGSON En établissant une distinction entre le sacré et le profane, la religion permet à l’homme au sein de sa communauté de se libérer de ses peurs. En effet, l’existence d’une divinité, de dieux ou d’un esprit permet un réconfort moral lui permettant d’appliquer un certain relativisme à sa vie, à ses peines et a ses malheurs. Le Dieu supérieur n’est alors que le reflet de nos qualité, de nos sentiments sous formes idéalisée. L’imperfection de l’homme, source de malheurs ne repend par contrastes

religion, à ce que je vois, est donc l'arithmétique? Il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que, pour avoir bien étudié, on en est bien moins sage le plus souvent. Pour moi, Monsieur, je n'ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne saurait se vanter de m'avoir jamais rien appris; mais, avec mon petit sens, mon petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres, et je comprends fort bien que ce monde que nous voyons n'est pas un champignon qui soit

causé par Dieu. Lors d’un dialogue avec Dom Juan, Sganarelle lui dira que cela se produisait. ‘’Cependant vous voyez, depuis un temps, que le vin émétique fait bruire ses fuseaux. Ses miracles ont convertit les plus incrédules d’esprits.’’. Dans cette citation, il  y a une personnification, car  le vin émétique ne peut pas faire bruire des fuseaux. L’auteur voulait simplement faire une analogie pour rendre Sganarelle plus convaincant. Pour un croyant, tout ce qui existe est fait par dieu. Comme Sganarelle