Aristote

La poétique, ARISTOTE Extrait «La poésie semble devoir sa naissance à deux choses que la nature a mises en nous. Nous avons tous pour l'imitation un penchant qui se manifeste dès notre enfance. L'homme est le plus imitatif des animaux, c'est même une des propriétés qui nous distinguent d'eux: c'est par l'imitation que nous prenons nos premières leçons; enfin tout ce qui est imité nous plait, on peut en juger par les arts. Des objets que nous ne verrions qu'avec peine, s'ils étaient réels, des

Aristote : Aristote rompt définitivement avec la représentation du monde donnée par la mythologie. Il rompt aussi avec l'idéalisme de Platon, qu'il remplace par une observation scrupuleuse du réel. Il est ainsi l'un des deux grands fondateurs de la philosophie occidentale. juste : Qui est conforme au droit et à l'égalité des personnes. Ce texte, extrait du livre V de l'Ethique à Nicomaque, auquel il sert de conclusion, analyse les rapports de la justice et de l'équité. La question porte sur

le bien ce qui est un effort continuel vu la nature de l’Homme. Cette vie n’est en aucun cas reposante. Donc dans son texte nous verrons d’abord comment Aristote attaque la thèse adverse; puis nous verrons par l’exemple d’Anacharsis comment il explique ce qu’elle est; et enfin nous verrons sa thèse et ses arguments. Au début de son texte Aristote commence par attaquer la thèse stipulant que l’amusement permet le bonheur. « Le bonheur ne consiste pas dans l'amusement » dit-il. Il le démontre en faisant

ceux qui les comprennent à y conformer leur vie. − Mais en voilà assez sur ces questions ; passons maintenant en revue les opinions qu’on a avancées sur le plaisir. Peut-on convaincre de rejeter le plaisir lorsqu’on ne croit pas à ses méfaits ? Aristote défend que l’on ne peut pas, que seuls les arguments véritables prouvés par l’exemple de la privation de plaisir comme étant un gain de liberté peuvent convaincre la foule de renoncer aux plaisirs ; et que dès lors, la population ne perçoit pas le

trois fonctions.   En premier lieu, la connaissance, selon Aristote, c’est la connaissance des causes des expériences que nous vivons. D’après le philosophe de l’antiquité, il y a quatre causes : la substance formelle, la cause matérielle, le principe du mouvement et finalement, la cause finale ou but. La science pour lui est donc la recherche des causes ; ainsi, il n’y a pas de science sans cause. Toujours selon Aristote, il y a l’être en acte et l’être en puissance. L’être en acte étant

Un peu d’histoire Aristote (en grec ancien Aristolélês) est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédonie (d’où le surnom de « Stragirite »), en -384, et mort à Chalcis, en Eubée, en -322. Extrait: L’étonnement comme origine de la réflexion philosophie in métaphysique A, 2, 982 B 10, trad. J. Tricot, Vrin, Aristote C’est, en effet, l’étonnement qui poussa, comme aujourd’hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. Au début, leur étonnement porta sur les difficultés

L'ETHIQUE A NICOMAQUE, ARISTOTE PARTIE 1: Grandes parties | Citations | Détecter concepts clés | I-Justice totale La justice totale désignait des lois ou règles qui doivent être suivies par les citoyens d'une société pour que le bien commun perdure. La justice totale est la vertu en général, et la morale. A-nature de la justice La justice est cette disposition (une hexis , qui n'est pas donné à toule monde) qui rend les hommes justes, c'est à dire capable de vouloir ce qui est

 ARISTOTE disait :   "l'homme qui pense et observe pour lui même est un sage, mais celui qui, en plus de cela tient compte de la pensée et des observations d'autrui et ne dédaigne pas, non plus, l'opinion de ceux qui paraissent insignifiants ; celui la est un Maitre des siècles"   Le Larousse définit l'alterite comme étant "le caractère de ce qui est autre, la reconnaissance de l'autre dans sa différence et ses droits a être lui même"   C'est une valeur essentielle de la laïcité qui privilégie

d’une histoire qui possède un début, un milieu et une fin où l’action des personnages est invraisemblable où au moins l’un des personnages s’identifie à une personne ayant existé. L’épopée quant à elle ; elle se fait au moyen de la narration. Selon Aristote toute tragédie se caractérise par une histoire qui est la principale partie ou l’âme de la tragédie ; les caractères des personnages c’est-à-dire tout ce qui permet de qualifier le personnage en action, la pensée qui renvoie à la rhétorique c’est-à-dire

l’avoir vécu ou de le vivre rééllement. En sublimant l’état d’admiration ou de désir qui accompagne d’habitude la réflexion sur le bonheur, Aristote pense le bonheur „de tous côtés”, si on peut dire comme ça, il passe en revue tous les aspects du bonheur avec méticulosité et grâce. En partant du bien, dont le bonheur est de toute évidence une espèce, Aristote arrive à „commensurer” le bonheur et de le rendre „accessible” à notre raison. „Le vulgaire, comme les gens éclairés, appelle