Aristote La Grande Morale

connaître et surtout de décider librement de ce qui pourrait rendre son existence heureuse. A contrario, comme le suggère Kant, un État «où les sujets doivent attendre du jugement du chef d'État la manière dont ils doivent être heureux » serait « le plus grand despotisme qu'on puisse concevoir » Emmanuel Kant, Critique de la raison pratique, 1788. Or, comme l'obtention du bonheur n'est pas toujours assurée, on peut qualifier de véritable «affaire » la recherche du bonheur. En effet, s'il est facile de

telle règle relève ou non du droit et quel est son intérêt. - Pour les sociologues, il y a un ordre spontané qui se crée : les règles juridiques. - Les juristes, quant à eux, tendent à donner un caractère à la règle de droit (religieuse, morale...). exemple 1 : une épouse pourra-t-elle s'opposer au divorce au motif qu'elle est catholique ? Car lui pourra, mais elle non. exemple 2 : Engage-t-on sa responsabilité lorsqu'on ne se rend pas à un rendez-vous ? exemple 3 : Lorsque l'on promet

grec, qui a lieu au Vème siècle avant JC, va constituer un véritable changement au niveau politique. Les grecs ont été un grand peuple politique. - Il y a également la pensée politique romaine. Les romains étaient de piètres penseurs. La logique de l’Empire romain était la conquête soit la destruction des autres peuples. - La pensée chrétienne qui constitue une révolution morale qui est considérable et par conséquent une révolution politique. La nature des relations entre gouvernants et gouvernés

Critiques   ­contre le principe d’équivalence entre les  plaisirs et le bonheur…      ­ Les plaisirs sont plutôt partiels,  superficiels, passagers, alors que le  bonheur semble plus global, profond et  durable.    Bonheur et plaisirs selon Aristote  Aristote s’oppose à l’équivalence du  bonheur et du plaisir.     ­ Il ne considère pas le plaisir pour un  bien     ­ Ne considère pas que tous les plaisirs  soient désirables.     ­ La recherche du plaisir ne doit pas être  le but fondamentale de l’être humain

LICENCE I Plan Introduction I. La sociabilité naturelle de l’homme chez Aristote : l’homme, un « zôon politikon » 1. L’homme comme un animal politique 2. La cité naturelle selon Aristote comme le lieu de réalisation de l’homme. II. La problématique de la sociabilité naturelle de l’homme ou l’insociable sociabilité de l’homme 1. Les résistances humaines à la vie sociale 2. Les idéologies et théories sur la sociabilité et l’insociabilité de l’homme III. La question contemporaine

LA Politique => ensemble des activités de conquête et d’exercice du pouvoir en particulier du pouvoir par représentation LE Politique => l’homme politique, principe de cohésion d’une société I. L’homme, un « animal politique » ? ARISTOTE : « L’homme est par nature un animal politique » Cité < gr. POLIS, réunion de villages, communauté indépendante Cité<plus. villages< plus. familles<plus. individus

Contrairement à Platon ,Aristote,lui,est plus terre-à-terre et donc réaliste .Il ne cherche pas un monde meilleur ,il essai d'améliorer le nôtre en fonction du temps et de l'espace. Ce disciple de Platon s'oppose à son maitre par sa vision du monde et de la société qui l'entoure,mais aussi par le fait qu'il ai créé le lycée .C'est un penseur de référence de l'église et de la scolastique qui se base sur des faits bien réels car il observe et en tire des leçons .Avec Aristote ,on s'ancre dans la réalité

J’ai opté pour une présentation du “terreau intellectuel” dans lequel s’enracine la naissance de la philosophie occidentale marquée par l’émergence de la pensée socratique ainsi que par ses héritiers les plus directs, Platon et Aristote, eux-mêmes à la source des deux grands courants de pensée qui vont influencer directement la tradition philosophique jusqu’à la fin du moyen âge pour le moins. Il resterait bien entendu à traiter entre autre des courants de pensée qui ont marqué l’Antiquité, comme

qui régit des relations entre les personnes, qui définit une obligation. Cet ensemble s'applique à une très grande diversité de situations, il donne une vision unique de l'Homme, il s'applique nécessairement à une relation, il n'y a pas de droit solitaire. -Diversité des situations : si l'on cherche les origines de la pensée juridique, il faut nécessairement remonter aux grecs (Aristote : Suum quique tribuere , attribuer à chacun selon ce qu'on lui doit ; phénomène extérieur à l'Homme, qu'il porte

On distingue les vertus morales des vertus intellectuelles, l'âme a deux grande parties; l'une, douée de raison, et l'autre qui en est privée: il faut encore considérer la partie raisonnable comme divisée en deux autres parties; l'une, capable de juger ou d'apprécier les choses nécessaires, et l'autre qui s'applique aux choses contingentes. Aristote ici parle de la prudence (la phronèsis) qui consiste a prendre les résolutions les plus conformes à note bonheur, en général. La prudence serait une