Assonances Et Allitération

nuits d'hiver, - l’oxymoron : « … amer et doux… » ===> exprime un sentiment partagé, à consonance romantique. - L’explication de cette émotion trouble est à chercher dans le reste du vers : « Les nuits d’hiver… ». ===> assonance et allitération : « amer » « hiver » : mise en rapport des deux mots par les sonorités. La nuit et l’hiver représentent tous les deux l’obscurité et le froid. Ils expriment le renfermement et une forme légère d’appréhension. L’hiver représente

Noter l'assonance en « an » (« charmant, jouant, dansant, déguisement, fantasques, chantant ») qui introduit un rythme alerte et imite le pas des danseurs. Cette assonance de sons nasalisés s'accompagne du son « on », vers 2 : toutes ces sonorités sont plutôt tristes et mélancoliques. On note donc de très nombreuses allitérations et assonances qui donnent au poème toute sa musicalité. Ainsi, on notera l'effet d'écho intérieur au vers 2 (rimes très riches) : « masques et bergamasques » qui accentue l'impression

passionnée de poésie. - Des jeux avec le langage : allitérations, assonances, déformations des mots, répétitions. - La parodie d’un cours de français. - Une réflexion ludique sur le langage poétique. 2. Le second parcours de lecture met en scène une interprétation déjà élaborée suivant les étapes suivantes : - L’imitation burlesque d’un cours de littérature française. - Une interrogation sur le fait poétique. - Le jeu sur les allitérations et assonances sature « le plus beau vers de la langue française

précise des effets d'altitude (v.18-20). L'atmosphère décrite par Michaux a l'air oppressante, inhabituelle pour lui. Il a une perte de repère (v.2), introduction avec le verbe «disparaît». A la première strophe nous pouvons voir une assonance en AN ainsi qu'une allitération en S, vers 4-5 nous pouvons remarquer une enjambement ainsi qu'une répétition «qui s'étendent», il y a là une idée d'immensité. Nous pouvons voir une piège de nuages, avec un euphémisme au vers 3, les sens sont troublés, pas de liberté

vous étudierez sont présentées ci-dessous, par ordre alphabétique. FIGURE DE STYLE DEFINITION EXEMPLE ALLEGORIE n.f. Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout

mots de la même sonorité "sot" et "saut" donnant de la légèreté pour l'un, alourdissant l'autre. - Cassandre => un vieillard pervers. Il est selon les représentations : père de Colombine, ou son amant. Cassandre "sous son capuce" présente une allitération en [s]. Cette sifflante minimise l'allure menaçante soit d'un père veillant sur sa fille, soit d'un vieillard qui avance masqué. - Arlequin demeure un personnage important (et contrairement aux autres personnages) en dehors de Colombine,

du chat  dans la  cervelle  de  l’auteur  (“​ Dans ma cervelle​ ” L­1)  Vers​  : Octosyllabe  Strophe​  : Dix quatrains    Musicalité (allitérations, assonances, échos et rimes)  Assonances :​  “​ Un beau cha ​t​ , fort, doux et cha ​r​ mant”​  L.3 → charme, envoûtement     “​ Peut­ê ​t​ re e ​s​t­il fé ​e,​  e ​s​t­il dieu ?” II. L.8v → exotisme,​  mystère  Allitérations :​  “​ Ta ​nt son t​ i​ mbre est  t​ ​ndre et discret” L.5  e Écho :​               le son “​ en”  :​  “​ Tant son timbre est tendre et discret” e

personnes qui participent à ce bal masqué, ne sont pas individualisées. Le vers 2 ainsi que le vers 8, représentent les personnes dansant lors de ce bal masqué, grâce à une allitération en ''m'' «Que vont charmant masques et bergamasques»v.2 et un allitération en ''l'' au vers 8 «Et leur chanson se mêle au clair de lune». Une assonance en ''an'' du vers 2 au vers 5 créé un effet de musicalité. Ainsi, c'est en décrivant une atmosphère de bal que Paul Verlaine en vient aux sentiments.

rime est, pour lui, une parure nécessaire dont on ne peut se passer, on ne doit pas en abuser. Il affaiblit son effet d'écho trop répétitif par des assonances et des allitérations qui répartissent les échos phoniques à l'intérieur des vers, " Plus vague et plus soluble que l'air ", allitérations en l et pl, " Par un ciel d'automne attiédi, assonance en ie. La rime n'est plus qu'un des multiples éléments sonores dont il dispose pour traduire ses impressions. . La méprise L'art de la méprise consiste

Figures de Styles ALLEGORIE n.f. ALLITERATION n.f. ANAPHORE n.f. ANTITHESE n.f. ASSONANCE n.f. CHIASME n.m. COMPARAISON n.f. ENUMERATION n.f., ACCUMULATION n.f. EUPHEMISME n.m. GRADATION n.f. HYPERBOLE n.f. IRONIE n.f. LITOTE n.f. METAPHORE n.f. METONYMIE n.f. OXYMORE n.m. PERIPHRASE n.f. PERSONNIFICATION n.f. PLEONASME n.m. SYNECDOQUE n.f. Définitions Personnification d'une idée abstraite Répétition de sons consonnes Répétition d’une même expression ou d’un même mot