Art conceptuel

monde du langage pratique qui n’a que faire de la création de la parole. Tout au long de cette histoire des mots, avons nous compris ce qu’était la poésie ? Est-ce une affaire sérieuse ? Est-ce une affaire tout court ? En quel sens est-elle un art ? Et qu’est-ce que la poésie ? * * * A. Le langage comme matière Le poète travaille sur un matériau qui semble a priori bien ingrat, le langage. Les mots dans leur usage empirique sont comme la monnaie que l’on se passe de main en main

configuration de son processus créateur dialectisant le passionnel et l’actionnel, l’inconscient et le conscient, s’épanouissant en un style et en une personnalité proprement kléennes : la couleur se vit comme passion. * sondeshebiri@yahoo.fr 311 Art, Emotion and Value. 5th Mediterranean Congress of Aesthetics, 2011 Sondès Hébiri La couleur comme passion chez Paul Klee Lors d’une tentative frustrée et frustrante par Wittgenstein, devant un décevant essai pour définir la couleur, nous nous

littérature (poésie). Mouvement romantique. Milieu 19ème tout ça va être remit en question (Hugo) Clarté, logique et cohérence ex : acropole Rasé la montagne, construit en réponse au temple de Persépolis rivalité politique Monument, incarnation conceptuelle de la forêt Caractéristique : proposer un monument ou l’extérieur est important (manifestation du génie humain) a la gloire de la victoire contre les perses (politique) modèle mathématique : le monde est rationnel, ordonné, religieux et laïque

accepte de se lancer dans l’aventure de la Swatchmobile rebaptisée SMART (Swatch-Mercedes-ART car) alors qu'elle mène depuis 15 ans des recherches en matière de sécurité sur des micro-cars citadines de 2,50 m et a présenté en 1993 les prototypes Eco sprinter et Eco speedster adoptant le concept de coque rigide "tridion". La marque évoquait à la fois : son intelligence (Smart), sa petitesse (Small) et son esthétique (Art). Création de la Micro Compact Car Ag (en Suisse) en joint-venture entre Swatch

Goncourt. Son défaut avait été de réduire le rôle de l'artiste à la pure vision matérielle, de réduire, sinon d'annihiler la part de l'intelligence créatrice. Le principal reproche qu'on pouvait lui faire était d'avoir continué à faire de la peinture un art imitatif. Pour eux, comme tous leurs prédécesseurs, l'art ne pouvait se concevoir que comme une recherche de la ressemblance, mieux : une quête de la vérité. Sans doute, la vieille conception platonicienne selon laquelle le beau s'identifie au vrai

(différents types de contrat et d'obligations qui peuvent exister), la PB, annonce du plan si plan et surtout si plusieurs pb juridiques qui se posent. Partie du syllogisme juridique : replacer le D applicable cad la loi (CC – 1134, 1147, qlq art à connaître par cœur / ou projet de réforme), la jurisprudence l'explication des faits de l'espèce (rapport à la qualification juridique – qu'est-ce qu'ils impliquent concrètement du point de vue juridique) la conclusion : confrontation de ce D applicable

fonde notre musée imaginaire. C’est assez amusant que je me retrouve face à une telle tâche, alors que je me suis consacré à la photographie justement pour exprimer et partager des choses que je ne pouvais pas faire passer par les mots. Parce qu’en art il s’agit bien de passage, de partage, de communion. Et que les plus belles œuvres ont à faire avec l’indicible et touchent au mystère absolu. « Touche », dans tous les sens du terme, est un mot important pour le propos qui nous occupe. La « touche »

œuvre dans un nouveau bâtiment, la question alors s’est posée : comment déplacer les œuvres ? Tout comme certaines pièces de l’art conceptuel peuvent être « rejouées » en différents contextes selon un protocole, des travaux situés peuvent être rejoués dans différents endroits, à conditions de suivre des principes établis par l’artiste - mais contrairement à l’art conceptuel, et c’est une différence fondamentale, l’œuvre ne saurait se réduire à ces instructions, elle n’existe que physiquement, dans un

théorie du gouvernement, aux rapports enfin entre gouvernants et gouvernés. Par " art politique ", ou " art de dimension politique ", selon la logique que commande en partie l’étymologie, on ne saura ainsi tout uniment retenir les formes propagandistes d’art, c’est-à-dire celles qui se mettent au service de la cité et de son gouvernement. Aussi bien, de ce point de vue, l’art politique ne sera pas forcément un art " engagé " au sens sartrien du terme, supposant l’activation des consciences et la

prévaloir une politique ». En fait, politique et stratégie sont inséparables, et l'une des rares critiques que j'adresserais au général Beaufre est de situer la politique sur un plan différent et au-dessus de la stratégie, celle-ci n'étant en somme qu'un art d'exécution. Peut-être fautil voir dans cette dichotomie l'effet d'une tradition où l'armée était encore la grande muette. Dans le chapitre I, l'auteur définit la stratégie comme « l'art de la dialectique des volontés employant la force pour résoudre