Asiles

l’URSS. Mais cette idée est abandonnée, car les Allemands sont incapables de vaincre les troupes soviétiques. L’idée d’une extermination physique se met alors en place. À partir de 1939, les Allemands avaient commencé à euthanasier les patients des asiles psychiatriques. Cette pratique avait été interrompue à la suite de protestations de l’Église catholique, mais elle a permis d’expérimenter des méthodes d’extermination au monoxyde de carbone. Sur le front de l’Est, les Einsatzgruppen exécutent par

les prostituées, les vieillards qui ne peuvent pas être pris en charge par leur famille, les enfants abandonnés, les personnes jugées comme étant « folles », ayant étaient diagnostiquées avec une démence, ces derniers étant plutôt placés dans des asiles, l’hôpital accueille toutes les personnes dans l’incapacité de se soigner. L’hôpital est souvent un dernier recours pour les malades les plus démunies qui ne peuvent pas faire appel à un médecin. Cependant, les malades consultent les médecins

<<Fixerstuff>>. Mais est-ce-que ces foyers d’accueil pour les drogués sont utiles et souhaitables ? Afin de répondre à cette problématique, nous allons tout d’abord présenter trois arguments pour et trois arguments contre, pour savoir si les asiles pour la consommation de drogues sont une bonne chose ou non. Commençons avec les arguments contres. En premier lieu, beaucoup de gens ne veulent pas telles salles dans leur entourage proche. Effectivement ces installations entraînent naturellement

représentation luxuriante.On remarque la présence du point de vue interne de part la description très réaliste pouvant plonger le lecteur dans l'imaginaire. Cette description est rendu possible avec l'omniprésence d'adjectifs ''au bord du lac '', '' quelque asiles '', '' l'agitation de l'eau '', '' son bruit continue '' l'air du lac et la fraîcheur ''… On peut aussi voir la présence du champs lexical de l'eau; ''lac'', ''grève'', ''agitation de l'eau'', ''le reflux de cette eau'' ainsi que le champ lexical

pouvoir/savoir de Foucault: toute forme de pouvoir implique la production d'un savoir et tout savoir autorise l'exercice d'un pouvoir. Cette idée peut aussi être illustrée par: l'émergence des institutions carcérales et la criminologie; entre les asiles et la psychiatrie; entre la colonisation et l'anthropologie (anthropologues du 20è siècle: Grande-Bretagne – anthropologie fonctionnaliste). Les deux point sont à chaque fois indissociables l'un de l'autre. Puisque cette anthropologie fonctionnaliste

voici le mien. A ces mots sur un arbre il grimpa bel et bien.                L'autre fit cent tours inutiles, Entra dans cent terriers, mit cent fois en défaut                Tous les confrères de Brifaut (8).                Partout il tenta des asiles ;                Et ce fut partout sans succès : La fumée y pourvut, ainsi que les bassets (9). Au sortir d'un Terrier, deux Chiens aux pieds agiles                L'étranglèrent du premier bond. Le trop d'expédients peut gâter une affaire ; On perd

fonction d’intendant est créée, leur mission est de représenter le roi dans les provinces, de surveiller la population et de rendre des comptes au roi sur les provinces qu’ils occupent. Louis 14 s’occupe aussi de surveiller les plus pauvres en créant des asiles pour les exclus, des hôpitaux pour les malades et en créant la fonction de lieutenant de police en 1667. Au niveau économique, Louis 14 met en place la politique de mercantilisme : il veut que la France s’enrichisse et garde son or pour des investissements

comparaison implicite de Sepulveda. Las Casas explicite la comparaison avec l'homme occidental. Paradoxe par la périphrase « le royaume le plus riche du monde » qui désigne l'Espagne. - Accumulation : rythme ternaire : « dans les campagnes, dans les asiles, dans les ports » // « combien de mendiants, d'indigents et d'estropiés ». Ironie par la citation de l'expression de son opposant « attitudes solidaires » l26 // l20 ==> argument final de Las Casas : la forêt sauvage = requalifiée comme une

l'humanité, que la raison a longtemps considéré comme peu digne d'intérêt. Semblablement la raison repousse le fou et le met à l'écart de la société : M.Foucault dans son histoire de la folie, a montré que le "grand renfermement" des malades mentaux des asiles est contemporain du rationalisme cartésien. Ainsi, en refusant de prendre en considération tout ce qui lui est étranger, la raison se fait totalitaire, et construit des mondes où elle règne seule. Mais ces mondes sont des univers clos, plaqués sur

drogue mis à part de l'éther). Cette expérimentation permet aussi de retrouver l'attrait de Michaux pour la médecine et en particulier la psychiatrie (il a assisté de nombreuses fois et dans de nombreux pays à des présentations de malades dans des asiles). Ces expérimentations se déroulaient avec l'aide d'un médecin, en calculant précisément les doses ingérées, et en notant ou en dessinant ses impressions pendant ces séances. Il s'agit d'une approche scientifique de ces substances psychotropes (Michaux