Arrêt Teffaine 1896

 siècle,  le  8   février   1873,   arrêt   Blanco,   rendu   par   le   tribunal   des   conflits   qui   consacre   l’autonomie   de   la   responsabilité   administrative   en   conférant   au   juge   administratif   la   compétence   pour   connaître   des   actions   en   responsabilité   dirigées   contre   l’état.   Depuis   cet   arrêt,   les   juridictions   administratives

civil, texte pourtant négligeable dans l'esprit de ses rédacteurs : « On est responsable non seulement de son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde ». Dès 1896, la haute juridiction verra dans l'article 1384, alinéa 1er une règle générale et autonome. D'où la reconnaissance d'une responsabilité de plein droit du fait des choses , indépendante de l'idée de faute et se réduisant à une proposition simple : celui

considère que toutes les dispositions de la Constitution et du préambule sont applicables et donc invocables. Cette jurisprudence a surtout été développé à propos de certaines dispositions du préambule de la Constitution de 1946 : Ø Conseil d'Etat, arrêt Tallagrand de 1968 : considère que l’alinéa 12 du préambule de la Constitution de 1946 qui pose le principe de solidarité devant les calamités nationales est trop générale et qu’elle ne pouvait être invoquée directement pour fonder une action en

première de ces prérogatives est la personnalité juridique : c’est le fait d’être libre et de pouvoir agir comme un sujet de droit. La personnalité s’acquiert uniquement par la naissance. Pour les personnes physiques, il faut naître vivant et viable (arrêt PERRUCHE).
À cette personnalité juridique vont être attachés des droits de la personnalité (filiation, patrimoine). 
 Les droits de la personnalité vont cesser au décès de la personne. Si cette personne devient déficiente, des mesures d’assistanat

MORTIS (vœux de mort). On a détourné cela par la tontine (groupement de plusieurs personnes) : il va se passer plusieurs années et on va regarder qui est mort et qui est vivant, ceux qui sont vivant récupèrent l’argent. En 1787 le CE rend un arrêt apportant des exceptions au ppe d’interdiction des assurances vie, on crée en France le lendemain la 1ere société d’assurance sur la vie mais l’interdiction de l’assurance demeure. C’est pourquoi lorsque l’on a rédigé le code civil en 1804 les codificateurs

contracte qu’à une condition précise, c’est que le gérant agisse bien pour le compte d’autrui, qu’il a bien précisé aux tiers qu’il agissait pour le compte d’autrui ! Questions à discuter : * La gestion imposée ouvre-t-elle droit à indemnisation ? Arrêt de la 1ère chambre civile de la cour de cassation du 17 juillet 1976 bulletin 323 : c’est une question intéressante car il existe dans certains ordres de professions des obligations anthologiques ! Quand un avocat peut plus exercer normalement sa profession

situation aucun texte de loi sur ce problème – les juges utilisent d'autres lois pour attribuer la personnalité juridique ou non à un groupe. 23 septembre 1967 : ordonnance qui créer le GIE (Groupement d'Intérêt Économique) – personnalité juridique arrêt du 28 janvier 1954 : donne les conditions à réunir pour obtenir la personnalité juridique : un groupement une possibilité d'expression collective la défense d'intérêts licites la diversité des personnes morales a) les personnes

cohérente et hiérarchisée. Au sommet de la pyramide, il place la norme fondamentale ( la constitution) , au dessous figure la loi qui doit être conforme à la règle supérieure (c a d la Constitution), puis en dessous encore l'on trouve les décrets et les arrêtés ( c a d compétence gouvernementale) qui pour être légaux doivent être conforme à la loi. La validité de la norme juridique dépend de sa conformité dans l'ordonnancement juridique à la norme supérieure qu'il a engendré. le positivisme sociologique

établissements publics à répondre de leurs actes et de leurs manquements face aux administrés. L'auteur du dommage n'est pas un particulier mais une institution qui agit au nom de l'Etat. La responsabilité administrative est de source prétorienne, arrêt Blanco (8 février 1873). En revanche la responsabilité civile tire sa source de la loi, elle se fonde sur l'article 1382 et suivant du code civil. La responsabilité civile ne va pas examiner l'auteur du dommage, toute personne qui cause un dommage

Constitution, comme la Constitution belge, est muette concernant le rapport traité-loi interne. La Cour du Luxembourg a expressément affirmé la primauté de la règle de droit international conventionnel, dans un arrêt de cassation [du 14 juillet 1954], devenu célèbre » (ccl°, pp. 897898) Arrêt Le Ski, Cass. belge, 27 mai 1971, Pas., 1971, pp. 886 et s., avec les ccl° du Procureur général Ganshof van der Meersch Le dialogue des juges  Référencement croisés de jurisprudence et résolution de « cas difficiles