Aristote La Grande Morale

Droit peut-il être injuste ? Nous poserons la question de l'injustice. L’injustice est une situation toujours particulière qui suppose une victime et un coupable. "Il n'y a pas d'injustice s'il n'y a personne pour nous la faire subir" écrivait déjà Aristote. Il n'y a pas d'injustice "naturelle" ni même accidentelle. Mais comment le Droit pourrait-il être injuste, alors qu'il a pour finalité de réaliser la justice (au sens théorique) ? Comment la justice (concrète) pourrait-elle faire entorse au Droit

Aristote L'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire un outil qui tient lieu des autres. C'est donc à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre de techniques que la nature a donné l'outil de loin le plus utile : la main. Aussi, ceux qui disent que l'homme n'est pas bien constitué et qu'il est le moins bien pourvu des animaux (parce que, dit-on

: les sources du droit a Rome Section 2 : la Justice paragraphe 1 : étude des théories de la Justice paragraphe 2 : l'organisation de la justice = le procès paragraphe 3 les instruments de la justice = la preuve et la peine. section 3 : les grandes catégories du droit privé paragraphe 1 : les personnes paragraphe 2 : Les biens paragraphe 3 : les obligations Intro "Le langage n'est pas seulement un mode de communication" c'est également un élément qui nous permet d'appréhender le monde

Les deux textes étudiés sont les élégies 5 et 36 écrites par l’homme politique athénien Solon, et transmises dans Constitution des Athéniens du célèbre Aristote. L’élégie était un genre poétique particulier, écrit selon des règles caractéristiques et qui traitaient à l’origine de sujets divers, comme d’amour, de morale ou de vie politique (comme c’est le cas ici). Il n’existe pas de date précise pour situer précisément les élégies de Solon, cependant tout porte à croire qu’il les aurait

! 3- On pourrait sortir de cette aporie par une lecture plus distanciée de la formule « alter ego », qui serait une manière imagée de faire de la ressemblance le critère de l’amitié. Dans les pages de L’éthique à Nicomaque consacrées à l’amitié, Aristote, qui cautionne la formule « alter ego », cite Homère : « Comme toujours, un dieu mène le semblable vers son semblable », et un dicton : « Le choucas va au choucas ». On dit en français « Qui se ressemble s’assemble ». Dans ce cas, « autre moi » vise

liens entre la Métaphysique et la Poétique sont nombreux bien que dispersés. Aristote distingue ainsi dans la Métaphysique trois types de sciences : les sciences théorétiques, les sciences pratiques et les sciences poétiques. La Poétique étudie la partie poétique dans une perspective descriptive et normative. Rhétorique et Poétique Les liens entre la Poétique et la Rhétorique sont très étroits. Dans ces deux textes, Aristote se penche en effet sur les mêmes notions : persuasion, métaphore, expression

époque n'est pas traitée avec attention. On prête plus de place a la politique.La science politique existait et non la science économique. Nous pouvons regarder l'économie antique à travers quatre auteurs: Thalès, Xénophon, Platon et son disciple Aristote. 1°) Thalès .L'économie étudiée à travers Thalès ( 625-547 avant J-C) n'est pas commune, car ce n'est pas grâce à ses écrits que nous en apprenons mais à travers son histoire. Ce fut un des premier à avoir fait des spéculations économiques

Dans "les politiques", Aristote donne la définition de l'homme : "l'homme est par nature un animal politique" '1252). Pour Aristote, donner une définition c'est dire la nature d'un être, et la nature de quelque chose (= sa fin). La finalité de l'homme est de vivre en societé politique (polis = cité donc ~citoyenneté). On va pouvoir définir chez Aristote l'espèce : Aristote = fils de medecin, cela va l'interesser d'analyser les choses d'une facon matérialiste (symptomes). Il va s'interesser aux

expliquer/ comprendre identité/ égalité/ différence légal/ légitime objectif/ subjectif obligation/ contrainte persuader/ convaincre principe/ conséquence en théorie/ en pratique universel/ général/ particulier/ singulier Les auteurs : • Platon ; Aristote ; Épicure ; Lucrèce ; Cicéron ; Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ; Averroès ; Anselme ; Thomas d'Aquin ; Guillaume d'Ockham. • Machiavel ; Montaigne ; Bacon ; Hobbes ; Descartes ; Pascal ; Spinoza ; Locke ;

richesse. On trouve chez Aristote une analyse élaborée sur la nature et la fonction de la monnaie, sur la nécessité de l’échange marchand et sur le caractère à la fois rationnel et abusif du profit. Marx salue Aristote comme le 1er penseur de la monnaie avant l’avènement de l’économie politique. Aristote a finalement défini la monnaie comme le "substitut du besoin", besoin que ns avons tous les uns des autres en raison de la division du travail. En revanche, Aristote critique le profit en raison