Art 4 De La Ddhc

-14 juillet : mouvements de troupes autour de Paris depuis quelques jours, prise de la Bastille, portée émotionnelle et politique (peuple de Paris devient un acteur majeur de la Révolution) Nuit du 4 août : AN constituante abolit les privilèges, la vénalité des offices et les droits seigneuriaux. DDHC - Assemblée constituante (AC) majoritairement favorable à sa rédaction avant celle d'une c°, rapidité d'écriture des textes, question des droits de l'homme omniprésente, accomplissement des promesses

lors du serment du jeu de paume, l’engagement est pris de rédiger une constitution mais il faut attendre le 3 septembre 1791 pour aboutir à l’adoption de la 1ère constitution. Pendant ces 2 années, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) qui est toujours aujourd’hui le texte fondamental de notre ordre juridique adoptée le 26 août 1789. Paragraphe 1er : Les origines du mouvement révolutionnaire ( l’évolution des idées ( l’influence de la révolution américaine ( la situation

internes CE, 1950, Dehaene/CC, 1971, Liberté d’association Reconnaissance valeur constitutionnelle du Préambule de la Constitution de 1946 CE, 1960, Société EKY/CC, 1973, Taxation d’office : valeur constitutionnelle de la DDHC Le CE peut s’appuyer directement sur la DDHC pour contrôler la légalité d’un décret CE, 1996, Koné Le CE considère qu’on ne peut extrader un ressortissant étranger pour un but politique et a considéré que ce principe était un PFRLR (Principes Fondamentaux Reconnus par

manque de capacité, en raison de la nouveauté. Texte d’Olympes de Gouges -> Ici dénonciation de l’oubli des femmes dans la Révolution et dans la DDHC. -> texte pastiche de la DDHC et revendication féministe? Lesquelles? Préambule : Tout au long du préambule elle remplace l’homme par la femme, toutefois ici ce n’est qu’une parodie de la DDHC : Elle remplace «les hommes» par «les femmes», le pouvoir législatif par «le pouvoir des femmes» et l’exécutif par «pouvoir des hommes», «citoyen» par

DROIT ET CONTRATS : I/ Le consentement, pierre angulaire du contrat A) Le consentement est une force qui légitime historiquement le contrat →Révolut° = consécrat° de l'autodéterminat° de chaque individu-l'homme possède des droits fondamentaux (cf DDHC) → Ses droits, libertés sont inaliénables mais peuvent être aménagés, restreints, contraints – le contrat devait les protéger → Transactions sur droits-libertés : par consentement ou pour préserver le bien-être général. B) La caractérisation du consentement

sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales Rome, 4.XI.1950 Notons que la France, qui héberge la Cour, n'a ratifié la Convention qu'en 1974, et n'a permis à ses résidents de saisir la Cour qu'en 1981. Convention européenne pour la protection des Droits de l'Homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications de la biologie et de la médecine: Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine Oviedo, 4.IV.1997 Non encore ratifiée par la France UE (27 pays) le traité

Caractère égalitaire Elle s'applique de la même façon à tous les individus (art6 de la DDHC « La loi doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse ». 3. Caractère permanent La règle de loi n'est pas destinée à ne s'appliquer que ponctuellement : elle est effective dès lors de sa publication au Journal Officiel et ce jusqu'à son abrogation et de manière uniforme durant toute son existence. 4. Caractère coercitif et obligatoire. La règle de loi s'impose de manière impérative

L’Etat La France de 1789 à 1914 a connu au moins 15 régimes politiques différents. Il y a eu 4 révolutions et 6 coups d’Etat. Chapitre 1: 1789-1792: Les principes nouveaux mis en place: En premier, la révolution est juridique. L’assemblée décide qu’il est temps de bâtir une constitution et donc une séparation des pouvoirs. En septembre 1791 une constitution est bâti. On a créer le texte qui est la DDHC (26 août 1789). Les bourgeois sont très souvent des juristes. Ainsi on choisit plutôt une déclaration

qu'elle soit connue de tous. LE FONDEMENT CONSTITUTIONNEL : Articles DDHC 5, DDHC 7, DDHC 8 contiennent des dispositions relatives au principe de légalité criminelle. Les 2 premiers : * DDHC 5 : « tout ce qui n'est pas interdit par la loi ne peut être empêché » mais pas très précise (ne parle pas de peine) * DDHC 7 : « nul homme ne peut ...arrêté, accusé ou détenu ... » ce n'est pas le principe au sens strict * DDHC 8 : « ...nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi.... ». C'est l'expression

pénale et la punition qui y est accolée fascine l'opinion publique. Les principes de justice et d'égalité s’expriment de manière très forte : la loi pénale promeut de grands principes comme l'égalité devant la loi qui figure à l'article 1 et 6 de la DDHC. Et ces principes sont repris par le Code de Procédure Pénale (CPP) : «Les personnes se trouvant dans des conditions semblables et poursuivies pour les mêmes infractions doivent être jugées selon les mêmes règles». Le principe de la légalité des délits