Art sacré

renoncer à sa religion. En parlant de religion, on ne parle pas seulement des religions qui ont un dogme. Définition: La religion est l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacre ou une divinité. Une religion particulière se définit par des éléments spécifique à une communauté de croyants (sacrement, lieux de culte, dogme, pratiques, livres) La plupart des religions ce sont développées a partir d'une révélation s'appuyant

l'homme mythique ne pouvait pas expliquer. Ces mythes ont toujours comme acteurs principaux des êtres mythiques et nous font part d'évènements qui se sont produits. Par exemple, le début des choses comme l'émergeance d'une île. Les mythes relèvent du sacrée ou du surnaturel. Les mythes étaient présent pour expliquer des événements. Ils faisaient part d'évènements sacrés qui était en lien direct avec les réalités des ancients. Alors, les mythes étaient toujours vrais. Ils ne provenaient pas toujours

(XVIIIe siècle). Grand Architecte de l’Univers: Principe créateur adopté par la plupart des obédiences. Hiram: Grand architecte du Temple de Salomon. Les maîtres maçons sont considérés comme une réincarnation d’Hiram. Livre de la Loi Sacrée (ou Volume de la Loi Sacrée): représente la loi ou encore la plus haute spiritualité dont s’inspire la Franc-maçonnerie. Loge: Local rituellement aménagé où se réunissent les francs-maçons et, par extension, l’ensemble des frères d’un atelier. Obédience: Fédération

ses membres, ce qu’un dieu est à ses fidèles ». Le philosophe explique alors que même les sociétés qui se laïcisent de plus en plus gardent des totems, des objets sacrés tels que le drapeau de la nation, des cérémonies laïques, l’hymne national. Le sacré devient une force collective nécessaire à l’ordre et à l’organisation d’une société. Un ensemble de valeurs que chacun partagerait est nécessaire à l’organisation d’une société, sans quoi la division sociale du travail séparerait les hommes. La religion

particulier aux jeunes) alors que ca marche pas comme ça ds une secte. I/ la religion comme administration du sacré - En philo la religion est un objet social et non une réflexion sur la foi ou dieu - c’est une institution, une administration du sacré - administrer = organiser, régler mais aussi diffuser, donner - un prêtre administre les sacrements (comme l’extreme onction) - le sacré est un sentiment, une réalité subjective partagée par TOUT le monde (paradoxe) - c’est un sentiment selon lequel

peut nous rappeler les icones du Christ Pantocrator. Un regard fier, distancié et impénétrable est dirigé sur le spectateur, et aucun sentiment ne semble émaner de son visage, aucune expression. Le manque d’expression souligne le coté non-humain, sacré, du tableau et fait ressortir le narcissisme et la sublimation du peintre. L’artiste exprime donc dans ce tableau émotions et sentiments à travers les différents objets. Ces différents objets et détails dont beaucoup sont des motifs religieux.

Comment peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre; cette idée nous semble étrange; la fraîcheur de l'air et le scintillement de l'eau ne nous appartiennent pas. Comment pouvez-vous nous les acheter ? Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple, chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque brume dans les bois sombres, chaque clairière ou chaque insecte bourdonnant est sanctifié dans la mémoire et l'expérience de mon peuple; la sève qui court à travers les

les termes du quel les individus définissent leur monde expriment leurs sentiments et formulent leurs jugements.  le monde est le même mais la représentation du monde sera propre chaque société et de ce fait les symboles vont varier. Ce qui est sacré dans une société ne l’est pas dans une autre. Transmission = technique de corps/technique de maternage. La culture se transmet à travers l’éducation du corps, c'est-à-dire dès la naissance dans le mode d’élevage des bébés. On parle de techniques

par des personnes qui prétendaient guérir les scrofuleux. Les autres souverains avaient des pouvoirs différents: anglais guérissaient aussi l’épilepsie et espagnols délivraient des possédés. Le roi se voyait acquérir ce pouvoir à la cérémonie du sacre, moment où une personne avait les qualités, les conditions requises pour devenir roi (aînesse, hérédité, masculinité, etc.). Il avait une légitimité découlant de ces conditions. Problématique: le caractère thaumaturge renforce-t-il, accorde-t-il

d’une domination incontesté et sans partage A) La recherche d’une mise en accord du droit et du fait B) La ministère de la dynastie carolingienne 1. Un roi prêtre : le sacre royal 2. Un empereur chrétien : le couronnement impérial 2 .un empereur chrétien : le couronnement impérial (p35) * Un empereur sacré * Un roi défenseur de la chrétienté : empereur de droit II- Un pouvoir universalisé : tentative d’un retour à la dignité impériale romaine A) La répartition des domaines