Attentat du Petit-Clamart

brutal. Tout ce passe en un seul tour. La tendance est donc de voter utile, on vote pour les deux plus grands partis qui ont véritablement une chance de remporter les élections (parti des travaillistes, parti des conservateurs). On vote moins pour les petits partis. En mais 2005, le parti des travaillistes obtient 37% des suffrages, il obtient 55% des sièges. Cette différence vient de la prime majoritaire. Le parti vainqueur est surreprésenté. Le parti central fait les frais de cette surreprésentation

inaptitude à régler le problème colonial est l'un des facteurs majeurs de son échec. La décolonisation à été amorcé dès 1954 en Indochine et s'achève en 1960 en Afrique noire. Cependant en Algérie, l'armée française ne parvient pas à éviter les attentats, ni à conclure un quelconque accord avec les mouvements nationalistes, notamment avec le front de libération nationale (FLN). Elle contrôle difficilement la situation et surtout l'opinion publique internationale devient de plus en plus hostile

de Félix Gaillard, le 15 avril 1958 ouvre une nouvelle crise ministérielle de 28 jours, alors que la crise algérienne atteint son paroxysme. Lorsque le MRP Pierre Pflimlin, qui souhaite négocier avec le FLN pour obtenir l’arrêt de l’engrenage des attentats et la répression, se présente devant l’Assemblée nationale, le 13 mai, des manifestations éclatent à Alger. Il obtient la confiance de la chambre mais ne pourra imposer l’autorité de son gouvernement, le vingt-deuxième d’un régime qui est entrain

tout le pouvoir exécutif, il faut doter le chef de l'Etat des moyens d'assurer ses missions, il faut lui confier des attributions réelles, fortes, des pouvoirs spéciaux en temps de crise et aussi la possibilité de dissoudre l'assemblée. Il y a une petite méprise entre DG et michel Debré, car DG semble plus favorable à un régime parlementaire dualiste. 2. Michel Debré. Il voulait mettre en lace un régime parlementaire, mais en le rationalisant, en mettant en place des mécanisme pour éviter de

son mode de fonctionnement, ses propres règles, ses organes, son statut, et c'est ce statut qui dit ici la loi française s'applique automatiquement. - La Nouvelle-Calédonie qui est tout à fait à part qui est dans un processus d'indépendance, petit à petit depuis 1998. Elle est dans un processus irréversible de transfert de compétences de l'Etat français vers les autorités de Nouvelle-Calédonie. Il y a des lois de Nouvelle-Calédonie.       Sous chapitre 2 : la Nation et l’?idéal national  

révolutions : Emeutes qui poussent Louis Philipe à quitter le pouvoir et la proclamation de la république faite par des républicains modérés en février Révolution sociale en juin faite par les républicains déçus de la révolution de février. Républicains de la petite bourgeoisie. Pas de clivage possible au sein du peuple, républicanisme fédérateur qui allie le clergé. Gouvernement provisoire qui se met en place, qui gère les affaires courantes et va poser la question d’une constituante. Ex : Lamartine ministre

président de la république. A- LE passage du suffrage universel indirect au suffrage universel direct. La Constitution organise dans son article 6 l’élection du président de la république au suffrage universel indirect mais suite à l’attentat du Petit Clamart le Général De Gaulle a voulu modifier cette disposition. Par la loi du 6 novembre 1962, le président de la république est élu au suffrage universel direct. 1- Le mode d’élection prévu en 1958 Dans son discours Michel Debré explique que

électoraux organisés localement, qui vont se généraliser. Ils se constituent pour organiser le suffrage, aider les électeurs à s’inscrire. Ce sont des structures ponctuelles qui développent leur activité en amont et pendant les procédures électorales. Petit à petit, ces comités vont devenir permanents et vont se structurer au niveau départemental et national, du fait de l’importance croissante de la compétition et de la concurrence. ▪ On observe des proto partis (structures politiques collectives), qui apparaissent

France. Les légitimistes soutiennent le comte de Chambord qui est le descendant le plus direct de la famille royale traditionnelle capétienne (Petit fils de Charles XX, le dernier roi de la famille de Louis 16, le dernier frère de Louis 16 à avoir régné sur la France). Les orléanistes ne soutiennent pas Le comte de Chambord mais le comte de Paris qui est le petit fils de Louis Philippe d’Orléans (Dernier roi à avoir régné sur la France). Les orléanistes sont un peu plus nombreux à l’assemblée nationale

2 organes : - Un comité d’expert : plus technique, organisé autour de Michel Debré, le garde des sceaux. Il est composé de hauts fonctionnaires, recrutés surtout au sein du conseil d’Etat, et quelques professeurs d’université. Il s’agit d’une petite dizaine de personnes, qui n’a pas le pouvoir de trancher, mais a en revanche une grande influence. Ils font l’essentiel du travail. - Le comité interministériel : il réunit des ministres, comprend le général de Gaule, Michel Debré, alors garde