Arret Jurisprudence Epoux Barbier

chaire de droit commercial à Montpellier, établit une filiation entre la coutume qualifiée de droit non écrit et trois sources : les usages (adoptant la distinction usages généraux et locaux), et de manière moins développée dans son analyse, la jurisprudence et la doctrine8. Enfin en 1959, Michel Pedamon, s’interrogeant sur la distinction de l’usage et de la coutume, développait l’idée que si les deux notions ont une « unité d’origine », elles diffèrent quant à leur régime juridique9. Il ralliait

résulter d’un contrat de délégation de service public ou, si la rémunération du cocontractant n’est pas substantiellement liée aux résultats de l’exploitation du service, d’un marché public de service comme l’a souligné le Conseil d’Etat dans son arrêt de section du 6 avril 2007, Commune d’Aix-en-Provence. Pour autant, des exceptions existent à ce principe et des organismes privés, notamment des associations, peuvent se voir confier une mission de service public en dehors de tout contrat de délégation

Pradel abonde dans le même sens en qualifiant l’action publique d’action exercée par le Ministère public, au nom de la société et tendant au prononcé d’une sanction pénale. Du point de vue jurisprudentielle, la cour de cassation française, dans un arrêt de la chambre criminelle du 12 décembre 1972, élabore les conditions d’existence de l’action publique en ces termes « l’action publique pour l’application des peines ne peut être valablement exercée qu’autant que le fait poursuivi est qualifié crime

l’article 52 de la Constitution du 22 frimaire an VIII, a comblé ce vide et renoué avec le fil de l’histoire. Des conseils de préfecture, créés par la loi du 28 pluviôse de l’an VIII, étaient quant à eux compétents pour connaître de petits litiges. La jurisprudence s’est alors constituée au fil du temps, le premier recueil de décisions du Conseil d’État étant publié dès 1821. L’indépendance du juge administratif fut consacrée par la République avec la loi du 24 mai 1872. Le dualisme juridictionnel était déjà

tiré deux vrais amis de l'Œil-de-bœuf ou des carrosses ? Il faut un peu de vraisemblance, même dans les actes vertueux. " Me livrant à mon gai caractère, j'ai depuis tenté, dans Le Barbier de Séville, de ramener au théâtre l'ancienne et franche gaieté, en l'alliant avec le ton léger de notre plaisanterie actuelle ; mais comme cela même était une espèce de nouveauté,lapièce fut

de Poitiers, a été membre de plusieurs cabinets ministériels et est l’auteur de nombreux articles, rapports publics et ouvrages, dont La Qualité de la justice, M.-L. Cavrois, H. Dalle, J.-P. Jean (dir.), Paris, La Documentation française, 2001, et Barbie, Touvier, Papon : des procès pour la mémoire, J.-P. Jean et D. Salas (dir.), Paris, Autrement, « Mémoires », octobre 2002. YVES LEQUETTE, professeur à l’Université Panthéon-Assas (Paris-II). PHILIPPE RÉMY, professeur agrégé de droit privé à la Faculté

Mme KUHN Nicole Maître de Conférences de Droit Public Mme DAVID-BALESTRIERO Véronique Maître de Conférences de Droit Privé Mme ETIENNOT Pascale Maître de Conférences de Droit Privé Mme DANTONEL-COR Nadine Maître de Conférences de Droit Public Mlle BARBIER Madeleine Maître de Conférences d’Histoire du Droit M. FOURMENT François Maître de Conférences de Droit Privé M. ANDOLFATTO Dominique Maître de Conférences de Science Politique Mme DEFFAINS Nathalie Maître de Conférences de Droit Public Mme SIERPINSKI

vulnérabilité. La vulnérabilité est considérée comme une circonstance aggravante. A côté le code pénal cherche à réprimer plus fortement tous les comportements sexuels ou à connotation sexuelle déviants : répression du tourisme sexuel, viol entre époux, harcèlement sexuel, sanction de la traite des êtres humains. De façon générale on cherche à protéger les personnes contre les progrès de la technologie : les données informatiques (loi 1978) Ces dispositions nouvelles sont souvent issues d'impératifs

substituent à des lois organiques ou des lois ordinaires, on considère qu’elles ont un contenu législatif. De ce fait le juge administratif ne peut pas en principe se prononcer sur la validité de ces textes. Le Conseil d’Etat dans un arrêt de section du 12 février 1960 « Arret société Eky » définit qu’il est incompétent pour se prononcer sur ces ordonnances. b) Les ordonnances de l’article 38 de la Constitution Héritières de ce qu’on appelait sous la 3ème et 4ème République les décrets lois. Ce sont

d’écarter les lois à leur gré, au motif qu’elles seraient inéquitable. C’est la raison pour laquelle ni la monarchie absolue ni la République démocratique ne pouvait admettre que les magistrats puissent agir de la sorte. L’ordonnance de 1667 interdit les arrêts en équité. Celle-ci n’autorise les juges à trancher en équité que dans le silence de la loi. On distingue l’équité contra legem et l’équité praeter legem. Dans l’article 4 du code civil, ce dernier n’admet l’équité que praeter legem. Dans un système