Aristote Contre Le Relativisme

monarchique. Hérode (-484 à -425) qui va réfléchir sur les 3 plus grands régime gouvernemental( monarchie aristocratie démocratie). Platon et Aristote sont les 2 plus grands philosophes à avoir réfléchit sur la politique. I. Monarchie : Considéré comme le pouvoir absolu d’un seul homme. Platon propose la sophocratie (gouvernement du plus sage). Aristote dit que si on donne des pouvoirs à un seul homme il va devenir tyrannique II. Aristocratie : Gouvernement d’un petit nombre sur tous. Gouvernement

au cours des années 1990. Le « sujet », aux deux sens du terme, s’était absenté de ces études depuis les années 1960 ou 1970 ; il était démodé ou disqualifié au temps de ma formation : dans Critique et vérité, par exemple, Roland Barthes s’élevait contre la morale défendue par l’ancienne critique, ses normes implicites, ses interdits bourgeois. La nouvelle critique ignorait la psychologie des personnages au même titre que la biographie des auteurs, et elle réprouvait l’identification et l’empathie

€conomie vient d'ailleurs du grec (de oikos, la maison, notamment en tant qu€unit€ sociale et €conomique, et nomos, l€ordre, la loi). Parmi les penseurs, souvent philosophes, qui se sont int€ress€s „ Code d'Hammurabi l€€conomie, Platon et son €l†ve Aristote sont probablement les plus connus. Les philosophes grecs subordonnent l€€conomie „ la politique : c€est l€art d€administrer ses biens ou sa cit€. La science €conomique n€existe pas, au contraire de la science politique, qui se rapporte „ la cit€

conscience n’est pas suffisante. La connaissance va devoir être acquiseC’est la conscience qui permet d’acquérir de nouvelles connaissances.Dans la tradition, la conscience est à peu près synonyme de conscience, et les 2 sont une partie de l’âme. Pour Aristote, nous aurions une tripartition de l’âme : · L’âme végétative : principe de vie (âme= pneuma= souffle de vie) (animaux, humains, végétaux) · L’âme sensitive : les sens et les mouvements (animaux, humains) · L’âme intellective : principe de penser

dans l'Empire romain. Les premiers écrits chrétiens comportant le terme latin religio sont du iie siècle. Le terme a ainsi trouvé une place dans la littérature apologétique chrétienne lorsque celle-ci s'est employée à répondre à l'accusation de crime contre la religion ou d’irréligion faite aux chrétiens. Des auteurs chrétiens, notamment Tertullien25, réclament dès lors que le christianisme soit considéré comme une religion, tandis que le terme poursuit son évolution sémantique, devenant de plus en plus

l'entre-soi. La tradition européenne a toujours affirmé la nécessité pour l'homme de lutter contre sa subjectivité immédiate. Toute l'histoire de la modernité, dit Heidegger, est histoire du déploiement de la métaphysique de la subjectivité. Le subjectivisme conduit obligatoirement au relativisme (tout se vaut), rejoignant ainsi la conclusion égalitaire de l'universalisme (tous se valent). Le relativisme ne peut être surmonté que par l'arbitraire du moi (ou du nous) : mon point de vue doit prévaloir

servent a accomplir la paix sociale, l’ordre social. Elle donne lieu a jugement et ces normes sont sanctionnées par la coercition publique. -> Définition de nos jours. Il y a un relativisme dans la définition du droit -> tout est différent, tout dépend du contexte, les définitions varies et changent. Pour démontrer le relativisme du droit, on va essayer d’identifier la trajectoire qu’a suivi la définition du droit. En réalité, on se rend compte qu’il y a 2 modes de définitions particulières : L’IDÉALISME

emblématique du philosophe, celui dont la fonction est de penser le bien, le mal ou la distinction entre les deux, de penser les vertus, les vices, tout ce qui touche à la nature humaine, à la qualité de l'homme, «animal politique» comme l'avait dit Aristote, animal qui vit dans une société où les relations sont pacifiées par les règles de vie en société. Ce droit ne se conçoit pas de manière spécifique, il existe à ce moment là, une philosophie du droit. Les trois figures emblématiques de cette philosophie

soit actuels soit historiques, dans lesquels cela paraît avoir un sens de parler de désobéissance à la loi, sans qu’on soit pour autant considéré comme un délinquant ? Cf. droit de révolte (d’ailleurs, on parle d’un droit des peuples à la résistance contre l’oppression, de désobéissance civique, parce qu’une loi nous paraît injuste ) Très souvent, à quoi se réfère-t-on pour justifier cette réponse ? Quand on prétend désobéir en droit à certaines lois, c’est qu’on prétend alors recourir à quelque chose

respecter la loi simplement par intérêt bien compris et non pour agir moralement). Ainsi ce sont les conditions de la moralité qui sont mises en place (il est plus facile d’agir moralement dans une société en paix que dans un état de guerre de tous contre tous) . Le développement ainsi repéré de la raison satisfait la Raison dans son besoin de compréhension, il permet de donner un sens à la condition humaine, au devenir humain par delà le chaos apparent, et donne même sens à la nature dans son ensemble