Assonance

langue (soutenu, courant, familier) - Vocabulaire péjoratif ou mélioratif - Le verbe : mode, temps, aspect, personne - Le sujet / les compléments - La ponctuation - La présence éventuelle d'images et de figures de style - Les allitérations et les assonances - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures Les commentaires possibles un ou deux des champs lexicaux, les champs lexicaux permettent souvent d’identifier les thèmes du texte. rythme du texte, enchaînements, idées principales, idées secondaires

vers, les poètes peuvent jouer sur les sonorités, en répétant par exemple le son d’une voyelle, ce qu’on appelle une assonance : «tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire» (Racine). METHODE : il faut toujours interpréter les procédés que l’on relève. MAIS ATTENTION à ne pas donner des interprétations trop fantasques ou tirées par les cheveux pour les allitérations et assonances ! On peut également répéter le son d’une consonne, ce qu’on nomme une allitération : «Pour qui sont ces serpents

aimez-moi donc, Marie ». Chez Ronsard, référence à l’antiquité : le culte de Vénus vient remplacer celui de Marie (Rime avec prie au vers suivant : prière de l’aimer) Travail sur la forme le sonnet …. Rapport entre la poésie et la musique : rythmes, assonances, allitérations, harmonies imitatives… Cf « L’invitation au voyage » la poésie enchante et chante l’amour. Invitation à l’amour : Cf « Elle était décoiffée, elle était déchaussée » Hugo. C) L’amour en poésie On peut aussi ne pas célébrer pas

d’organisation métrique et montre qu’il est capable de structurer son dialogue autant sur le fond que sur la forme (propice au développement du rire)= dernière rime de chaque réplique rime avec la première de la réplique suivante. Assonances en « é » qui riment avec « NEZ », assonances en « i » qui casse et pas évident à prononcer, allitérations en « que, pe ». 2) La stratégie du rire : comique de mot= invention de Cyrano « Hippocampelephantocamelos », partie en patois, prononciation, accent paysan= humour

simple et concret est d’ailleurs une caractéristique permanente du recueil. Le poète imite le parler du peuple, emploie un lexique restreint, des expressions toutes faites ou proverbiales. Il écrit en vers libres et remplace souvent les rimes par des assonances. Les aspects dominants de l'art de Jacques Prévert que souligne d'ailleurs le titre Paroles sont la spontanéité et l'oralité nourries des influence surréalistes faites d'expressivité nouvelle et de provocation. On retrouve les traces du surréalisme

rappellent des refrains de chansons. Les rimes pour l'oreille plutôt que pour l'œil montrent peut-être la destination orale du poème. Les distiques, à rimes plates ou simples assonances font aussi penser à la chanson populaire ainsi que la simplicité du lexique et l'emploi de la forme dialoguée. De plus les nombreuses assonances et allitérations de ce poème lui confèrent une grande musicalité (vers 10, 11, 30, 31, 32) Mais Apollinaire, reprenant un thème et des formes traditionnels, inscrit aussi

que leur vie ressemble à une comptine, une chanson où l'on reprend le dernier mot à chaque fois « chaque flot est un ondin qui nage dans le courant, chaque courant est un sentier qui serpente vers mon palais, et mon palais est bâti fluide ». Les assonances en -u- rappellent les sonorités des chansons d'enfants « caduc et barbu ». Ondine et ses sœurs sont espiègles, elles aiment se moquer des arbres « se moquent du saule caduc et barbu ». 2. Le thème de L'eau L'eau est un des quatre éléments

interrogative "Qui", débute par une interrogation qui s'étend sur tout le premier quatrain. Cette question est manifestement adressée à Pierre Gilbert, un poète néo latin, comme l'indique son nom dans la parenthèse au premier hémistiche. On relève une assonance en "i" dans ce premier vers, qui est assez désagréable et qui peut donc annoncer que ce sonnet va évoquer un personnage ou un sujet peu plaisant. Un enjambement débute le vers 2. Ce débordement syntaxique sur le vers 2 atténue la pause en fin de

», pour repartir vers la montagne. Le verbe mousser résume bien cette fusion de l’eau et du soleil. Les deux rejets « D’argent » et « Luit », accentuent cette qualité particulière de la lumière Les consonnes liquides du premier vers (r,v), les assonances nasales du second (accrochant, follement, haillons, d’argent) donnent de la fluidité à la description et atténuent le bruit de la rivière. Le regard embrasse la scène dans sa totalité en un mouvement descendant puis ascendant. Le premier et le

des rimes embrassées ABBA, et qui ici sont des rimes croisées ABAB, mal/infortuné/animal/fané. De plus les rimes deviennent très aléatoires dans les tercets : seuls « Sohos » et « haos » riment vraiment on a davantage des assonanceS en « i » et « espérance » n’a pas de rimes comme si la contrainte formelle de la métrique classique disparaissait au fur et à mesure que le poème avance (en boitant). La longueur traditionnelle des vers d'un sonnet est de 12 syllabes c’est à dire