Athéna Parthénos

Elle fut l’instrument de vengeance de Zeus. Cette créature maudite est matérialiste et aime la richesse. Source d’angoisse et d’ennuis, elle fut un terrible fléau au sain des hommes. Cependant, il existait de nombreuse déesses tels que Aphrodite et Athéna. De plus, les femmes étaient intégrées à la vie religieuse. Elles pouvaient être prêtresse et même participer aux fêtes des panathénées. Dès sa naissance, la vie de la femme est toute tracée. En effet, enfant, elle doit aider aux tâches ménagères

on sait le rôle qu’auront les femmes dans l’Antiquité grecque lectrice de l’Odyssée (l’absence de vie politique, le gynécée), on ne peut être qu’interpellé par leur nombre et leur fréquence dans le récit. Il y a de nombreuses figures féminines : Athéna est quasiment présente dans chaque étape, que ce soit sous l'apparence d'un homme (par exemple le héraut au chant VIII), d'une femme-enfant dans le songe de Nausicaa (au chant VII), ou d'elle-même (au chant XIII), Circé occupe tout le chant X, le

l'époque de leur splendeur. Après un temps de la sagesse qui permet de s'imposer sur le marché, celui du mythe correspond au moment où la marque pénètre dans la mémoire collective autour d'une idée simple. Dans ce processus, Nestlé s'apparente à Athéna, la déesse de la Cité se mettant au service de l'Etat ou du foyer domestique, tandis que Bouygues se trouve des affinités avec Héphaïstos, avec qui il partage l'ingéniosité technique. La poursuite du raisonnement pousse l'auteur à se montrer parfois

pas ses intentions, et c’est de la que provient l’effet de surprise qu’elle produit. c) Les représentants de la métis : Athéna, déesse de la guerre et de la sagesse, est la fille de Métis. C’est une déesse qui a donc hérité de la ruse de sa mère. Athéna est en effet un autre personnage hormis Ulysse qui représente la métis dans l’Odyssée. Comme Ulysse, Athéna est un personnage astucieux, la déesse établit même une comparaison entre Ulysse et elle. De plus, les deux personnages sont reconnus

compréhensif comme Athéna, ou bien amoureux à l’image de Calypso. Ainsi, tout au long de sont périple, Ulysse profite de nombreux soutiens divins, Éole lui confit l’outre des vents, Hermès lui donne le Moly et lui prodigue ses conseils afin de déjouer Circé. Mais c’est avec Athéna, « la déesse aux yeux étincelants », qu’Ulysse entretient une relation privilégiée. Celle –ci l’accompagne dans ses aventures et le défend auprès des dieux. Ainsi, à de nombreuses reprises Athéna dissimule ou transfigure

le bateau et troubler la mémoire de Thésée, châtiment envoyé par les dieux pour sa trahison. Une troisième version de mythographes plus anciens prétend encore que Thésée et Ariane auraient trouvé refuge sur l'île de Dia à la suite d'une tempête. Athéna serait apparue à Thésée pour lui apprendre qu'Ariane est promise à Dionysos et que par conséquent, il doit renoncer à elle. C'est le cœur déchiré que Thésée quitte Ariane et en oublie de changer de voiles. Par ailleurs, Aphrodite serait apparue à

sa femme Pénélope qui continue, après plusieurs années, d'espérer le retour de son époux. Le fils d'Ulysse, Télémaque, exècre comme sa mère ces prétendants qui festoient chez lui et se nourrissent de ses biens. Avec l'accord de Zeus, la déesse Athéna incite Télémaque à quitter Ithaque pour s'enquérir du retour de son père. Télémaque se rend d'abord chez le roi Nestor, puis chez le roi Ménélas et sa femme Hélène qui, lui contant le courage de son père, ne savent néanmoins pas où il se trouve. En

été prise par la ruse : inspirés par Pallas Athéna, les Grecs ont fait construire un énorme cheval de bois qu'ils laissent sur le rivage, cependant qu'ils feindront de regagner leur pays. (Virgile, Enéide) En fait les vaisseaux grecs se dissimulent derrière une île proche de Troie (Ténédos) ; dans le cheval se sont dissimulés plusieurs chefs grecs, dont Ulysse. Un traître incite les Troyens à faire entrer le cheval (prétendument une offrande à Pallas Athéna) dans la ville ; (Virgile, Enéide) le prêtre

partagent pas les mêmes faveurs. Dans l’épisode du cyclope, c’est sa curiosité à voir à quoi ressemble le cyclope qui lui coûte six hommes. Plus tard, il perdra la majorité de sa flotte. Lorsque dans l’épisode XIII, il essaie de cacher son identité à Athéna, qui s’est déguisée, celle-ci lui déclare : « Quel fourbe, quel larron, quand ce serait un dieu, pourrait te surpasser en ruses de tout genre ! » (Homere 240). On l’appelle également « Ulysse aux mille ruses » (Homère 209). Duper les gens qu’il rencontre

la tête de l'une des trois Gorgones - monstres redoutables à la chevelure de serpents - aussi facilement qu'un cheval. Polydecte le prit au mot, content d'éloigner le protecteur de Danaé en lui confiant une mission apparemment impossible. Hermès et Athéna vinrent au secours de Persée. Le héros fut d'abord envoyé aux Grées, trois vieilles femmes, qui seules pouvaient le diriger vers les Gorgones. Comme elles n'avaient qu'un oeil et une dent pour elles trois, il leur déroba afin d'obtenir les renseignements