Art 313 23 Du Code Monetaire

doit être établie par un écrit qui peut être sous seing privé ou authentique, sur support papier ou électronique (V. n° 3 et n° 4). La lettre de change est un acte formaliste qui doit comprendre toutes les mentions imposées par l'article L. 511-1 du Code de commerce (V. n° 6 à 45) à peine de nullité (V. n° 37). Le titre peut toutefois être converti par réduction (V. n° 37). La loi prévoit des suppléances qui permettent d'échapper à la nullité du titre (V. n° 38). Les tribunaux admettent parfois des

commercial, c’est une branche du droit privé. D’ailleurs, le code de commerce qualifie les opérations de banque d’actes de commerce (L110-1). Mais c’est un droit qui ce « publicise », un certain nombre de règles issues du droit public viennent réglementer cette matière. Le droit bancaire est donc une branche du droit commercial influencée par le droit public. S’agissant de son aspect commercial, le droit bancaire est soumis aux règles classiques du code du commerce (liberté de la preuve, compétence juridictionnelle

Les compagnies financières 21 Les intermédiaires en opérations de banque  21 Les établissements financiers 21 Les entreprises d’investissement 21 Agrément 22 Conditions d’agrément 22 Décisions d’agrément 23 Retrait et radiation de l’agrément 23 Portée de l’agrément 24 Les effets 24 La portée 24 Les tutelles 24 Introduction 24 La tutelle nationale 25 Les tutelles collectives 25 Les tutelles individuelles 25 Les tutelles indirectes 26

l’ensemble des places financières mondiales. La doctrine s’est demandée si cet ensemble homogène de règles constituait un véritable droit, un droit autonome s’affranchissant des règles de droit commun7, avant de conclure que « le C. mon. et fin., art. L. 621-1. Cependant la nature du CMF reste encore largement discutée en doctrine : V. notamment C.MERKIN et B. de SAINT-MARS, Le Conseil des marchés financiers, in La Modernisation des activités financières, p 79, spéc. n° 156 ; et DECOOPMAN, Conseil

payer si besoin est à la place du débiteur principal. Différence entre un cautionnement simple et une garantie autonome ? Cautionnement = engagement qu’on prend de se substituer à une personne en cas de défaillance. Régie par le code civil. Si donné par une personne physique => dispositions protectrices. Garantie autonome = engagement qui a vocation à fonctionner de façon autonome par rapport aux liens d’origine. Deuxième composante : le caractère onéreux de l’avance

seule étude de la personne du commerçant Ces deux conceptions figuraient dans l’art 1 du Code de Commerce de 1807 qui est devenu L.121 -1 du Code de commerce de l’ordonnance du 18 septembre 2000 « Sont commerçants ceux qui exercent des actes de commerce et en font leur profession habituelle » En droit contemporain, depuis le CC et de l’ordonnance du 18 septembre 2000 cette art n’est plus en tête du Code. Il s’agit de l’ancien article 631 du C de 1807 qui est devenu L.110-1 qui est maintenant

être trouvé entre la protection de l'individu et celle de la société. B. - Origines 4. - Avant l'entrée en vigueur de la loi du 24 janvier 1984, et faute de textes comparables à ceux que connaissait le droit bancaire suisse (L. 8 nov. 1984, art. 47 b. - Le secret bancaire dans la CEE et en Suisse : Rapport national du colloque organisé par le Centre d'économie bancaire international et le Centre universitaire d'études des Communautés européennes de l'Université de Paris-I, les 15 et 16 octobre

technique utilisé. • Etablissements de paiement : la législation fait référence à l’article L314-1 du code monétaire et financier, qui va dresser la liste des services de paiement. Ce n’est que par l’ordonnance du 15 juillet 2009 que l’on va transposer la directive, qui va créer une nouvelle catégorie d’établissement de crédit, les établissements de paiement. L’article L314-1 du code monétaire et financier nous dit que la liste des services de paiement qui est référencée constitue les activités

société commerciale = On applique le droit commercial → Quel que soit leurs activités par leur forme on appliquera le droit commercial d'après Art L210-1 paragraphe2/ Les actes de commerce par nature: L 110-1 Ce sont tous les actes de commerce qui ne son pas par la forme cette liste n'est pas limitatif elle peut être compléter elle est indicatif (qui indique) Art L110-1 → Les activités de transports par air ou par eau sont des exemples. A/ Les critères de distinction des actes de commerce 1/ Critère

droit commercial, puisque les opérations de banques relèvent du droit commercial. De plus les banques sont obligatoirement des sociétés par actions, et des entités commerciales (cf: art 410-1 du code de commerce). Les commerçants ne peuvent pas échapper au circuit bancaire, puisque aujourd'hui l’article L 123-24 du code de commerce de 1940, oblige les commerçants à avoir un compte un banque à la banque postale. Cependant il y a eu un éclatement du droit commercial depuis le début du 20ème siècle.