Aristote Vivre Ensemble

bonheur. Au sens aristotélicien et médiéval, la philosophie est une science, la science des premiers principes et des premières causes[2]. Au sens moderne et pour une bonne partie des philosophes contemporains, la philosophie n’est pas un savoir, ni un ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs disponibles[3]. Ancrée dès ses origines dans le dialogue et le débat d'idées, elle peut se concevoir comme une activité d'analyse, de définition, de création ou de méditation sur des

pourquoi la société rit. En effet, l’Homme anime son rire par divers éléments déclencheurs. Dans l’antiquité, le rire découlait de l’ironie et de la catharsis. Socrate et Aristote utilisaient ces deux procédés pour dénoncer la société. L’ironie permettait à Socrate d’attaquer le pseudo-savoir d’autrui, l’ignorance des gens et, pour Aristote, la critique de la société se faisait par le théâtre, les spectacles, laissant à un public la possibilité de se purifier de ses défauts. L’apparition de la comédie

Nous allons voir dans une première partie la conception qu’a Aristote du vivant puis une autre partie sur la conception du vivant de Descartes et Kant, puis pour finir nous verrons le vivant au niveau de la biologie. Aristote dit « Par vie j’entends la propriété de se nourrir, de croître et de dépérir par soi-même » De l’âme. Le vivant c’est ce qui possède en lui-même le principe qui lui permet de subsister, de grandir, de vivre et de mourir. L’horloge semble être vivante mais elle ne l’est

fondements et de l’origine de l’inégalité. Il pose la question de l’origine qui est celle de la cause, historique ou logique, qui expliquerait l’apparition d’inégalités instituées (car elles ne sont pas naturelles selon Rousseau contrairement à ce que dit Aristote) et la question des fondements qui renvoie à la question de la légitimité et même du droit naturel. Il mène donc deux études de front, une réflexion politique et une réflexion anthropologique. Il examine la question du fondement de l’inégalité

Les Hommes sont-ils naturellement faits pour vivre en société ? Si les Hommes vivent actuellement en société, c’est qu’ils y trouvent plus d’avantages que d’inconvénients, c’est pourquoi la première réponse qui nous vient à l’esprit lorsque l’on se pose cette question est positive. De fait, nous vivons en société mais dans la mesure où toute société (qu’il s’agisse de la microsociété de la famille, de la société dans son ensemble ou encore des sociétés qui constituent les nations) est animé d’oppositions

animal peut faire plus de choses. Sinon Aristote toujours considère que l’être humain a la plus grande capacité possible, pour lui tout élargissement va être vécu comme un accroissement de ses possibilités de vie. Pour Marx l’idéal est de développer toutes les compétences dont il est potentiellement porteur, devenir un homme total. Pour Marx la spécialisation du travail est une amputation de leur possibilité de vie ; c’est un appauvrissement. Selon Aristote l’être humaine est le plus vivant des

ressemblant à celui utilisé dans la langue française et désigne la société. Le grand Larousse le définit comme un “ensemble d’être humains vivant en groupe organisé”. C’est aussi “le milieu dans lequel quelqu’un vit et qui est caractérisé par ses institutions, ses lois et ses règles”. Le logos quant à lui désigne en grec le discours. Ce terme dans son acception logique désigne un ensemble d’énoncés liés entre eux par une logique spécifique et consistante, faite de règles et de lois et qui apportent

ignorer les données empiriques les plus évidentes. Mais traditionnellement la philosophie ne veut pas se limiter à un simple catalogue de faits et entreprend pour cela un vrai travail de théorisation voire de spéculation. Ainsi, par exemple, même si Aristote a recueilli les constitutions des cités grecques de l'époque, il a voulu dans La Politique et dans l’Éthique à Nicomaque analyser les structures de la cité d'un point de vue théorique. Enfin, la philosophie, à la différence des mathématiques ou

faisant accéder les hommes à la citoyenneté ? En ce sens le citoyen ne deviendrait-il pas une simple unité numérique appartenant à un grand ensemble dont il tire son existence ?(II) Enfin comment alors concilier les exigences des hommes, les aspirations individuelles du citoyen et les contraintes de la cité ? (III) I) L'homme est par nature un citoyen Aristote affirme que l'homme est par nature un citoyen dans Les Politiques lorsqu'il dit l'homme «est un animal politique». Selon lui, « être citoyen

Nanterre Service d'enseignement À distance Bâtiment E - 2ème étage 200, Avenue de la République 92001 NANTERRE CEDEX Tel : 01.40.97.76.18 1er envoi (15-10-2006) Nombre de pages : 41 Matière : PHILOSOPHIE L1 E.C. : LLPHI111 Philosophie ancienne 1 Aristote. L'âme et l'intellect 1ère partie M. BRENET Jean-Baptiste Cours complet 1 devoir : - Devoir facultatif n° 1 à remettre le 15/01/2007 - Sujet p. 2 du polycopié. Nom et adresse du correcteur : BRENET Jean-Baptiste 3 rue des Goncourt 75011 PARIS Rappels