Aristote Monnaie Et Commerce

Sujet : Existe-t-il une dématérialisation croissante de la monnaie ? « Dématérialisation de la monnaie » est un phénomène qu’on peut observer facilement dans le système de paiement actuel. Elle est définie comme une passage à une monnaie de papier (billet) dont la valeur faciale est dissocié la valeur intrinsèque, en d’autre terme, une croissante des échanges de monnaie qui se font par un jeu d'écritures-monnaie scripturale (le chèque, la carte bancaire, le viremement et le prélèvement).

société en trois : classe des magistrats, des soldats et des ouvriers. Il proscrit la propriété personnelle en particulier la possession de métaux précieux. Aristote : la monnaie n’est pas la richesse. Il distingue « l’oeconomie » (art économique, économie domestique naturelle) et la chrématistique (art d’acquérir des richesses, commerce) qu’il juge condamnable. Il veut un régime économique proche de la nature et dont on se procurait des bien nécessaire à la vie. Tandis que la chrématistique a

pour dettes, liant situation politique et situation financière, touche un nombre grandissant de paysans non propriétaires terriens : l'inégalité politique et le mécontentement sont forts dans le milieu rural ; d'autre part le développement de la monnaie et des échanges commerciaux fait émerger une nouvelle classe sociale urbaine aisée, composée des artisans et armateurs, qui revendique la fin du monopole des nobles sur la sphère politique. Pour répondre à cette double crise, de nombreuses cités modifient

général, censé être leur raison d'existence. Dans ces domaines compliqués, où le bricolage politique est souvent dangereux quand il se met au service d'intérêts particuliers, c'est le fonctionnement de la balance des paiements, la nature même de la monnaie, voire de l'État, mais aussi le vice inhérent à l'existence même de toute banque centrale, qui sont mal compris, mal enseignés, ou tout simplement ignorés. Ce qui aggrave le cas des princes qui nous gouvernent, ou de leurs experts, c'est que souvent

l’ensemble des produits qui agrémentent la vie de la nation tout entière, c’est-à-dire de toutes les classes et de toutes leurs consommations. L’or et la monnaie ne constituent donc plus la richesse, elles n’ont en elles-mêmes aucune autre utilité que celle d’intermédiaire de l’échange. Adam Smith rejoint donc la vision de la monnaie proposée par Aristote dans l’Antiquité. Pour lui, l'origine de la richesse est le travail des hommes. Il pose ainsi les bases de la doctrine de la valeur travail, qui sera

communisme » économique contre libéralisme en Grèce. § 1 L’apparition de la philosophie politique : L’opposition Platon-Aristote La cité grecque était agitée, société pas unanime, Vision Etat-citoyen contradictoire au niveau économique. Comment offrir une cité idéal, et a travers quel gouvernement ? Conflit sur le droit de propriété, au niveau juridique. Platon communiste // Aristote attaché à la propriété. Doit-elle être collective, ou individuelle ? Les grecs sont très partagés. 1 Platon Platon

s'organisent les échanges ? Réunis en société, les individus deviennent interdépendants grâce à l'échange continuel de services et de biens. Dans la vie en communauté, l'homme travaille pour acheter le travail d'autrui. Mais, ainsi que le note Aristote, c'est la monnaie, comme commune mesure instituée, qui rend possible l'échange de produits. Platon craint que ces échanges s’effectue non plus pour un besoins mais dans la perspective d’accumuler de l’argent. L’argent devient fin en soi. 4. Les échanges

même lieu. Maintenant économiquement les cités étaient indépendantes les unes aux autres. Leur économie était autarcique, ils consommaient ce qu'ils produisaient mais cette indépendance n'était pas toujours le cas car ces ville exerçaient le commerce extérieur et avaient de relation et des échanges avec d'autres villes comme avec les grecs, ou l'Asie mineur. Les cités étaient aussi indépendante économiquement, elles pouvaient fixer leur législation, elles devaient pouvoir choisir librement leurs

Christian OTAAVJ, Monnaie et financement de l’économie », hachette supérieur ; Michelle de MOURGUES, « La monnaie, système financier et théories monétaires », Economica ; Jean-pierre ALLEGRET, Bernard COURBIS, Monnaie et financement, Vuibert; André CHAINEAU, Mécanismes et politiques monétaires, PUF ; Erwan LE SAOUT, Introduction aux marchés financiers, Economica ; Pierre RAMAGE, Finance de marché, Editions d’organisations. 1ère partie: La monnaie. La monnaie

et se réclamait de l’autorité d’Aristote. Cela revient à dire que le Moyen-Âge n’ignorait pas complètement la philosophie de l’Antiquité, en général; mais la vision qu’il en avait était à la fois tronquée et partielle. En effet, on connaissait Aristote, du moins à travers certains de ses textes en l’occurrence La Métaphysique et Organon, pas dans leur langue originale mais à travers des traducteurs arabes et dominicains et aussi à travers Saint Thomas d’Aquin qui a non seulement essayé de traduire