Art conceptuel

incompréhensible pour le spectateur. Dans l’ensemble du texte une présence inhabituelle des didascalies qui occupent quasi un tiers du texte par rapport aux répliques. Brouillage générique : les didascalies renvoient plutôt au mime, peut-être à un art circassien. Absence de séparation entre différentes scènes pose le problème du développement de l’action dramatique. Peut-on même parler d’action dramatique ? 1. une structure perceptible malgré l’imprécision Ouverture apparentée à une

étonnant, que de la Beauté comme essence, on n’ait retenu que la beauté comme idéal spécifique à une époque et à une culture. Le culte de la beauté, de la Renaissance à nos jours, est inséparable de "modèles" qui sont ceux de l’art classique. d’un art figuratif, dont les lettres de noblesses ont été données par des artistes de génie comme Raphaël, Léonard de Vinci, les frères Le Nain, Nicolas Poussin. Ou bien en musique, par les monuments que constituent Vivaldi, Bach, Haendel et Mozart. En effet

realle des objets. Cet hermétisme diminuera un peu un peu, au fur et mesure que le 2 peintre de viendront d’avantage maitres de leur tecnique et seron assez surs d’eux pour sa passer de model et composer directement a partir de leur propose images conceptuelles. En effet il ne rechercheront plus a détacher le plan de leur enviororonnemet naturel mais présenteront seulement les aspects le plus significatifs des objet considérer. Une bouteille, par exemple pourra être représenter par sa couple vertical

la Belle Époque. I- Le rayonnement culturel 1) L'art nouveau L'art nouveau est un mouvement artistique de la fin du XX ème siècle qui s'appuie sur l'esthétique des lignes courbes. C'est un style très extravagant et très éclectique mêlant art baroque, classicisme et rococo, utilisant des matériaux tels que le verre et le fer. Il parle aussi de tableaux comme celui de Gustave Klimt, le baiser(1907), en parlant de ce tableau comme le dit l’auteur, c’est pour montrer «l’ultime accomplissement

Histoire et theorie des idées et des formes Art, ideologie et pouvoir après 1870 L’art dans la société a la fin du XIX: C.Historique: III République (1870 – 1940), Affaire Dreyfus, Scandale Panama, avancés sociales, valeurs notamment importants. Libérte de presse et reunion, école obligatoire, liberté sindicale, séparation eglise – état. Courants artistiques: Académisme: L'art académique est un mouvement artistique du milieu du XIXeme siècle. L'académisme est caractérisé par un goût très fort

des meubles, des restaurants, du linge de maison, de la vaisselle, et dessine les esquisses de projets archi- tecturaux particulierement innovants. Sa demarche artistique et commerciale en fait un des precurseurs des conceptstores : son nom signe un art de vivre, un style. Jeanne Lanvin avait eu, dans les annees 1930, cette audace avec l’Art deco. Les annees 1960 voient naitre de nouveaux concepts de vente, de nouvelles offres. Les magazines de mode se multiplient – le magazine Elle, notamment, sous

introduction aux Cours sur l’esthétique, en précisant que si le terme d’esthétique peut être conservé comme « simple nom », « la formule qui, en toute rigueur, convient à notre science, est « philosophie de l’art », et plus exactement « philosophie du bel art » (I, Aubier, 1995, p. 6). 4 Pouivet, ibid. 2 L'art - Esthétique - Laurent et Nathalie Cournarie © Philopsis 2010 - Cournarie 2 relations. L’art n’est certes pas le beau 5. Toutefois l’esthétique peut-elle se désintéresser de l’art, sans

Portraiture (1659) de Charles Sorel, L'insulaire, 2006. © : Pierre-Henry Frangne Le design : une naturalisation de la vie ordinaire ? « Mais pourquoi n’as-tu pas pensé à moi en premier ? Je suis parmi les divers artistes peut-être le plus exempt d’« art » et le plus proche de la « réalité » et de sa construction esthétique ; le plus proche de l’architecture et de l’industrie. J’ai étudié avec le plus de persévérance ce qui est à l’origine de la véritable beauté de la réalité, à savoir la mise en relations

rhétorique classique comme moyen d’argumentation en public a une connotation négative, mais dans le cas de la conférence corbuséenne, il se justifie par la tendance de l’époque où on l’enseignait jusqu’aux années 1950. Le Corbusier, étant imprégné par cet art, se vantait de suivre la logique et va jusqu’à imposer son raisonnement comme des faits réels grâce au dessin. En effet, en confrontant différents schémas et en transformant les paroles en une réalité physique sous les yeux du spectateur, le langage

n’importe quel objet technique devienne de l’art. La seule provocation suffit à donner à l’art un contenu. Du coup, la signification utilitaire de l’objet disparaît, et il devient une œuvre sous un point de vue différent, grâce à la justification conceptuelle de l’artiste. Dans ces cas, l’artiste ne produit rien, il ne crée pas. Il crée des concepts : il se contente de placer, de nommer pour produire une nouvelle œuvre. Duchamp donne à penser qu’au fond, ce n’est pas l’artiste qui fait l’œuvre, c’est