Art sacré

XVIIe siècle, les Navajos étaient devenus un peuple pastoral, avec une économie fondée en grande partie sur l'élevage et la chasse. À l’origine « navajo » signifie « champs près d’un ruisseau » et leur réserve est située entre 4 montagnes sacrées, chacune représentant un point cardinal. La religion navajo est fondée sur le culte des vents et des cours d’eau. La plus grande réserve amérindienne du pays couvre presque 70 000 km² du nord-est de l’Arizona et de plus petits secteurs de l’Utah

ces livres mêmes étaient toujours renfermés ; et, par une précaution si sage, on ôtait les armes des mains des fanatiques et des séditieux. Les devins9 ne pouvaient rien prononcer sur les affaires publiques sans la permission des magistrats ; leur art était absolument subordonné à la volonté du sénat ; et cela avait été ainsi ordonné par les livres des pontifes, dont Cicéron nous a conservé quelques fragments10. Polybe met la superstition au rang des avantages que le peuple romain avait par-dessus

(1770-1837), Napoléon Ier, empereur des Français, 1805, château de Versailles, huile sur toile, 2,25 x. 1,47 m. Commandé à Gérard en 1805 pour l'hôtel du ministre des Relations extérieures, ce tableau représentant Napoléon en "grand habillement" du Sacre (couronne, sceptre, main de justice, globe crucifère, collier de la Légion d'honneur…) a fait l'objet d'un nombre important de répliques destinées à prendre place dans l'appartement d'honneur de chaque résidence politique à l'étranger, diplomatique

Italie et dans l'Empire, est une opération religieuse et architecturale. Les Étrusques, du latin Etrusci (peuple qui vivait depuis l'âge du fer en Étrurie), ont enseigné aux Romains le rite de la fondation d'une ville. Fonder une ville : un acte sacré Premièrement, le fondateur, assisté d'un augure, interprète le vol des oiseaux (auspices du latin auspicium) pour être sur que les dieux sont favorables à élévation de la ville à cet emplacement. Deuxièmement, muni de sa groma, le géomètre

DURKEIM dans sont livre Les formes élémentaires de la vie religieuse, la religion peut se définir comme la réponse a un besoin spirituel : La religion est Selon l’auteur : « un système solidaire de croyances et de pratiques relatives a des choses sacrées […] qui unissent une même communauté morale appelée Eglise, tout ceux qui y adhérent» .Une grande partie de religions se retrouvent dans le faites qu’elles sont la pour tenter d’expliquer l’inexplicable, le métaphysique. Des interrogations comme

Caillois L’homme et le sacré Édition : Paris Gallimard Date d’édition : 1972 A travers 'homme et le sacré Roger Caillois tente d'expliquer la nature particulière du sacré qu’il comprend comme étant l’objet dans lequel une force vient se loger , une force aux possibilités ambiguës que l'homme se plait à manipuler, à craindre pour mieux interagir avec son propre monde. Il affirme ailleurs que « C'est du sacré que le croyant attend tout secours et toute réussite. » Le sacré est une qualité que les

Louis XIV en costume de sacre I) Pr�sentation du tableau Date�: 1701 Dimensions�: 2,77m x 1,94m Genre�: portrait en pied Technique�: huile sur toile auteur�: Hyacinthe Rigaud II) Biographie de l'auteur C�est un peintre fran�ais sp�cialis� dans l�art du portrait. Il se fixe � Paris en 1681 et peint pratiquement tous les grands personnages de la Cour. Il excelle dans la repr�sentation des visages, dans le rendu des draperies froiss�es, des velours, des soies qu�il rend luxueux gr�ce

constituaient les supports de cultes communautaires qui organisaient la société, ainsi hiérarchisée et disciplinée par un pouvoir sacré coercitif. Le retrait des boli implique donc le retrait des végétaux qui les dissimulaient, de telle sorte que l'espace villageois s'ouvre. Les mosquées se répandent donc et semblent se substituer aux hiérophanies végétales. Autrement dit, le sacré se retire de la surface terrestre et des éléments végétaux pour remonter vers Dieu qui devient l'unique source de sacralité

semble être présente dans toutes le civilisations, y compris les civilisations dites primitives et depuis bien des années. Ainsi Bergson affirme dans Les deux sources de la morale et de la religion, 1952 « On trouve des sociétés qui n'ont ni science, ni art, ni philosophie. Mais il n'y a jamais eu de sociétés sans religion ». D'après cette citation, il serait donc difficile de savoir comment l'homme a pu devenir un être religieux puisque la religion est présente avant même son arrivé. Bergson pense que

galets DÉPRAVATION : n f. Corruption – ex : la jeunesse vit dans la dépravation. DÉPRÉDATION : n f. Vol ou pillage accompagné de dégâts – ex : les voleurs ont commis des déprédations. PROFANE : adj et n m. Qui n'appartient pas à la sphère du sacré / Personne étrangère à une association – ex : Il n’admire pas ces monuments, c’est un profane. COURROUCER : v t. Mettre en colère – ex : Dieu se courrouce contre les méchants. INDISSOLUBILITÉ : n f. Qualité de ce qui est indissoluble – ex : L'indissolubilité