Arnolphe Comique

alors partis du Classicisme, ces textes cherches donc à plaire et instruire, à chercher le beau et le naturel en utilisant des règles. Cependant ces scènes sont écrites différemment, Molière dans Le médecin malgré lui utilise un registre comique « Quand j’ai bien bu et bien mangé je veux que tout le monde soit saoul dans ma maison » Dans cet extrait Molière montre clairement la dispute à travers les répliques des personnages «Traitre, insolant, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, voleur 

conscience de son impuissance. Le registre comique Le registre comique a pour but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des femmes. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos (interaction de deux personnages qui se méprennent sur ce dont parle l'autre), répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations

textes 2 et 3 bien qu’ils n’aient pas les mêmes fonctions. En effet, dans le texte de Molière : Dom juan ou le convive de Pierre (texte 2), les apartés sont utilisés de manière à montrer le double jeu de Dom juan (et a travers cela le registre comique de texte) : il s’adresse bas à chacune d’entre elles dans le but de leur prouver qu’il les aime toutes deux : > Cela continue durant toute la scène cependant que les paysannes ne se rendent pas compte qu’elles se bercent d’illusions : l.40-41 >

son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Dénouement Un dénouement tragique, mais qui reste comique (acte V, scènes 4, 5 et 6).On sait que Dom Juan est emporté dans les flammes de l'enfer par la statue du Commandeur. Dom Juan meurt, on pourrait se croire dans le dénouement d’une tragédie. Mais très rapidement, le registre comique revient au galop avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes gages ! » ; Sganarelle est peiné, non de la mort de son

précieuse cassette. Par conséquent, Harpagon utilise la tromperie pour retrouver « sa chère cassette », c’est pourquoi Molière tourne Harpagon en dérision son personnage. En second lieu, Molière utilise le comique pour démontrer la dérision du personnage d’Harpagon. L’auteur emploie le comique de situation qui permet de disqualifier le personnage d’Harpagon. Dans la citation « Qui est-ce ? Arrête » (l.7) Harpagon croit qu’il y a quelqu'un derrière lui, or ce n’est que lui, comme nous le prouve la

défaits, se retrouvent dans une caverne. Cernés par l’armée conduite par Bougrelas, ils fuient et se retrouvent sur un bateau en direction de la France. Au cours de l’œuvre, Alfred Jarry met en évidence différents types de comique. Tout d’abord, on voit apparaître le comique de répétition puisque l'essentiel de la pièce est basé sur la répétition: c'est ce qui lui donne son originalité, c'est aussi ce qui peut la rendre "agaçante": l'action ne progresse pas, elle se répète. Comme rien n'a de sens

particulièrement prisé par les humoristes qui sont de plus en plus nombreux et qui utilisent le rire de différentes façons. Dans l’Essai d’Olivier Mongin, Eclats de rire : variations sur le corps comique, paru en 2002 et dans celui de Nelly Feuerhahn, La Comédie sociale, paru en 1997, nous avons une explication sur les comiques d’aujourd’hui et sur ce qu’ils cherchent à faire entendre à la société ; et dans le Dictionnaire d’Emile Littré (1863-1877) et sur la photo des Guignols de l’info parue en 2009, nous pouvons

d’être traître Comme un chat des Monts-Rocheux ;D’empuantir toutes sphères !Qu’à sa mort pourtant, ô mon Dieu ! S’élève quelque prière ! En quoi les différents registres peuvent-ils dénoncer les travers humain et faire réfléchir? Le registre comique permet de faire passer des messages par le rire comme dans le malade imaginaire Molière fait une satire de la médecine et de l'égoïsme du personnage principal. Il dénonce l'égoïsme et l'inefficacité de la médecine et nous fait aussi réfléchir tout

dossier, il est démontré qu’avec le temps, les éléments de rire ne sont pas les même à l’époque que lorsqu’ont ris aujourd’hui. Notre corpus est composé d’une image iconographique, couverture n°3 de la revue Humoresques Corhum, Association pour le Comique, le Rire et l’HUMour 1998 ; Un texte de Boris Vian intitulé « J’suis snob » paru en 1955 ; Un texte de Tristan Rémy « Le Clown » tiré d’une Encyclopédie Universalis, enfin, un texte écrit par Eric Perrin-Saminadayar nommé « Rire d’Héraklès hier et

Première piste : une tirade comique a) une tirade bien structurée - sur le plan de l’énonciation : fait la demande et la réponse (se parle à lui-même ou vise un destinataire invisible ou universel ? Voir plus loin), parenthèse où le locuteur semble jouer avec lui-même, exclut son interlocuteur, lui confisque la parole, se recrée un interlocuteur plus spirituel ; effets dialogiques, guillemets, autocitation…/ Apostrophes violentes, 2ème pers. Prise à parti… - sur le plan de la métrique : 20 unités