Astrée

le même temps Galilée cherche à appuyer ses dires par des preuves. Le dix octobre 1604 une étoile est observée dans le ciel, Galilée étant toujours animé par la volonté de prouver la vraisemblance du système copernicien avance sans preuve que cet astre peut y parvenir. Galilée, qui a par son empressement oublié ses préceptes les plus chers (il faut toujours démontrer une théorie avant de l’exposer) est raillé par les membres de la communauté scientifique. Il se rend alors compte de l’insuffisance

vos appas frappent assez les yeux, sont assez visibles d'eux-mêmes, et qu'il n'est pas besoin de lunettes pour les apercevoir; mais enfin c'est avec des lunettes qu'on observe les astres, et je maintiens et garantis que vous êtes un astre, mais un astre le plus bel astre qui soit dans le pays des astres. Frosine, elle ne répond mot, et ne témoigne, ce me semble, aucune joie de me voir. FROSINE: C'est qu'elle est encore toute surprise; et puis les filles ont toujours honte à témoigner d'abord ce qu'elles

Le thème du paradis perdu (l’enfance) est aussi l’un des thèmes fondateurs des Fleurs du Mal. - « … s’élever … » ===> Métaphore : les souvenirs sont assimilés à un astre. Y’a t-il une assimilation des souvenirs à la lune (astre de la nuit) ? - Cela pourrait expliquer les sentiments mitigés du poète car la lune est un astre symboliquement ambigu : elle peut représenter l’imagination et la poésie, c’est aussi une figure féminine et maternelle (dans ce cas, représentant le bonheur perdu) mais

j’allais me coucher et dormir pendant douze heures. » (p31) Nous venons de voir à quel point Meursault accorde de l’importance à la nature et au besoin d’exacerber ses sens mais nous allons voir qu’il redoute tout de même le soleil qui pour lui est un astre de mort. Nous pouvons voir que la mort n’est pas un tabou pour Camus car dès son très jeune age il fut atteint par la tuberculose, maladie qui lui fait brutalement prendre conscience de l’injustice faite à l’homme de mourir qui se révèle être pour

planète, qui se serait ensuite aggloméré jusqu'à former une protoplanète. La Lune apparaît comme une grosse roche éteinte et sans vie. Sa surface est en effet grise et morte, criblée d'impacts météoritiques, cratères ou craterlets. C'est en effet un astre dénué de toute atmosphère, où les écarts de température entre le jour et la nuit sont de plus de 100°C. La surface lunaire présente plusieurs formations topographiques : les "mers" lunaires sont des étendues sombres de forme circulaire, on distingue

se compare à cet astre, III. Comparaison du Soleil avec le poète - « Quand, ainsi qu'un poète, il descend dans les villes »: PS complément de temps introduit par «Quand »=> le poète montre une image plus positive du soleil et de son effet sur la ville. Il est comparé à un poète - « Il ennoblit le sort des choses les plus viles » : Comparaison du soleil à un être au pouvoir divin → il est capable de transformer la boue « les choses les plus viles » en or. Cet astre a un pouvoir magique

déjà sur Terra la terre et que les astres étaient en place, tout le monde était heureux. Tout le monde ? Non, pas vraiment tout le monde, quelqu’un était triste, très triste. Ce quelqu’un s’appelait Luna, Luna la lune. Luna la lune était un astre et plus particulièrement un satellite de Terra la terre, tournant autour d’elle. En une nuit et une journée, elle avait vu le monde entier. Fabuleux, me diriez-vous ! Mais pas pour Luna. Car il se trouve que personne ne s’était aperçu qu’elle existait

syllogismes scientifiques. Il faut pour cela que leurs prémisses soient premières, plus connues que la conclusion, qu’elles fournissent une explication de la conclusion. Par exemple : I - Un astre qui ne scintille pas est proche Les planètes ne scintillent pas Donc les planètes sont proches. II - Un astre proche ne scintille pas Les planètes sont proches Donc les planètes ne scintillent pas. Les deux syllogismes sont corrects, mais seul le deuxième donne une véritable explication de la conclusion

considerare, de sidus, qui signifie « étoile ». Ces deux verbes appartiennent à la langue des augures, des présages inspirés par l’observation du ciel étoilé. Considerare, c’est contempler un astre, alors que desiderare, c’est regretter son absence. Le désir, au sens étymologique, c’est le regret d’un astre disparu ; c’est la nostalgie d’une étoile. ● Déjà ici l’ambiguïté du désir se révèle : d’un côté, cruel constat d’une absence, d’un manque, d’une privation ; de l’autre, pressentiment d’un bien

désigne habituellement une année civile, ou « année de calendrier », et possède un nombre entier de jours. En astronomie, l’année est l’intervalle de temps correspondant à deux occurrences successives d'un évènement lié à la révolution d’un astre autour d’un autre astre. Il existe plusieurs types d'années, comme l'année sidérale ou l’année anomalistique VI- Jour Sidéral et Jour Solaire Un jour sidéral est la durée que met une planète pour faire un tour sur elle-même par rapport aux étoiles