Armani Démocratisation

L'industrie du luxe est | |alors composée de confréries d'artisans, tous ayant leurs signes distinctifs. De cette époque on retiendra surtout, comme le raconte | |Zola dans "Au Bonheur des Dames ", l'ouverture de grands magasins symbolisant la démocratisation du luxe. | |Il faudra attendre le XXe siècle, pour voir fleurir à Paris, une multitude de petits ateliers d'artisans, dévoués aux métiers du luxe.| |En 1929, malgré la crise économique, le rayonnement intellectuel

au vêtement masculin, sa consommation a baissé de 3%. Les articles les plus pénalisés sont les vêtements chauds, comme les manteaux qui sont victimes de l’amélioration globale des conditions de vie des français (logements mieux chauffés, démocratisation de l’automobile, moins de travail en entrepôts et usines). La tranche d’âge qui consomme le plus d’articles vestimentaires est dorénavant les 24/35 ans. Cet âge a reculé et ce, à cause de l’entrée de plus en plus tardive des jeunes sur le

goût. Si nous isolions ainsi, pour chaque type de produit, une marque de manière à en faire une « icône », nous pourrions prendre Krug ou Dom Pérignon pour le champagne, Guerlain pour les parfums et cosmétiques, Hermès en maroquinerie et peut-être Armani et Valentino dans le prêt-à-porter féminin. Brioni pourrait être le luxe ultime pour les costumes hommes, et Van Cleef & Arpels serait considéré, peut-être, comme la marque caractéristique et typique de la joaillerie. Cette définition restreinte du

goût. Si nous isolions ainsi, pour chaque type de produit, une marque de manière à en faire une « icône », nous pourrions prendre Krug ou Dom Pérignon pour le champagne, Guerlain pour les parfums et cosmétiques, Hermès en maroquinerie et peut-être Armani et Valentino dans le prêt-à-porter féminin. Brioni pourrait être le luxe ultime pour les costumes hommes, et Van Cleef & Arpels serait considéré, peut-être, comme la marque caractéristique et typique de la joaillerie. Cette définition restreinte du

goût. Si nous isolions ainsi, pour chaque type de produit, une marque de manière à en faire une « icône », nous pourrions prendre Krug ou Dom Pérignon pour le champagne, Guerlain pour les parfums et cosmétiques, Hermès en maroquinerie et peut-être Armani et Valentino dans le prêt-à-porter féminin. Brioni pourrait être le luxe ultime pour les costumes hommes, et Van Cleef & Arpels serait considéré, peut-être, comme la marque caractéristique et typique de la joaillerie. Cette définition restreinte du

marchés traditionnels du luxe tel que le Japon, les Etats Unis et l'Europe, viennent s'ajouter de marchés comme la Chine ou la Russie. La croissance à l'échelle mondiale des revenus les plus élevés, l'élargissement des gammes de produits et la démocratisation de certains segments, sont les principaux éléments de dynamisation du secteur du luxe. En France le luxe est le deuxième secteur économique, il est devenu accessible à une clientèle plus large grâce à l’élargissement des gammes de produits

I- L’histoire de la mode au XXe siècle D’abord et longtemps privilège exclusif des milieux de cour et des classes les plus aisées de la population, la mode gagne peu à peu l’ensemble de la société. Ce phénomène de démocratisation, qui s’explique par le développement des industries de la confection. On s’éparera en plusieurs parties les différentes époques qui ont marqué le XXe siècle. a. La Belle Epoque, 1900-1914 A l’entrée de l’Exposition Universelle de 1900, on pouvait admirer

franc succès. Initialement consacrée au textile maison, l’offre de l’enseigne s’est progressivement élargie aux arts de la table et objets de décoration. Dans le secteur du luxe, une poignée de marques est présente sur le marché de la maison comme Armani, Kenzo, Ralph Lauren, Missoni ou encore Christian Lacroix. Les distributeurs passent progressivement d’une logique verticale à une logique horizontale. Il est désormais difficile de ne vendre que des canapés, des meubles ou des tapis. Cette évolution

« accessibles » et font de temps à autre des « folies » dispendieuses, en rupture avec l’ethos populaire de la consommation. Le droit démocratique au luxe s’est substitué à ses anciennes dénonciations : nous vivons le temps de la légitimation et de la démocratisation du luxe. Autant de transformations qui signalent le recul de l’hostilité envieuse à l’égard des biens précieux. » c. L’offre « Ils ont beau être concurrents sur les podiums, Dior, Givenchy, Kenzo ou encore Céline ont un point commun : ils

comme elles l’ont toujours fait. Plusieurs stratégies ont toutefois été adoptées : LA DEMOCRATISATION Certaines marques comme DOLCE GABBANA, GUCCI, MAUBOUSSIN, ont adopté la stratégie de la démocratisation. C’est-à-dire qu’elles ont choisi d’élargir le cercle de la clientèle en proposant des articles plus accessibles. Mais cette stratégie peut s’avérer risquée, car à force de démocratisation, les marques risquent de perdre en image et pourraient en arriver à rejoindre la catégorie des