Aristote Monnaie Et Commerce

universelle. Tous les hommes sont capables d'en concevoir l'idée, d'abord parce que tous sont des êtres plus ou moins raisonnables, ensuite parce qu'ils sont tous capables de comprendre que ce qui est utile à la société est utile à chacun. La vertu, « commerce de bienfaits », leur est dictée à la fois par le sentiment et par l'intérêt. Le rôle de la morale, selon Voltaire, est de nous enseigner les principes de cette « police » et de nous accoutumer à les respecter. Quant à Gottfried Wilhelm Leibniz

l’ensemble des produits qui agrémentent la vie de la nation tout entière, c’est-à-dire de toutes les classes et de toutes leurs consommations. L’or et la monnaie ne constituent donc plus la richesse, elles n’ont en elles-mêmes aucune autre utilité que celle d’intermédiaire de l’échange[24]. Adam Smith rejoint donc la vision de la monnaie proposée par Aristote dans l’Antiquité[25] . Pour lui, l'origine de la richesse est le travail des hommes. Il pose ainsi les bases de la doctrine de la valeur travail, qui

thémantique, origine de l’éco = éco sans argent donc inversion des mots employés = renversement des valeurs et des normes. Eco = chrématistique = vendre pour acheter = pas d’autres fin que l’argent lui-même, logique propre qui oublie les autres fins ARISTOTE. B. Principes intégrateurs Pour POLANYI tous les systèmes éco connu se font sur 3 principes intégrateurs pour faire circuler les richesses donc pour faire de l’éco. Une infinité de système éco qui naisse mais en reste 3 de bases. Eco est

Titre 1 : Monnaie et financement de l'économie mardi 17 janvier 2012 08:03 Chapitre 1 : Monnaie et moyens de paiement Le mot "monnaie" vient du latin moneta qui est le participe passé féminin du verbe moneo qui signifie "avertir". La monnaie est un moyen de libération, d'extinction, de liquidation des dettes. La monnaie est une créance sur ce qui est produit. C'est un moyen universel, indéterminé, non affecté car avec de la monnaie on peut acheter n'importe quoi n'importe où mais cette généralisation

L’écriture : c’est un outil, créé pour administrer les terres et distribuer les récoltes. b) La spécialisation des tâches : Quand un groupe peut générer des surplus. Il peut libérer des gens du travail de la terre, pour se consacrer à l’artisanat ou au commerce. C- La ville, lieu de civilisation * Deux qualités de la vie urbaine favorisent le développement des civilisations : la stabilité et la variété. 1. La ville offre plus de stabilité a) Elle assure la sécurité de ses habitants. Des

n'avaient aucuns droits politique à Sparte et ne sont donc pas considérés comme spartiates. Les Périèques avaient le droit de posséder des terres. Ils ne pouvaient être magistrats, ni même participer à l'assemblée. Leurs activités principales étaient, le commerce, l'industrie et la culture des terres par exemple. Ils travaillaient aussi dans la confection des uniformes et des armes et travaillaient donc pour l'armée spartiate. Les Hilotes étaient les serfs et donc des esclaves. Ils n'étaient pas libres et

serait dramatique les puissances asiatiques finissent leurs révolutions industrielles de la même manière que l’Europe et les USA, c'est-à-dire dans une guerre mondiale. L’illusion d’un adoucissement des mœurs grâce à la prospérité économique et le commerce international doit être supprimée. Selon l’étude de Philippe Martin, ces éléments favorisent les guerres en permettant une diversification des sources d’approvisionnement, diversification qui peut se montrer très utile en temps de guerre. De même

Méditerranée.    Au IVe siècle, deux auteurs témoignent et rapportent le fonctionnement de la magistrature athénienne sous deux périodes, une sous Solon et une au IVe siècle. Aristote, philosophe, né en 384 à Stagire en Macédoine de Thrace et mort en 322, est disciple de Platon. Dans son œuvre complète, La Constitution des Athéniens, Aristote retrace la vie politique d’Athènes et explique la façon dont on désignait les magistrats. Le second auteur, Eschine (390-322), un contemporain d’Aristote est orateur

période contemporaine, que l’on peut faire démarrer dans les années 70-80, qui voit l’installation progressive des idées libérales, fondées sur les théories néoclassiques mûries depuis les années 30 Chapitre 1 : les courants traditionnels Pour Aristote, l’économique est l’art d’administrer sa maison. La chrématistique c’est l’art de s’enrichir. Il condamne la chrématistique dans la mesure où l’accumulation se fait pour le plaisir. - Les mercantilistes Contexte = début du capitalisme

Sismondi, F. List, C.H. de Saint-Simon Courant socialiste : C. Fourier, K. Marx, P.J Proudhon, R. Owen. I. Des premiers économistes aux classiques : Pendant longtemps, le pensée économique est restée dépendante de la morale. Dans l’Antiquité Platon et Aristote s’intéressent aux problèmes de la maison. Au Moyen-âge, St Thomas d’Aquin dans La somme théologique (1266) détermine quelles sont les pratiques économiques justes selon la religion chrétienne. Renaissance marque rupture, l’expansion du protestantisme