Aristocratie

descendre au calcul des intérêts journaliers et mesquins de l’existence », à rester dans une sphère supérieure afin d’accomplir l’« obligation de leur existence » : diriger la France. Cette tâche est indispensable à la stabilité de la France : « Une aristocratie est en quelque sorte la pensée d’une société, comme la bourgeoisie et les prolétaires en sont l’organisme et l’action. » (925) Ainsi, pour assumer cette charge, toute la logique aristocratique consiste à donner aux nobles « des forces sociales

que symbolisent les voyages réels / les voyages symboliques.   La villa de San Lorenzo et Donnafugata symbolisent la puissance d’une famille dont les valeurs résident dans la permanence, la reproduction des mêmes gestes et la prééminence d’une aristocratie que les siècles ont polie. Les déplacements s’opposent à ce schéma traditionnel, sauf s’ils sont cycliques et ramènent à la stabilité. Il faut donc envisager aussi les voyages cycliques et les voyages sans retour. La thématique du voyage peut

fait de manière démocratique, car presque chaque voix compte, mais ceux qui ne sont pas les ‘meilleurs’ n’arriverons pas à acquérir les postes bien place. Cela est dans un sens un peu paradoxal, car on jongle un peu entre les termes démocratie et aristocratie.

état de privilégiés, qui les fait vivre d’avantages injustes attachés à la naissance, les empêche aussi d’exercer une profession particulière. Sans s’en prendre au roi, le pamphlet suggère que la royauté est dès lors coupable de soutenir cette aristocratie parasite. -

Eugène est plongé dans un nouveau monde de conventions sociales, les drames y sont ceux du cœur, telle que la séparation de Mme de Beauséant et du marquis d’Adjuda-Pinto. A la différence des autre milieux où règne l’attrait de l’argent, la vieille aristocratie reste donc fidèle à la pureté du cœur. Vautrin : Son milieu social n’est pas décrit, il évolue dans un milieu abstrait, invisible mais qui reste omniprésent. Vautrin dévoile à Eugène les mécanisme de la fortune dans une société de mensonge

Honoré D'urfé : Ecrivain françaisNé à Marseille en 1567 ,Décédé à Villefranche-sur-Mer en 1625Auteur de 'L' Astrée ' un monument de la littérature précieuse, Honoré D'Urfé fait parti des grands hommes de lettres du XVIIe siècle. Issu de la haute aristocratie, il reçoit une éducation auprès des Jésuites et soutient tout sa vie la Ligue Catholique et le duc de Nemours. Son oeuvre, qui se développe autour d'une lecture platonicienne de l'amour - comme en témoignent 'Les Epitres morales' - s'inscrit dans

mobilisatrice qui permet de réconcilier division du travail et démocratie ; et enfin très important, la procédure élective sans véritables conditions légales d’éligibilité mène toujours à la supériorité des élus sur les électeurs : la sélection d’une aristocratie. Ce dernier point est très important, il ne fut reconnu en Europe qu’un siècle plus tard ! C’est finalement au 19 et 20ème siècle que l’on assiste à une extension du droit de suffrage. Pendant très longtemps, des philosophes tels que Rousseau ou

Ce roman paru en 1880 ayant pour cadre le Paris de l’époque, a pour but d’établir une satire sur plusieurs sujets en réalité très liés. En effet, Zola a voulu, dans son œuvre, confronter deux sociétés opposées l’une à l’autre : La grande aristocratie d’une part et le milieu ouvrier d’autre part. Le blâme que porte l’auteur sur la bourgeoisie d’affaires, le luxe et l’argent est donc fondé sur ces deux corps sociaux qui feignent de cohabiter et de s’apprécier dans un milieu dépravé. En effet

des droits de l'Envie". Cette idée souligne que, plus il y a de démocratie, plus elle s'étend, plus il y a d'égalité, plus l'homme en désir. A tel point, qu'elle en devient une obsession, suscite la frustration et la convoitise. Contrairement en aristocratie où l'homme est admiratif envers ceux qui domine, ici en démocratie, l'homme est jaloux. Cette forme d'égalité est jugée de "mauvaise" selon Tocqueville. En effet, elle ne permet pas de renforcer, d'élever la société et ses sujets, mais la ralentie

américaine. L’œuvre traite ainsi de l’influence que la démocratie exerce sur la société civile, ses mœurs, ses idées et sa vie intellectuelle. L’extrait étudié traite de l'influence que la démocratie exerce sur la famille. Ainsi, avec le passage d’une aristocratie à une démocratie, quels changements se sont opérés dans les relations familiales ? D’après Tocqueville, l’égalité des conditions modifie le rapport des citoyens entre eux y compris les rapports familiaux. De nos jours, la distance entre les