Arguments sur l'existence de Dieu

La religion peut-elle être l'objet d'une critique rationnelle? Le dogme de la création du monde et des espèces vivantes par Dieu est contesté par la théorie scientifique de l'évolution. En effet, du point de vue des textes sacrés des trois grandes religions monothéistes, Dieu est est à l'origine – en tant que concepteur et fabriquant, ou architecte - du monde et des espèces qui sont déterminées et fixées une fois pour toutes. La théorie scientifique, à partir de Darwin, s'oppose non seulement

l'exigence de démonstration? Tout d'abord, la pensée sans exigence risque d'être peu communicable. L'arbitraire dans le discours renvoie à une conviction individuelle, mais comment persuader l'autre que l'on a raison? Pour persuader, il faut des arguments, lesquels supposent un langage défini en commun et une manière de penser également commune. Le modèle de la démonstration rigoureuse est fourni par les mathématiques, même s'il est clair qu'on ne raisonne pas quotidiennement de manière aussi stricte

de l'existence de Dieu. Sganarelle est convaincu que Dieu existe, thèse qu'il soutient fermement dans sa tirade. Dom Juan lui est rationnaliste et libertin d'esprit. Il ne croit pas en l'existence de Dieu, c'est un athée. Dans cette scène le valet parle beaucoup plus que le maitre, ce qui ne tourne pas à son avantage. En effet il s'emporte lorsqu'il remarque que son maitre ne répond pas : « je ne saurais disputer si l'on ne m'interrompt » (l96) Dom Juan semble peu interessé par les arguments de son

Spinoza, nos désirs sont dictés nécessairement par une volonté déterminée. Les désirs sont premiers par rapport à la raison qui donne ensuite des arguments pour aimer tel ou tel objet. C’est la rationalisation. Rationalisation : raison qui est de mauvaise foi, qui se trouve des justifications à ce qu’on a déjà fait. Une autre objection à l’existence du libre arbitre est la suivante : Dans le monde naturel, un phénomène ne peut se produire que par contact (cause), le morceau de sucre tombe si

qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit, contrairement, par exemple, au déisme, au théisme et au panthéisme qui soutiennent ces existences, ou à l’agnosticisme qui considère qu’on ne peut répondre à ces questions. Étymologie Usages anciens Dans la Grèce Antique, l’adjectif atheos (en grec : ἄθεος, composé du ἀ- privatif + θεός dieu) signifie « sans-dieu ». Le préfixe « a » indique une absence de dieu revendiquée en Grèce

sorte recommandable, qu’en vous disant en peu de mots ce que je m’y suis proposé. J’ai toujours estimé que ces deux questions, de Dieu et de l’âme, étaient les principales de celles qui doivent plutôt être démontrées par les raisons de la philosophie que de la théologie : car bien qu’il nous suffise, à nous autres qui sommes fidèles, de croire par la foi qu’il y a un Dieu, et que l’âme humaine ne meurt point avec le corps ; certainement il ne semble pas possible de pouvoir jamais persuader aux infidèles

et du libertinage amoureux, fondé sur le plaisir. Le libertinage intellectuel apparaît, en ce début de pièce, de façon beaucoup plus discrète, notamment dans la manière qu’a Dom Juan de défendre sa position en articulant de façon construite des arguments sensualistes (ce qui révèle l’enjeu intellectuel qui sous-tend sa course au plaisir). La question religieuse reste encore au second plan, et seul Sganarelle semble s’en soucier. Dom Juan se contente d’ailleurs de lui répondre : « Va, va, c’est une

Descartes affirme donc l’existence en tant que pensée indépendante de la réalité du corps et du monde extérieur « Je suis » est une âme qui se définit par la pensée spirituelle. L'âme est substance pensante (il est un fait que dans l'être humain l'âme dépend du corps, mais cette dépendance n'est pas essentielle). Descartes nous prouve par la suite, l’existence de Dieu, suite à la description d’un être parfait, l’idée de la perfection lui fait évoquer Dieu. Il nous explique aussi que Dieu que la cause de

d’Alexandrie). Développement de cette pensée. Un mouvement de pensée nouveau né : l’Humanisme, il considère l’Homme en tant qu’être à part entière (indépendant de Dieu, sur Terre) et certaines questions se posent avec la découverte des Amériques : les indiens sont-ils des Hommes ? car ils n’ont pas eu la Révélation (envoi du fils de Dieu sur Terre). Ceci implique donc un nouveau concept, celui de tolérance. On remet donc aussi en question la vie sur Terre, pourquoi seulement attendre la montée au

personnel à chaque personne, en fonction de ses croyances religieuses. Je défends donc qu’il ne faut pas punir les auteurs d’actes irrespectueux envers les dieux. (181mots) Mon premier argument est qu’il ne faut pas punir les auteurs d’actes irrespectueux envers les dieux est qu’il est impossible de prouver l’existence d’un dieu de façon rationnelle. Punir les impies reviendrait donc à punir des gens sans aucune raison valable. Cela revient à effectuer une action sans raison. En temps normal, cela n’aurait