Armes de destruction massive en Irak

internationale. Si après les attentats du 11 septembre, Vladimir Poutine s'est présenté comme un allié des États-Unis dans la lutte contre le terrorisme international qu'il assimilait à la question tchétchène, il condamne l'intervention américaine en Irak en 2003 au nom du principe de l'inviolabilité des frontières. Aujourd'hui les États-Unis et la Russie conscients des avantages qu'ils pourraient tirer d'une meilleure entente tentent de réparer leurs relations. 2.3.3 L’Amérique du Sud tente de s’affirmer

* 4.2 Guerre civile libyenne * 4.3 Révolution yéménite * 4.4 Révolte syrienne * 4.5 Contestation bahreïnienne * 4.6 Contestation algérienne * 4.7 Contestation jordanienne * 4.8 Manifestations marocaines * 4.9 Irak * 4.10 Contestation palestinienne * 4.11 Autres pays arabes * 5 Mouvements simultanés hors du monde arabe * 5.1 Albanie * 5.2 Burkina Faso * 5.3 Chine * 5.4 Iran * 5.5 Mali * 5.6 Québec * 6 Vue chronologique

de sécurité de l’ONU, des mesures de rétorsions économiques car ce Etats sont considérés comme complice d’actes terroristes. Cet Etat-gendarme dispose d’une panoplie de sanctions, il peut imposer par la force armée un nouveau régime (Afghanistan, Irak…). La liste des Etats voyous est purement arbitraire car certains Etats manquent (l’Arabie saoudite, car les Etats-Unis sont partenaires économiques). La puissance d’un Etat permet d’interétatiser un conflit que les Etats voulaient transnational.

indirectement dans le second défi de ce discours qui vise à s’assurer que l’Irak n’utilisera pas de nouveaux revenus – provenant du pétrole - pour se réarmer. TRÈS BIENLes intifadas irakiennes: les jours suivant la fin de la guerre en Irak Cette partie, bien qu’elle sera courte, doit être mentionnée afin d’appuyer notre analyse dans la prochaine section. À la fin de la guerre du Golfe, 1er mars 1991, le régime de Saddam Hussein est confronté à une double intifada sur son

attentats perpétrés par Al-Qaida contre les États-Unis, leurs intérêts et leurs alliés. Ce sont les États-Unis eux-mêmes qui n’hésitent pas non plus à identifier leurs ennemis : George W. Bush parlait en 2002 de l’« axe du mal » (Corée du Nord, Iran, Irak, cf. doc. 1 p. 62) ; la secrétaire d’État, Condoleezza Rice, évoquait en 2005 « les postes avancés de la tyrannie » (Corée du Nord, Iran, Birmanie, Cuba, Zimbabwe, Biélorussie), présents sur tous les continents. 4. Quels éléments peuvent être

plus les effets de radiation. -Les conditions de vie des civils. -Le fanatisme idéologique, le nazisme avec les camps d'extermination, la Shoah : 6 millions de juifs morts. Au niveau économique on parle de champ de ruines, le bilan des destructions matérielles et terribles de 2000 milliards de dollars, le pays le plus touché et l'URSS, l'Allemagne est également ravagée (70 % des villes sont rasés, en raison des bombardements alliés sur l'Allemagne). De plus il y a un réel effondrement des

la « Destruction mutuelle assurée ». Dès 1959, Khrouchtchev veut stopper la menace d’un conflit direct avec les USA, il s’agira à présent de dépasser économiquement l’autre. Les USA, maintiennent cette politique des représailles massives (approuvées par Eisenhower dès 1956). Lancement du premier satellite russe Spoutnik en 1957, ce qui prouve que l’URSS possède le missile intercontinental, par conséquent les USA vont faire croire qu’il sont directement menacé et les représailles massives sont

conseillers la stratégie à adopter : il renonce à une intervention militaire directe à l’issue incertaine et choisit de faire pression sur Khrouchtchev, en faisant le Blocus de Cuba et en invitant l’URSS à négocier sous la menace d’une riposte nucléaire massive et immédiate. Le 22 octobre à 19h, JFK dévoile ses intentions dans une allocution télévisée pour appuyer le sérieux de sa décision => riposte graduée basée sur « l’équilibre de la terreur », qui laisse du temps pour trouver une solution diplomatique

acteurs comme l’ONU qui reprend une place de premier plan, des alliances régionales ( UE, Alena, Mercosur ) font leur apparition et les états sont amenés à récupérer un rôle mais qui reste toutefois à définir. Les accords START en 1991 amènent à la destruction d’une partie du stock nucléaire, cette chute du communisme apportant la volonté de limiter l’armement nucléaire. De nouveaux pays obtiennent la bombe nucléaire comme l’Inde, l’Indonésie et la Corée du nord. L’Allemagne se réunifie en octobre 1990

a de nobles buts que l’ennemi commet des atrocités délibérées (pas nous) qu’il subit bien plus de pertes que nous que Dieu est avec nous que le monde de l’art et de la culture approuve notre combat que l’ennemi utilise des armes illicites (pas nous) que ceux qui doutent des neuf premiers points sont soit des traitres, soit des victimes des mensonges adverses (car l’ennemi, contrairement à nous qui informons, fait de la propagande). L'historienne Anne Morelli a montré