Art Comme Imitation De La Nature

Problème du rapport art/vérité. Peut-il y avoir une vérité des apparences ? Dans l'allégorie de la caverne, les ombres projetées sur la paroi sont les apparences dégradées des figurines : celles-ci sont les objets perçus, tandis que celles-là sont les illusions. L'intérieur de la caverne symbolise le monde sensible avec ses deux degrés de connaissance : la perception et la conjecture. Le monde intelligible, accessible à celui qui fait l'effort de se détourner du sensible, est symbolisé par l'extérieur

d’une œuvre d’art est quelque chose qui vient de l’esprit de l’artiste. Un e œuvre d’art est une manifestation de l’intériorité de l’artiste, de son esprit. Le but de l’art est d’imiter la nature/la réalité : Le but de l’art n’est pas d’imiter. Ce que l’artiste met dans son œuvre n’est pas d’imiter la nature. Imiter : reproduire, faire copie conforme, refaire à l’identique, tel quel, répéter. Si le but de l’art était d’imiter alors, 2artistes différents face à la même réalité feraient par exemple :

(d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 17 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 17 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 18 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 19 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 20 5. L’expression des forces (Schopenhauer, Deleuze) 22 6. L’art révèle la perception elle-même

scènes empruntées à la vie familière, anecdotique, intime, par opposition aux peintures du genre historique. Paysage : Peinture représentant la nature, incluant les représentations de ville, d’architecture, de ruines. Nature morte : Peinture ayant pour sujet un ou plusieurs objets ou des plantes; parfois des animaux morts • Vanité : Une vanité est une nature morte proposant une méditation sur la mort et le caractère éphémère des biens terrestres. Peinture allégorique PRÉHISTOIRE: c’est avant l’écriture

 L’ART Le mot « art » possède deux significations.  L’une, originelle, désigne un ensemble de procédés permettant d’obtenir certains résultats et d’atteindre certaines fins, comme l’expriment, encore aujourd’hui, des expressions telles que « art culinaire », « arts ménagers », « arts et métiers » etc.  L’art, entendu en ce sens, est très proche de l’artisanat. Ainsi que le définit Aristote, « Il y a art quand de nombreuses notions empiriques donnent naissance à une seule conception

et apollinien (Nietzsche) 1 (d) Beauté et utilité (Gautier) 1 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 1 B. Le vrai 1 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 1 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 1 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 1 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 1 5. L’expression des forces (Schopenhauer, Deleuze) 1 6. L’art révèle la perception elle-même (Michel Henry)

apollinien (Nietzsche) 15 (d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 18 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 18 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 19 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 20 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 21 5. L’expression des forces (Schopenhauer, Deleuze) 23 6. L’art révèle la perception elle-même (Michel

la seule musique digne d’intérêt est celle de la science des nombres. Epoque Carolingienne (du Vème au Xème) : La musique faisait partie des 7 arts libéraux en étant présente dans le quadrivium (maths, géométrie, astronomie, et musique). La musique comme proportion est belle car relevant des maths et est mise en relation avec les planètes  harmonie des sphères. Il faut attendre le 11ème pour trouver des théories fondées sur la réelle pratique des sons. On commence à admettre les qualités sensibles

constat : la Nature n’est pas l’environnement propice au développement humain. Elle ne présente pas d’ordre logique et se révèle être d’un inconfort notoire. En fait, « elle n’a pas de plan, manque étonnamment de fini, présente une extraordinaire monotonie et un complet inachèvement. Dans cet essai, Vivian et Cyril sont assis dans une bibliothèque, symbole de l’érudition et de la civilisation. La situation des personnages permet ainsi d’installer le dialogue à propos de l’Art et de la Nature : les deux

moitié du XIXe siècle et de se faire le « secrétaire » de cette histoire. Le réalisme ainsi défini se veut donc une imitation au plus près du réel. Cependant, la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste-t-elle qu'à imiter le réel ? La liberté propre au roman, genre protéiforme et en perpétuelle évolution s'il en est, peut-elle supporter de se cantonner à cette imitation? Le geste créateur du romancier se réduit-il à une simple reproduction, quasiment photographique, du réel ? Nous