Arrêt Cour De Cassation 8 Octobre 2008

l’innovation jurisprudentielle comme si celle-ci était un droit acquis qui deviendrait immuable. Cette conception n’est pas sans rappeler le système des précédents qui est en vigueur dans les pays du common law et qui oblige les Cours à juger comme une autre Cour l’a fait avant elle. Cependant, la continuité des décisions ne signifie pas l’immutabilité. C’est maintenant que la phrase de Portalis prend toute son importance, l’immutabilité serait la mort du droit en ne se renouvelant pas le droit, et spécialement

secteurs de la société Arcelor forment plusieurs requêtes devant la cour de cassation le 8 février 2007 en vue de l’annulation des décisions implicites prises suite au silence gardé par le Président de la république, le 1er ministre, le ministre de l’écologie et du développent durable et le ministre délégué à l’industrie, qui a donné lieu au refus de la demande d’abrogation du décret du 19 Aout 2004 qui transpose la directive du 13 octobre 2003 de la société Arcelor. Le texte litigieux a été pris conformément

3 conceptions doctrinales : ❖ Conception restrictive : seuls les biens publics affectés à l’usage direct du public font partie du domaine public : Jean Baptiste Victor PROUDHON : Théorie du domaine public, 1833. Le CE, en rendant un arrêt en 1835, Section 28 juin 1935, MARECAR a apporté des arguments supplémentaires à cette conception : cimetière, domaine public ? Oui, car ouvert aux personnes. ❖ Conception extensive : ce courant de pensée animé par Léon DUGUIT, défendait la

leur a reconnu certains droits mais limités par la notion de réciprocité (idée que véhicule l'article 11 du Code Civil). La jurisprudence a accomplit un pas considérable lorsque la Cour de cassation en 1948 a décidé que les étrangers devaient être en principe assimilés aux nationaux (« Arrêt Lefait »). Selon cet arrêt, les étrangers jouissent en France des droits qui ne leurs sont pas spécialement refusés. IL y a un renversement de perspective. A cela s'ajoute que les étrangers pour exercer leurs

très variés. Il existe une sorte de « droit commun » de la distribution. Il y a des règles générales qui vont gouverner tous les contrats de distribution quels qu’ils soient. Ce droit commun a été notamment mis en place par une loi du 3 janvier 2008, CHATEL 2 (qui a bouleversé le droit de la consommation avec les pratiques commerciales déloyales mais aussi le droit de la distribution). Ces dispositions, on les retrouvera dans le Code de Commerce. Ce droit commun concerne surtout la négociation

Il peut rembourser au fur et à mesure des ventes ou des locations luimême. La banque peut déférer une autre solution : elle peut demander un paiement direct de la part des acheteurs des logements ou des locataires des logements selon un arrêt de la Cour de cassation. On peut rapprocher les deux composantes de l’obligation en disant que l’obligation est un lien juridique d’ordre patrimonial. L’obligation civile entendue comme l’obligation juridique a un caractère obligatoire. L’obligation a un caractère

reclassement a) b) c) d) e) f) g) h) a) b) c) 4. L’absence de solution de reclassement 5. La voie de recours contre les avis du médecin du travail 6. La rupture conventionnelle et la prise d’acte par le salarié inapte 7. L’inaptitude et le harcèlement 8. Le licenciement nul 9. Le délai de carence pour le versement des allocations chômage 10. La retraite pour inaptitude 2 / 15 DIRECCTE des Pays de la Loire - avril 2010 1 – LES PRINCIPALES NOTIONS a) L’APTITUDE Définition Non définie par le

de distinguer le Contrat de Travail des autres formes de contrats comme le contrat d’entreprise, par exemple. De plus, la Cour de Cassation considère que ce lien de subordination n’existe pas forcément qu’au travers de la qualification juridique que les parties ont donnée au contrat. Quelques exemples : Dans un Arrêt du 14 Mai 2009, la Cour de Cassation a requalifié un contrat de collaboration libéral, qui lié un avocat à une société d’avocat, en constatant que dans la pratique

l'article 1724 quater. ... ainsi que le Code de la sécurité qui annule, en cas d'infraction à la législation relative au travail dissimulé, des réductions ou exonérations de cotisations ou contributions sociales : art. L. 133-4-2, L. 242-1-1, R. 133-8 et s. et D. 133-3. Quelques autres documents : - Les sanctions liées au travail illégal sur "travail-emploi-sante.gouv.fr" - Travail dissimulé sur "prudhommesisere.free.fr" - Fiche méthodologique en matière pénale : le travail dissimulé et

droit des procédures collectives ? A quelles conditions ? En quoi se distinguent-elles des nullités de la période suspecte ? 3) Quels sont les apports des arrêts reproduits dans la fiche. 4) Rédiger une dissertation sur « La sécurité juridique à l’épreuve des nullités de la périodes suspecte ». Documents : Cass. com., 5 févr. 2002, (2 arrêts) no 98-22.683 ; Cass. com., 5 févr. 2002, no 98-22.682. : D. 2002, AJ, p. 957, obs. A. Lienhard ; Act. proc. coll. no 7/2002, obs. J.-Ph. Dom ; Rev. jurispr