Association française de normalisation

furent plus précoces au Royaume-Uni, où un grand mouvement de lutte contre l’illettrisme fut lancé dès 1972 avec la création d’une agence gouvernementale et des actions médiatiques. En 1986, l’Unesco décréta que l’illettrisme était l’appellation française de l’analphabétisme fonctionnel (incapacité pour une personne à exercer toutes les activités pour lesquelles l’alphabétisation était nécessaire dans l’intérêt du bon fonctionnement de son groupe et de sa communauté, pour lui permettre de lire, écrire

2 -communication internationale 3-voyage d’affaire B-Approche réglementaire et administrative 1-préparation d un contrat de vente international 2-comprendre les principes de normalisation 3-maitriser la procédure douanière II- DOCUMENTS USITES ET GESTION DES FLUX…………………………………5 A- Les Documents Usités En International 1-1e contrat commercial……………………………………………………...5 2-Document

1920-1930, les principales caractéristiques du système de normalisation français se mettent en place . Initiatives privées et interventions publiques vont se développer conjointement .Mais en 1930, l’état institue un contrôle de l’Afnor à travers les fonds publics qu’il lui accorde. Le 24 mai 1941, le régime de vichy décide de réglementer l’activité de normalisation française. Il fonde la marque NF et crée un poste de commissaire à la normalisation. A partir de 1964, il renonce à cette forme de censure

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS ET RAPPORTS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL L’AVENIR DES INDUSTRIES MÉCANIQUES 2009 Avis présenté par Mme Martine Clément Texte adopté en assemblée plénière le 14/10/2009 dont la publication officielle interviendra le 21/10/2009. Texte adopté en assemblée plénière le 14/10/2009 dont la publication officielle interviendra le 21/10/2009. Année 2009 - N° 26 NOR : C.E.S. X09000126V Mercredi 21 octobre 2009 MANDATURE 2004-2009

secondaires (déjà existantes) et externes (à l’extérieur de l’entreprise). Les sources d’informations externes sont aussi diverses que les revues professionnelles, les syndicats professionnels, les organismes publics, les banques de données, les associations de consommateurs, les panels… Si ces informations s’avèrent insuffisantes pour traiter le problème initial, ou si tout simplement l’information recherchée n’existe pas, il faut la créer. On arrive alors dans le domaine des informations primaires

par une certaine robustesse au sein du secteur industriel, avec une relative stabilité de leur nombre de salariés comparée à la perte de la moitié des emplois du secteur industriel depuis le début des années 1970, les entreprises agroalimentaires françaises se développent et se structurent toutefois insuffisamment au regard de leurs homologues dans le monde. Pourtant, force est de constater que la France recule dans le classement mondial des pays exportateurs sur le secteur agroalimentaire, passant

information, de vérifier les bonnes sources, de la diffuser afin de créer de la valeur ajoutée au sein des entreprises. Il s’agit de la veille stratégique et/ou de l’intelligence économique PRESENTATION THEORIQUE DU CONCEPT Selon l’Association Française de Normalisation, la veille est « une activité continue et à grande partie itérative visant à une surveillance accrue de l’environnement technologique, commerciale, etc. pour anticiper les évolutions » 1 .Humbert Lesca, préférant le terme de « veille

Jean-Luc Garcia - Habitat Marseille Provence et Club Informatique HLM, Antoine Ferré - Unfohlm et Médiaconstruct. Remerciements pour leur participation, aux représentants des organisations professionnelles Antoine Ferré -Unfohlm, Bernard Longhi - Association des maires des villes numériques de France, François Pélégrin - Archinov, Didier Lefevre - Capeb, Patrick Duchateau - FFB, Patrick Ponthier - AIMCC Remerciements particuliers à l'équipe de la Direction Générale de l'Urbanisme, de l'Habitat et

exemples : de la France avec le label (égalité professionnelle) et la Belgique avec (le lebel social). ISO : Le plus connu des référentiels normatifs est celui de la qualité : ISO 9001(2000). Afnor : L’opérateur central du système français de normalisation. OIT : Avec la norme ILO-OSH (2001). SAI : Avec la norme SA8000. IIP : Délivre une certification en matière de management des RH. Les entreprises : ici les auteurs ont pris l’exemple du groupe PPR et le groupe Suez. Les syndicats : par exemple

certifications. Ce sont le s garanties officielles que, de par ses processus, l’organisation est capable de satisfaire ses clients. Les certifications les plus connues et reconnues sont les normes ISO 9000 de l’Organisation International de Normalisation. POURQUOI METTRE EN PLACE UN SYSTEME QUALITE Baisse des anomalies externes = Clients satisfaits et plus nombreux + + Baisse des anomalies internes = Baisse des coûts de fabrication = = QUALITE DES PRODUITS = PROSPERITE DE L’ENTREPRISE