Aspects Négatifs Du Libéralisme

de science politique, Victore Louis et Tonny Maria, les relations extérieures, Université de Bruxels, 2005 Bibiographie spécialisée Narcisse Mouelle Kombi, La politique étrangère du Cameroun, Paris, L’harmattan, 1997 Paul Biya, Pour le libéralisme communautaire, Paris, Pierre Marcel Fabre, 1987 Kontchou Komeny Augustin, Le système diplomatique africain, Paris, Pédone, 1977 Lekene Domphack Ethienne Charles, Le processus de décision dans la diplomatie camerounaise, mémoire de DESS en science

de lʼéconomie P1 : première définition : Biens produits par lʼHomme et donc qui ont un coût. 1 L’objet de l’économie politique est une recherche sur les causes et la nature de la richesse des nations. Adam Smith 1776, un des père du libéralisme. Il se pose le problèmes de savoir “Quels sont les sources de la croissance économique”. Problème de la croissance, des facteurs de la croissance, mais aussi de ses causes. En 2007 le problème se pose toujours. En 1776, Smith assiste la révolution

compétitif sur le marché international » «il est donc bénéfique pour l’entreprise à court terme mais à moyen terme il est négatif qui il s’accompagne obligatoirement d’une baisse des revenus et donc de la consommation et donc de la production et du chiffre d’affaire  - davantage vrai pour une entreprise qui n’exporte pas ou peu – pour les multinationales pas vraiment d’effet négatif puisqu’elles délocalisent pour produire à moindre coût, plus vite, vendre moins cher et donc leurs produits restent intéressant

L'imprégnation par les usages - Les quatre voies de l'influence intellectuelle TROISIEME PARTIE : LES EFFETS PERVERS DE LA NOUVELLE UTOPIE 6. Les ambiguïtés de la communication : - L'utopie de la communication et la progression du libéralisme - Un mot qui ne veut plus rien dire - Une utopie aux effets concrets 7. L'empire des médias : - La confusion entre information et connaissance - L'incontournabilité des médias 8. Le nouvel individualisme et la montée

: en France, si des partis comme le PCF ou le NPA se rapprochent de la mouvance, d'autres, comme par exemple Lutte ouvrière, s'en éloignent...[réf. nécessaire] * Les antilibéraux qui critiquent le modèle du libre-échange (cf. critiques du libéralisme économique) veulent réformer en profondeur les principes de la logique économique, sur la base de critères sociaux et moraux. Certains proposent de taxer les flux de capitaux spéculatifs (taxe Tobin). * Les souverainistes ou nationalistes qui

le recul ainsi que l'objectivité. * Exemple 1 : le cas d'un historien. Il y a 2 hypothèses à considérer : - l'historien qui travaille sur des périodes très anciennes de l'histoire humaine. Aspect positif et négatif : Négatif → plus la période est ancienne, moins il y a d'informations, de traces sur la vie quotidienne, les comportements ou les pensées des hommes de l'époque. Positif → comme il dispose de peu d'informations, il

une histoire ». La parole démocratique. La démocratie est véritablement le régime du convaincre dans lequel la parole prend une place prédominante. « La parole devient l’outil de la politique par excellence ». On la met en forme sous différents aspects : Discussion, argumentation, débat. Le discours est l’instrument majeur du pouvoir politique. Pour la première fois, l’homme différencie le monde des vivants et celui des morts, « c’est le début de la solitude de l’homme ». Théoriquement, les inégalités

gouvernement ? ». Milton Friedman est un avocat du libéralisme. Il insiste sur tout ce que ce mot a de problématique outre atlantique. En effet, alors qu’au XIXème siècle, ce mot signifiait la même chose là-bas qu’en Europe, il désigne aujourd’hui une conception centralisatrice, favorable au déploiement sans limites de l’Etat Providence et qui voit dans le bien-être et l’égalité les préalables voire les substituts de la liberté. Ce « libéralisme » a ressuscité les mêmes politiques d’intervention

entrée dans l’âge d’or de l’humanité. La science, la raison permettent désormais à chaque homme de se libérer du poids des croyances religieuses et des superstitions. Le libéralisme c’est un courant de pensée plus complexe que aujourd’hui, c’est bien sûr le libéralisme économique mais pas que, cela veut aussi dire le libéralisme politique, pouvoir manifester, la liberté d’expression, la liberté de choisir sa religion et la liberté économique de part des contraintes imposer par l’Etat, la liberté

sur l’environnement est bien entendu connu de tous, mais ses méfaits concernant les aspects sociaux, culturels et démocratiques sont loin d’être négligeables. Ces 4 crises remettent en cause, comme jamais, le dogme de la croissance économique sans limite et le productivisme qui l’accompagne. Elles révèlent également l’inefficacité flagrante, pour les résoudre, du « développement durable ». Mais au-delà de ces aspects économiques, physiques, biologiques, sociologiques et politiques, se profile en réalité