Ary Scheffer

guidant le peuple » - « La mort de Sardanaple » - « La barque Dante » - « La Grèce sur les ruines de Missolongui » De plus, d'autres œuvres peuvent être rapprochées à cette peinture grâce au thème du tableau : - « Les femmes souliotes » de Ary Scheffer - « Sujet Grec moderne après le massacre de Samothrace » de Auguste Vinchon - « L'enfant » poème tiré des « Orientales » de Victor Hugo - « La Grèce sur les ruines de Missolongui » de Delacroix. Certains tableaux comme le « Le Tres de Mayo »

du frère de Paolo, mais comme dans le livre sur l'amour interdit entre Guenièvre et Lancelot, Paolo et Francesca tombent dans la même tentation et tombent amoureux. Malheureusement, le mari les surprend et tue les deux amants. Dans le tableau, Ary Scheffer représente les deux amants s'embrassant de manière possessive comme si une force surhumaine les obligeait presque à rester ensemble. L'étreinte de Schiele, réalisée en 1917, représente deux personnages s'embrassant exprimant la solitude de l'homme

France. Y assistent les peintres Louis Boulanger (1808-1867) et Eugène Devéria (1805-1865) qui, au début, apparaît comme le chef de file d’une école romantique qui compte également Théodore Géricault (mort prématurément à l’âge de 33 ans), Ary Scheffer, Edouard Bertin, Eugène Isabey, Paul Huet, Diaz de la Peña et Louis Boulanger (fig. 3). Fig. 1 Eugène DEVÉRIA La naissance d’Henri IV 1827 Huile sur toile, 0,65 x 0,54 m. Inv. 868.1.27 Montpellier, musée Fabre, don Bruyas 1868. romantisme

triomphe en France. Y assistent les peintres Louis Boulanger (1808-1867) et Eugène Devéria (1805-1865) qui, au début, apparaît comme le chef de file d’une école romantique qui compte également Théodore Géricault (mort prématurément à l’âge de 33 ans), Ary Scheffer, Edouard Bertin, Eugène Isabey, Paul Huet, Diaz de la Peña et Louis Boulanger (fig. 3). Fig. 1 Eugène DEVÉRIA La naissance d’Henri IV 1827 Huile sur toile, 0,65 x 0,54 m. Inv. 868.1.27 Montpellier, musée Fabre, don Bruyas 1868. L’élargissement

pour faire une parabole du désir et de la maladie qui le ronge. D'autres exemples pourraient être mentionnés qui pourraient établir un lien dans la représentation assujettie aux préceptes de la religion comme nous la fait encore voir tardivement Ary Scheffer avec L'enfant malade ou bien à celle plus liée au récit autobiographique, telle qu'elle apparaît sous les pinceaux de Frida Kalho dans La colonne brisée ou bien encore des portraits de fous peint par Théodore Géricault (médécin de la Salpêtrière)

ans, il suit sa mère qui décide alors de s’installer à Paris. A partir de 1852, après des études moyennes, le jeune Bartholdi étudie l’architecture à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts. Il suivra également les cours du célèbre peintre Ary Scheffer. Auguste aime fréquenter les salons où se pressent intellectuels, artistes et politiciens. C’est au cours d’un de ces dîners près de Versailles, qu’il rencontre en 1856, celui qui deviendra l’autre père fondateur de la célèbre statue : Edouard

échangeaient un premier baiser, ils seront surpris par Gianciotto qui les poignardera. Cet amour interdit, et la damnation éternelle qui en sera la conséquence, apparaît comme l'un des thèmes de prédilection du XIXème siècle, pour Ingres, Delacroix, Ary Scheffer, Cabanel ou Henri Martin. Il serait, ainsi, intéressant d’étudier Francesca da Rimini(Musée du Louvre) par Cabanel qui est une toile datant de 1870. Le fait que Cabanel ait été accusé de plagiat (par rapport à Delacroix) pour cette œuvre n’en

perdu son père. Après la mort de son père, sa mère décide de partir vivre à Paris pour y éduquer ses enfants. Le jeune Bartholdi présente très tôt des dons artistiques. De 1843 à 1851 il fréquente le lycée Louis-le-Grand et l’atelier du peintre Ary Scheffer par le biais de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts. En 1852, Bartholdi s’installe dans son premier atelier. En 1853 il reçoit une de ses premières commandes de sa ville natale : une statue du Général Rapp. En 1855-1856 il part avec des

triomphe en France. Y assistent les peintres Louis Boulanger (1808-1867) et Eugène Devéria (1805-1865) qui, au début, apparaît comme le chef de file d’une école romantique qui compte également Théodore Géricault (mort prématurément à l’âge de 33 ans), Ary Scheffer, Edouard Bertin, Eugène Isabey, Paul Huet et Louis Boulanger. Caractéristiques: Le romantisme est le mouvement est le mouvement qui incarne la liberté: c'est " le libéralisme en littérature". Cherchant l'évasion dans le rêve, dans l'exotisme ("Parfum

musée des beaux-arts de Chambéry[->76] Nicolas Poussin, Orphée et Eurydice, XVIIe siècle[->77], musée du Louvre[->78] Jean II Restout, Orphée descendu aux enfers pour demander Eurydice ou la musique, fin XVIIIe siècle[->79], musée du Louvre Ary Scheffer, La mort d'Eurydice, 1814, Musée des beaux-arts de Blois[->80] Jean-Baptiste Corot, Orphée ramenant Eurydice des Enfers, 1861, Musée des beaux-arts de Houston[->81] Gustave Moreau, Orphée, 1865, Musée d'Orsay, Paris, France. · Émile Levy