Aristote

avec Hamlet – scène du cimetière (relire la pièce ) Hamlet souvent représenté avec un crane, ici Sg tiens une tabatière → surprise du spectateur, son attention est retenue. 3) Aspect pédant Sg tourné en ridicule. Référence à Aristote → référence maladroite, Aristote n'a bien entendus jamais parlé du tabac ! ( Montaigne : critique des pédants ??! ) 4) Eloge burlesque Genre qui remonte à l'antiquité. Molière a du pratiquer ce genre quand il était élève au collège Louis-Le-Grand. On peut citer

est plus facile de se connaître grâce à quelqu'un d'autre, puisque cette personne étant un autre moi, il nous est plus facile de l'observer et de la définir, et donc, par la même occasion apprendre à mieux nous connaître. Dans ce texte, Aristote souligne la difficulté de se connaître soi-même, « Apprendre à se connaître est très difficile », en effet, nous ne pouvons pas nous permettre de porter un jugement sur nous-même, notre regard est trop subjectif sur avoir un avis valable sur ce

Le document étudié, est l'extrait du fameux ouvrage titré « La Politique ». Cet ouvrage est écrit par Aristote, un philosophe grec installé longtemps à Athènes et qui étudie les trois formes de gouvernement. Il l'écrit entre les années 367 à 347 avant J.C au moment de la création d'une grande démocratie à Athènes. Aristote parle du principe de la démocratie athénienne et surtout de l'enjeu des citoyens dans cette démocratie et veut expliquer que à Athènes, ce

doué de conscience. De ce point de vue, il est tout de même mon semblable. Voilà qui peut favoriser la connaissance. D'autant plus s'il s'agit d'un ami car, selon Aristote[Notice], l'amitié se fonde sur la ressemblance. II. L'amitié. C'est la thèse soutenue dans un texte d'origine obscure, que l'on attribue traditionnellement à Aristote. Apprendre à se connaître est très difficile (...) et un très grand plaisir en même temps (quel plaisir de se connaître!); mais nous ne pouvons pas nous contempler

Histoire du concept[modifier] Aristote : origine du concept[modifier] Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n'est pas tant dans la Poétique que dans La Politique d'Aristote qu'on trouve le terme développé, à propos de la musique envisagée d'un point de vue politique : « Nous voyons ces mêmes personnes, quand elles ont eu recours aux mélodies qui transportent l'âme hors d'elle-même, remises d'aplomb comme si elles avaient pris un remède et une purgation. C'est à ce même traitement dès

n'ont aucune considération pour la vérité, ils ont des envie matérielle. Dans l'antiquité, il y a plusieurs écoles de la rhétorique. Chacune favorisant un des trois éléments du schéma les deux autres venant en complément. Les 3 modèles sont : Aristote Platon Quintilien Platon: Pour lui l'élément important, c'est l'auditoire. Il considère que la rhétorique est l'art de jouer avec les sentiments de l'auditoire. De recourir au Patos, la passion. La passion c'est ce qui fait, souffrir. Ca nous

pédagogique pour illustrer sa théorie des Idées censées contenir toute vérité intelligible. Aristote, sur un registre très différent, développe la logique comme moyen d'investigation du discours, utile aussi dans l'investigation du réel en ce qu'il permet d'organiser les connaissances. Ces concepts de « vrai » et de « vérité » ont aussi été associés, du côté de l'école de Milet2 et plus tard d' Aristote encore, aux sciences d'observation - plus exactement - car dans ce contexte il n'y a pas vraiment

une amitié, de telle sorte que l’amitié revient à une relation de confiance que deux personnes entretiennent entre elles, « Et dans la pauvreté comme dans toute autre infortune, les hommes pensent que les amis sont l'unique refuge », comme le dit Aristote dans le livre VIII de l’Ethique à Nicomaque. « Partager les événements joyeux ou tristes, dévoiler tous ses secrets et ses projets, font spécialement partie de l'amitié » déclare le cistercien Aelred de Rievaulx dans L'Amitié spirituelle. Couramment

sidérale : presque douze ans), nos montres ne seraient pas valables. Le temps est indépendant des phénomènes physiques. Avec nos montres, nous ne mesurons pas le temps mais une durée. « Le temps est le nombre du mouvement selon l’avant et l’après. » (Aristote) Pour Platon, le temps est une image mobile de l’éternité immobile. « Le temps, c’est ce qui passe quand rien ne se passe. » (Giono ?) Le temps est isochrone : sa périodicité est réguli mps est relatif aux choses qui passent : le temps des horloges

Dans un premier temps, on se concentre sur le principe de l'âme: l'âme est un principe de vie. Aristote assimile ainsi la vie à la notion de l'âme (l'esprit pur). Ce dernier met en avant le principe de Vitalisme; une notion dans laquelle la vie est envisager comme étant une matière animée d'une force vitale. C'est donc cette force vitale qui donne vie à la matière. Ainsi du point de vue de Aristote, c'est donc l'âme qui rend la vie possible. Ce vitalisme s'accompagne par la même occasion d'une