Arsinoé Dans Le Misanthrope

monsieur Jourdain qui veut s'élever socialement, il est possible de ressentir un sentiment de pitié. Mais le lecteur peut aussi plus souvent prendre parti pour le moqueur et donc ressentir de la moquerie envers le moqué comme dans Le Misanthrope de molière où Célimène et Arsinoé se moquent l'une de l'autre quant elles ne sont pas ensemble. La duperie et le mensonge peuvent être vus différemment tout comme la moquerie. Tout d'abord cela peut attrister le lecteur ou le spectateur et donc le sentiment de

LE MISANTHROPE de Molière ACTE I SCENE 1 [v. 118-166] Très longue scène d'exposition (+200v). L'expo présente l'intrigue « judiciaire » avec le procès d'Al et l'intrigue amoureuse : la relation problématique avc Cél est évoquée ainsi que la séduction d'Al sur Arsinoé & Eliante, l'inclinaison de Phi pour Eliante. 1er échange donne le ton : Phi évalue les humeurs d'Al et a l'habitude des caprices de son ami. Al tient des propos excessifs, inadaptés à la situation, il ne veut pas rentrer dans

concernant le comportement des coquettes et ce qui fait le comique du dialogue : le point de vue de la servante (conflit de classe) ou la rivalité de deux femmes avec l’hypocrisie de la fausse amitié. Molière : Le Misanthrope (III,4). Le portrait que tracent l’une de l’autre Arsinoé et Célimène (la prude et la coquette) Marivaux : L’Ile des esclaves (scène 3) : portrait d’une coquette fait par sa servante. Goldoni : La Manie de la villégiature (II, 12) : Deux coquettes, victimes de la mode

de vrai amour et de fin tragique, leur amour étant bien-sûr dicté par leurs sentiments sans penser une seconde à leurs actes avec leur tête. Ainsi le personnage d'Alceste déclare à Philinte dans la scène 1 de l'Acte I de la pièce de Molière, Le Misanthrope, (v.248) "La raison n'est pas ce qui règle l'amour". L'amour est quelque chose de subjectif qu'on ne peut pas expliquer ou contrôler par le bon vouloir, on se fait rapidement emporter par lui sans s'en rendre compte et notre tête ne décide de rien

1 Commentaire du Misanthrope, IV, 3 (v. 1277 à 1322) INTRODUCTION : Situation du passage : Entre l’acte III et l’acte IV, Alceste a reçu d’Arsinoé une lettre de Célimène prétendument écrite à Oronte. Persuadé d’avoir été trahi et en proie au plus profond désordre, Alceste, pour se venger, offre à Éliante de l’épouser (scène 2), quand survient Célimène. Problématique de lecture : Les tirades d’Alceste et les répliques qui suivent transposent deux passages de la pièce Dom Garcie de Navarre, écrite

Monsieur d'Alembert sur les spectacles : "Le vrai misanthrope est un monstre. S'il pouvait exister, il ne ferait pas rire, il ferait horreur (...)" Dans quelle mesure ce jugement vous paraît-il pouvoir s'appliquer au Bourru de Ménandre et au Misanthrope de Molière? Ce qui frappe au premier abord dans cette sentence de Rousseau, quand il s’agit d’étudier la misanthropie, c’est que de misanthropie il n’est pas question. Ou plutôt, le vrai misanthrope serait l’incarnation de la misanthropie, quand Cnémon

pièce de Racine; la brouille s’ensuivra. Fin déc.: Molière tombe malade. 15 févr.: Dom Juan ou le Festin de pierre. 15 sept.: l’Amour médecin (à Versailles). 1666 Janv.-févr.: Molière ferme son théâtre pour cause de maladie. 4 juin: le Misanthrope. 6 août: le Médecin malgré lui. 2 déc.: Mélicerte (fêtes de Saint-Germain). 1667 Fin mars: la troupe perd la Du Parc au profit de l’hôtel de Bourgogne. Avr.-mai: rechute de maladie; Molière vit à Auteuil, séparé d’Armande. 5 janv.: la Pastorale

Jean de Le Bruyère n’est pas le seul à avoir stigmatisé les travers de son temps, dans le but de permettre à son Lecteur d’atteindre la perfection de l’ Honnête Homme . · Molière, avec le Misanthrope , montre la difficulté à être Honnête Homme , (Document n°1), avec Tartuffe , il dénonce les faux dévots, (Document n°2). · Jean de La Fontaine, dénonce les courtisans

série Galilée qui comportent des extraits de mises en scène récentes de certaines pièces : dans la série Maîtriser le discours, Bérénice et Electre de Sophocle (cassette n°8), Dom Juan (cassette n°9) ; dans la série Les textes ont la parole, Le Misanthrope (cassette n°2), Tartuffe et Le Mariage de Figaro (cassette n°4) I. Comédie et comique 1. La comédie comme genre a) Les conventions théâtrales comiques : lire L’Illusion comique de Corneille Cette comédie permet de travailler dès l’analyse

concernant le comportement des coquettes et ce qui fait le comique du dialogue : le point de vue de la servante (conflit de classe) ou la rivalité de deux femmes avec l’hypocrisie de la fausse amitié. * Molière : Le Misanthrope (III,4). Le portrait que tracent l’une de l’autre Arsinoé et Célimène (la prude et la coquette) * Marivaux : L’Ile des esclaves (scène 3) : portrait d’une coquette fait par sa servante. * Goldoni : La Manie de la villégiature (II, 12) : Deux coquettes, victimes de